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NT UE2 - n°1

Physiologie neuronale

Physiologie digestive

15/04/19

Nassima

Tania

Lina

le 13/11/23

Camille Michel de Chabannes - P2

Eléonore de Larminat - P2

Anaïs Meynet-Noyau - P2

Zeyneb Harizi - L2 - maïeutique

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PHYSIOLOGIE DIGESTIVE

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Généralités pour commencer ce cours long, très long, trop long …

Digestion => processus de simplification moléculaire des macromolécules en NUTRIMENTS : AA, AG et oses.

Eux vont être capables de traverser la membrane plasmique des cellules et être intégrés au métabolisme.

Nourriture -> source d’énergie des réactions chimiques.

Les aliments retrouvés : eau, sels minéraux, vitamines et macromolécules.

Petit problème, les épithéliums sont imperméables ——> les aliments ne sont pas assimilables par l’organisme.

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On fait passer les nutriments oooouuuuu

4 étapes pour faire passer les nutriments, l’eau et les électrolytes de l'environnement externe vers le milieu intérieur du corps.

  • La motilité : capacité à effectuer des mouvements spontanés ou réactionnels pour déplacer le bol alimentaire.
  • Sécrétion : des sucs digestifs
  • Digestion : transformation des aliments en substances plus petites pour permettre l’absorption.
  • Absorption : passage des nutriments vers les cellules.

=> phénomènes mécanique (musculature du tube digestif) et chimique (sucs digestifs).

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On fait passer les nutriments oooouuuuu

4 étapes pour faire passer les nutriments, l’eau et les électrolytes de l'environnement externe vers le milieu intérieur du corps.

  • La motilité : capacité à effectuer des mouvements spontanés ou réactionnels pour déplacer le bol alimentaire.
  • Sécrétion : des sucs digestifs
  • Digestion : transformation des aliments en substances plus petites pour permettre l’absorption.
  • Absorption : passage des nutriments vers les cellules.

=> phénomènes mécanique (musculature du tube digestif) et chimique (sucs digestifs).

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On fait passer les nutriments oooouuuuu

4 étapes pour faire passer les nutriments, l’eau et les électrolytes de l'environnement externe vers le milieu intérieur du corps.

  • La motilité : capacité à effectuer des mouvements spontanés ou réactionnels pour déplacer le bol alimentaire.
  • Sécrétion : des sucs digestifs
  • Digestion : transformation des aliments en substances plus petites pour permettre l’absorption.
  • Absorption : passage des nutriments vers les cellules.

=> phénomènes mécanique (musculature du tube digestif) et chimique (sucs digestifs).

Le schéma nous montre que le système digestif et cardio-vasculaire agissent en synergie (= action coordonnée).

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Petits rappels anatomiques et histologiques (j’espère que vous avez écouté le NT UE 5)

Tube digestif : s’étend de la bouche jusqu’à l’anus.

-> bouche

-> pharynx

-> œsophage

-> estomac

-> intestin grêle

-> gros intestin

-> rectum

Organes annexes :

-> dents

-> langue

-> glandes salivaires

-> foie

-> vésicule biliaire

-> pancréas

/!\ Les organes glandulaires ne font pas partie du TD mais ils sécrètent des substances par l'intermédiaire de canaux qui les relient au tube. /!\

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Le QCM ne te lâchera pas

A - D’un point de vue histologique, la structure du tube digestif est différente de l’œsophage au canal anal.

B - La séreuse est la couche la plus externe et est une couche de tissu conjonctif.

C - La musculeuse est composée de muscles striés sous le contrôle volontaire qui représentent la majorité des muscles.

D - La sous-muqueuse contient le plexus sous-muqueux de Meissner.

E - La muqueuse est constituée de 3 couches dont la lamina propria.

Le potit P1 qui tappe sa meilleure fuite face aux QCM.

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Le QCM ne te lâchera pas

A - D’un point de vue histologique, la structure du tube digestif est différente de l’œsophage au canal anal.

FAUX : c’est la même !

B - La séreuse est la couche la plus externe et est une couche de tissu conjonctif.

VRAI : Bien joué !

C - La musculeuse est composée de muscles striés sous le contrôle volontaire qui représentent la majorité des muscles.

FAUX : Ouch attention ! Les muscles striés ne sont pas la majorité des muscles. 90% de la musculeuse est composée de muscles lisses.

D - La sous-muqueuse contient le plexus sous-muqueux de Meissner.

VRAI : C’est un réseau de neurones.

E - La muqueuse est constituée de 3 couches dont la lamina propria.

VRAI : On retrouve aussi un épithélium de revêtement et une fine couche de cellules musculaires lisses.

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Histologie :

Ces tuniques permettent au TD d’exercer 3 fonctions :

  • …………. :
    • La muqueuse participe à la digestion chimique et à l'absorption.
    • La musculeuse permet la digestion mécanique et propulsion des aliments dans le TD.

  • ………… :
    • La muqueuse sécrète des hormones.

  • ………… :
    • Il est ouvert en ses extrémités soit aux pathogènes et doit se défendre.

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Histologie :

Ces tuniques permettent au TD d’exercer 3 fonctions :

  • Digestive :
    • La muqueuse participe à la digestion chimique et à l'absorption
    • La musculeuse permet la digestion mécanique et propulsion des aliments dans le TD

  • Endocrine :
    • La muqueuse sécrète des hormones.

  • Immunitaire :
    • Il est ouvert en ses extrémités soit aux pathogènes et doit se défendre.

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Les 4 tuniques :

La séreuse :

  • couche la plus externe.
  • tissu conjonctif.

La musculeuse :

-> muscles striés : extrémité du TD, parties distales et proximales. Par exemple, le sphincter anal est sous le contrôle volontaire (vous aviez remarqué hein ???!!!!).

-> muscles lisses : 90% des muscles du tractus digestif. Contrôle involontaire.

=> circulaire interne : segmentaires (qui coupent)

– réseau de neurones : plexus myentérique ou plexus d’Auerbach

=> longitudinale externe : pendulaires

Épaississement de la couche circulaire = SPHINCTERS (au niveau du pylore, jonction iléo-cæcale et sphincter interne de l’anus).

La sous-muqueuse :

  • Tissu conjonctif.
  • réseau de neurones : plexus sous-muqueux de Meissner.

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La muqueuse :

Couches :

Caractéristiques :

Épithélium de revêtement, en contact avec les aliments

En se contractant, elle peut modifier les plis de l’épithélium.

-> augmente la surface de digestion et d’absorption.

Lamina propria ou chorion

- 1 couche de cellules reliées par des jonctions occlusives.

- C entéro-endocrines (hormones)

- C exocrines

Fine couche de cellules musculaires lisses

- nombreux vaisseaux sanguins et lymphatiques (voies des nutriments pour atteindre les autres tissus

- C immunitaires +++

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La muqueuse :

Couches :

Caractéristiques :

Épithélium de revêtement, en contact avec les aliments

En se contractant, elle peut modifier les plis de l’épithélium.

-> augmente la surface de digestion et d’absorption.

Lamina propria ou chorion

- 1 couche de cellules reliées par des jonctions occlusives.

- C entéro-endocrines (hormones)

- C exocrines

Fine couche de cellules musculaires lisses

- nombreux vaisseaux sanguins et lymphatiques (voies des nutriments pour atteindre les autres tissus

- C immunitaires +++

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La muqueuse :

Couches :

Caractéristiques :

Épithélium de revêtement, en contact avec les aliments

En se contractant, elle peut modifier les plis de l’épithélium.

-> augmente la surface de digestion et d’absorption.

Lamina propria ou chorion

- 1 couche de cellules reliées par des jonctions occlusives.

- C entéro-endocrines (hormones)

- C exocrines

Fine couche de cellules musculaires lisses

- nombreux vaisseaux sanguins et lymphatiques (voies des nutriments pour atteindre les autres tissus

- C immunitaires +++

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La muqueuse :

Couches :

Caractéristiques :

Épithélium de revêtement, en contact avec les aliments

En se contractant, elle peut modifier les plis de l’épithélium.

-> augmente la surface de digestion et d’absorption.

Lamina propria ou chorion

- 1 couche de cellules reliées par des jonctions occlusives.

- C entéro-endocrines (hormones)

- C exocrines

- Très variable

Fine couche de cellules musculaires lisses

- nombreux vaisseaux sanguins et lymphatiques (voies des nutriments pour atteindre les autres tissus

- C immunitaires +++

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Régulation des activités digestives :

Régulation pour rendre la digestion aussi efficaces que possible.

-> Régulation nerveuse.

-> Régulation hormonale.

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Innervation des muscles LISSES :

Innervation intrinsèque :

Neurones dont les corps cellulaires sont situés dans la paroi du TD = PLEXUS.

-> Plexus sous-muqueux (Meissner) :

innervation des glandes

=> contrôle des sécrétions gastro-intestinales.

-> Plexus myentérique :

innervation de la musculeuse

=> contrôle moteur.

Innervation extrinsèque :

Infos provenant du SNC

-> Parasympathique :

- n. pneumogastrique (vague, X) innerve la portion SUP du TD jusqu’au côlon ascendant.

- n. pelviens innerve partie ano-rectale, côlon descendant.

-> Orthosympathique :

n. splanchnique : dans tout le TD. Provient des segments sacrés de la moelle.

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On continue avec l’innervation :

Parasympathique a un effet plutôt facilitateur ( augmente la motilité, stimule les sécrétion ) => il est moteur.

Orthosympathique diminue la motilité, inhibe les sécrétions et stimule les sphincters. => il est inhibiteur.

/!\ Pour les régions sphinctériennes :

  • Para est INHIBITEUR
  • Ortho est FACILITATEUR, stimule les sphincters.

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LES DIFFÉRENTES PHASES DE LA DIGESTION

J’espère que vous êtes prêts car ce n’était que les généralités.

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Le QCM des familles :

A - Les phénomènes buccaux sont la phonation et la salivation.

B - La fonction de mastication est double : broyage et mélange.

C - La glande parotide, comportant des cellules uniquement séreuses, sécrète l’amylase.

D - La lipase linguale est active dans la bouche.

E - Le contrôle des glandes salivaires se fait essentiellement par le système nerveux autonome.

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La correction des familles :

A - Les phénomènes buccaux sont la phonation et la salivation.

FAUX : Ce sont la mastication et la salivation.

B - La fonction de mastication est double : broyage et mélange.

C - La glande parotide, comportant des cellules uniquement séreuses, sécrète l’amylase.

D - La lipase linguale est active dans la bouche.

FAUX : Non, non, non elle est INACTIVE dans la bouche.

E - Le contrôle des glandes salivaires se fait essentiellement par le système nerveux autonome.

ANSWERS

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Les phénomènes buccaux :

Les phénomènes buccaux sont la mastication et la salivation.

La bouche et ses organes annexes (dents, langue et glandes salivaires) vont :

  • Assurer lingestion.
  • Amorcer la digestion mécanique -> mastication.
  • Amorcer la digestion chimique -> sécrétion salivaire.
  • Débiter la propulsion -> déglutition.
      • Pharynx et œsophage.

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La mastication :

  • Ensemble des mouvements volontaires de la mâchoire, la langue et des joues.
  • Abaissement et élévation.
  • Rotation et latéralité.

Réflexe par la présence d’aliments.

-> peut être INvolontaire.

Fonction double :

Mélange

Broyage

Vous la connaissez ???

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La salivation :

La sécrétion est assurée par trois paires de glandes qui déversent leurs sécrétions dans la cavité buccale et sur la langue.

-> permet de maintenir humide la bouche, les lèvres et le pharynx.

-> lorsque des aliments pénètrent, les sécrétions augmentent pour lubrifier la nourriture, la dissoudre et amorcer la transformation chimique.

Nom de la glande

Cellules des acini

Parotide

uniquement …………

sécrétion de l’amylase

……………

uniquement muqueuses

sécrétion du mucus (

Sous …………

…………

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La salivation :

La sécrétion est assurée par trois paires de glandes qui déversent leurs sécrétions dans la cavité buccale et sur la langue.

-> permet de maintenir humide la bouche, les lèvres et le pharynx.

-> lorsque des aliments pénètrent, les sécrétions augmentent pour lubrifier la nourriture, la dissoudre et amorcer la transformation chimique.

Nom de la glande

Cellules des acini

Parotide

uniquement séreuses

sécrétion de l’amylase

……………

uniquement muqueuses

sécrétion du mucus (

Sous …………

…………

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La salivation :

La sécrétion est assurée par trois paires de glandes qui déversent leurs sécrétions dans la cavité buccale et sur la langue.

-> permet de maintenir humide la bouche, les lèvres et le pharynx.

-> lorsque des aliments pénètrent, les sécrétions augmentent pour lubrifier la nourriture, la dissoudre et amorcer la transformation chimique.

Nom de la glande

Cellules des acini

Parotide

uniquement séreuses

sécrétion de l’amylase

Sublinguales

uniquement muqueuses

sécrétion du mucus (

Sous …………

…………

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La salivation :

La sécrétion est assurée par trois paires de glandes qui déversent leurs sécrétions dans la cavité buccale et sur la langue.

-> permet de maintenir humide la bouche, les lèvres et le pharynx.

-> lorsque des aliments pénètrent, les sécrétions augmentent pour lubrifier la nourriture, la dissoudre et amorcer la transformation chimique.

Nom de la glande

Cellules des acini

Parotide

uniquement séreuses

sécrétion de l’amylase

Sublinguales

uniquement muqueuses

sécrétion du mucus (

Sous maxillaires

mixtes

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Les enzymes salivaires :

  • L’amylase salivaire : digestion des glucides
    • Cible de liaisons α 1-4 glycosidiques de l'amidon
    • Parotide ++
    • INactivée par estomac par l’acidité

  • Le lysozyme : high-kick à la paroi des bactéries

  • La lipase linguale :
    • INactive dans la bouche
    • transforme 30% TG alimentaires en AG
    • digestion lipides (lipide / lipase : easy)

Contrôle de la sécrétion par le SNA :

  • Parasympathique : effet facilitateur +

  • Orthosympathique : effet inhibiteur -

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La déglutition :

Activité motrice qui fait passer le bol alimentaire de la bouche à l’estomac.

Elle est déclenchée par la voie réflexe / commande volontaire / mastication.

Temps buccal :

-> VOLONTAIRE

-> bol est déplacé vers l’oropharynx

  • fermeture bouche et arrêt mastication
  • regroupement aliments sur dos de la langue et plaquage contre la paroi du pharynx
  • voile du palais s’élève et ferme le nasopharynx

Temps oesophagien :

-> passage INVOLONTAIRE de l’œsophage à l’estomac

  • ouverture sphincter SUP
  • onde péristaltique
  • relaxation sphincter INF ⅔ sec après le début de la déglutition

Temps pharyngien :

-> passage INVOLONTAIRE du bol du pharynx à l’œsophage

-> très bref : apnée

  • stimulation R de l’oropharynx → centre de la déglutition
    • élévation du larynx
    • fermeture voies respiratoires.

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La déglutition :

Temps buccal :

Temps oesophagien :

Temps pharyngien :

Centre intégrateur de la déglutition -> bulbe rachidien (plancher du 4ème ventricule).

Innervation extrinsèque :

L'oropharynx et l'oesophage supérieur = muscles striés innervés par le V, IX et le X.

Reste de l'oesophage = Muscle lisse innervé par le X

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Transition du turfu ou pas :

/!\ A ce niveau, seuls les glucides ont subi le processus de digestion. /!\

Notre bol alimentaire est au niveau du sphincter INF de l’œsophage. on se retrouve donc dans la région du cardia soit de l’estomac.

On poursuit avec l’ÉTAPE GASTRIQUE ( WOUHOU !!!!!)

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Rappels anatomiques

Délimité par le cardia en haut et le pylore en bas.

D’un point de vue anatomique, on peut le diviser en 3 :

  • La grosse tubérosité = fundus
  • Le corps
  • L’antre

D’un point de vue physiologique on le divise en 2 :

  • Proximale : stockage
  • Distale : brassage et évacuation, péristaltisme ++

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Histologie :

Extérieur vers l’intérieur :

  • Séreuse
  • Musculeuse
  • Sous-muqueuse
  • Muqueuse

  • Musculeuse :

3 couches de fibres musculaires lisses :

    • Externe longitudinale
    • Moyenne circulaire
    • Interne oblique

=> permet la contraction pour faire brasser les aliments, les transformer en petites particules, les mélanger au suc gastrique et enfin les pousser vers le duodénum.

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La muqueuse de l’estomac :

Types de cellules

Sécrétion

Localisation

Cellules à mucus

gel alcalin, protection muqueuse des brûlures acides

Fundus et corps

Antre

Cellules principales

pepsinogène : précurseur de la principale enzyme gastrique et de la lipase

Fundus et corps

Cellules pariétales (= bordantes)

sécrétion de HCl et du facteur intrinsèque

Fundus et corps

Cellules endocrines

Cellules C : gastrines,

cellules D : somatostatine,

cellules entérochromaffines : histamine

Antre

Muqueuse :

=> Épithélium cylindrique simple.

=> digestion mécanique : broyage, malaxage et brassage.

=> digestion chimique : sucs gastriques

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Motricité

Estomac vide -> ondes de faible amplitude pour maintenir une pression supérieure à celle de l’œsophage pour que le cardia reste fermé et empêche toute remontée de liquide acide.

Remplissage -> compliance : relaxation réceptive. Mise en jeu de l’estomac proximal.

Vidange gastrique : phase d’évacuation -> quelques minutes après le début du repas.

  • Au milieu du corps : contractions peu vigoureuses puis augmentation jusqu'à devenir très importantes.
  • « Aire pacemaker » présentant une activité électrique spontanée à l’origine d’une onde péristaltique qui se dirige :
    • De la grande vers la petite courbure
    • Vers le pylore
  • Plus grande partie de la nourriture est refoulée dans le corps avec une poursuite du mélange.

=> brassage et fragmentation du chyme

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Digestion chimique :

Composition suc gastrique : acide chlorhydrique HCl + enzymes (pepsine et lipase) + mucus + facteurs intrinsèques.

HCl :

Cellules pariétales sécrètent des ions Cl et H+.

Rôle de :

    • Défense
    • Dénaturation
    • Stimule la sécrétion d’hormones qui favorisent la sécrétion de bile et de suc pancréatique
    • Active le pepsinogène en pepsine

Enzymes :

Sécrétion par les cellules principales

  • pepsinogène : sécrété sous forme inactive, il est activé par le pH puis il va aller agir sur les protéines. Les pepsines digèrent les protéines. Elles clivent les liaisons peptidiques entre aa aromatiques.
  • lipase : hydrolyse les triglycérides en acide gras et en mono/diglycérides. Active à pH acide et est présente dès la naissance

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régulation de la sécrétion et motilité gastrique :

Phase ………:

Réflexe utilisant le nerf X

  • Odeur, goût, vue ou imagination -> réflexe conditionné entraînant la sécrétion gastrique.

  • X -> muscles lisses estomac et ………… motricité gastrique.

  • X stimule sécrétion de gastrine

Phase gastrique :

Contrôle nerveux :

  • Distension active les mécanorécepteurs
  • Chémorécepteurs détectent une ↑ du pH (chyme)

Contrôle humoral :

  • Distension + alcalinité + protéines partiellement digérées favorisent sécrétion de gastrine par cellules G.
  • stimulation contraction muscle lisse gastrique

Phase intestinale :

  • Plus ………

  • Inhibition de l’activité sécrétoire et motricité (= frein duodénal)

  • Ralentit la sortie du chyme gastrique

  • Duodénum n'accepte qu’un chyme de bonne qualité.

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régulation de la sécrétion et motilité gastrique :

Phase céphalique :

Réflexe utilisant le nerf X

  • Odeur, goût, vue ou imagination -> réflexe conditionné entraînant la sécrétion gastrique.

  • X -> muscles lisses estomac et ………… motricité gastrique.

  • X stimule sécrétion de gastrine

Phase gastrique :

Contrôle nerveux :

  • Distension active les mécanorécepteurs
  • Chémorécepteurs détectent une ↑ du pH (chyme)

Contrôle humoral :

  • Distension + alcalinité + protéines partiellement digérées favorisent sécrétion de gastrine par cellules G.
  • stimulation contraction muscle lisse gastrique

Phase intestinale :

  • Plus ………

  • Inhibition de l’activité sécrétoire et motricité (= frein duodénal)

  • Ralentit la sortie du chyme gastrique

  • Duodénum n'accepte qu’un chyme de bonne qualité.

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régulation de la sécrétion et motilité gastrique :

Phase céphalique :

Réflexe utilisant le nerf X

  • Odeur, goût, vue ou imagination -> réflexe conditionné entraînant la sécrétion gastrique.

  • X -> muscles lisses estomac et favorise motricité gastrique.

  • X stimule sécrétion de gastrine

Phase gastrique :

Contrôle nerveux :

  • Distension active les mécanorécepteurs
  • Chémorécepteurs détectent une ↑ du pH (chyme)

Contrôle humoral :

  • Distension + alcalinité + protéines partiellement digérées favorisent sécrétion de gastrine par cellules G.
  • stimulation contraction muscle lisse gastrique

Phase intestinale :

  • Plus ………

  • Inhibition de l’activité sécrétoire et motricité (= frein duodénal)

  • Ralentit la sortie du chyme gastrique

  • Duodénum n'accepte qu’un chyme de bonne qualité.

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régulation de la sécrétion et motilité gastrique :

Phase céphalique :

Réflexe utilisant le nerf X

  • Odeur, goût, vue ou imagination -> réflexe conditionné entraînant la sécrétion gastrique.

  • X -> muscles lisses estomac et favorise motricité gastrique.

  • X stimule sécrétion de gastrine.

Phase gastrique :

Contrôle nerveux :

  • Distension active les mécanorécepteurs
  • Chémorécepteurs détectent une ↑ du pH (chyme)

Contrôle humoral :

  • Distension + alcalinité + protéines partiellement digérées favorisent sécrétion de gastrine par cellules G.
  • stimulation contraction muscle lisse gastrique.

Phase intestinale :

  • Plus tardive.

  • Inhibition de l’activité sécrétoire et motricité (= frein duodénal).

  • Ralentit la sortie du chyme gastrique.

  • Duodénum n'accepte qu’un chyme de bonne qualité.

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Bilan de la digestion au niveau gastrique :

  • Suc gastrique : 1,5 à 3 litres par jour, pH variable

  • Les protéines : scindées

  • Les lipides insolubles : réunis en gouttelettes + hydrolysés

  • Les glucides : pas de transformation dans l'estomac. (digestion dans la phase buccale)

  • Les bactéries sont en grande partie tuées

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On passe à la suite :

Notre bol alimentaire continue son chemin à travers l’intestin (ça rime) !!!!!!!

La digestion se poursuit …

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L’intestin grêle

Divisé en 3 segments :

  • duodénum
  • jéjunum
  • l’iléon

→ représente : 75-85% du tube digestif.

Enserre le pancréas + reçoit ses produits :

  1. sécrétion pancréatique : canal de WIRSUNG
  2. sécrétion biliaire : canal CHOLÉDOQUE

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HISTOLOGIE DE L’IG

Séreuse

Musculeuse

Sous muqueuse

Muqueuse

Sous muqueuse + Muqueuse :

→ sont adaptées pour permettre à l’IG les processus de digestion et d'absorption (90% au niveau du duodénum, 1er segment de l’IG)

Dans la sous muqueuse :

→ glandes de Brunner ( ou duodénales) sécrètent du mucus alcalin

Dans la muqueuse :

→ glande intestinales de Lierberkühn (tapissent les cavités)

extérieur

intérieur

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LA MUQUEUSE DE L’IG

Composée :

  • de plis circulaires de 1 cm = valvules de connivences.
  • plis comportant des villosités (1mm)

→ bordure en brosse, couvert de glycocalyx

(= gel muqueux alcalin)

Capacité d’absoption = x600 du STRUCTURE

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Les cellules de la muqueuse de l’IG

4 types de cellules sont observables :

  1. absorbantes = entérocytes

→ nombreuses villosités/ sécrètent ezm de la bordure en brosse

  • caliciformes :

→ sécrètent le mucus : aide le bol alimentaire à glisser 🎿

  • Paneth :

→ dans les parties les + profondes (=cryptes)

→ elles sécrètent des ezm à activité anti-microbienne

  • entéro-endocrines (entérochromaffines) :

→ sécrètent nombreuses hormones (gastrine, somatostatine, cholécystokinine… )

→ localisées au niveau des cryptes

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QCM

  1. Le mouvement de segmentation fait progresser le bol alimentaire au sein de l’IG.

  • La motricité de l’intestin G est assurée par l’alternance de 2 phases (inter prandiales et digestive).

  • Le système nerveux qui permet d’augmenter d’augmenter la motricité grâce aux influx orthosympathique.

  • Les CMM (complexes moteur migrants )empêchent la prolifération bactérienne.

  • Les hormones ne joue pas un rôle sur la motricité de l’IG.

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QCM

  1. Le mouvement de segmentation fait progresser le bol alimentaire au sein de l’IG.

→ c’est le mvmt de péristaltiques qui permet la progression

  • La motricité de l’intestin G est assurée par l’alternance de 2 phases (inter prandiales et digestive).

  • Le système nerveux qui permet d’augmenter d’augmenter la motricité grâce aux influx orthosympathique.

→ c’est le système para:))

  • Les CMM empêchent la prolifération bactérienne.

  • Les hormones ne joue pas un rôle sur la motricité de l’IG.

→ faux, la motiline favorise les CMM

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MOTRICITÉ DE L’IG :

Digestion organiser en 2 phases :

  1. la phase …. qui comprend des contraction régulières qui se propage du duodénum à la fin de l’iléon : ce sont les complexes moteurs migrants (CMM)

  • et la phase …. qui permet le malaxage et la propulsion du contenu intestinal.

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MOTRICITÉ DE L’IG :

  • la phase INTER-DIGESTIVE qui comprend des contraction régulières qui se propage du duodénum à la fin de l’iléon : ce sont les complexes moteurs migrants (CMM).

  • et la phase DIGESTIVE qui permet le malaxage et la propulsion du contenu intestinal.

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MOTRICITÉ DE L’IG :

Les fonctions de la motricité de l’IG :

  1. favorise le mélanges des aliments grâce aux ……

  • facilite le contact du chyme avec la

  • assure la propulsion du contenu intestinal en direction du ….

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MOTRICITÉ DE L’IG :

Les fonctions de la motricité de l’IG :

  • favorise le mélanges des aliments grâce aux sécrétions digestives

  • facilite le contact du chyme avec la

  • assure la propulsion du contenu intestinal en direction du ….

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MOTRICITÉ DE L’IG :

Les fonctions de la motricité de l’IG :

  • favorise le mélanges des aliments grâce aux sécrétions digestives

  • facilite le contact du chyme avec la muqueuse.

  • assure la propulsion du contenu intestinal en direction du ….

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MOTRICITÉ DE L’IG :

Les fonctions de la motricité de l’IG :

  • favorise le mélanges des aliments grâce aux sécrétions digestives.

  • facilite le contact du chyme avec la muqueuse.

  • assure la propulsion du contenu intestinal en direction du côlon

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MOTRICITÉ DE L’IG : la phase interprandiale

La phase interprandiale/inter-digestive :

→ assurée par des contractions régulières = CMM (en 3 phases)

les CMM permettent :

  • la vidange des aliments ou des cellules de l’intestin
  • il empêchent la prolifération bactérienne

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MOTRICITÉ DE L’IG : la phase digestive

La phase digestive :

→ se déclenche lors de l’arrivé du bol alimentaire

activité contractile continu et irrégulières qui permet de

  • malaxer
  • propulser le contenu intestinal

Grâce à 2 mouvements :

  1. la segmentation
  2. le + important
  3. permet contact aliment/muqueuse
  4. mélange chyme/suc digestifs
  5. ne fais PAS avancer les aliments

  • le péristaltiques :
  • mouvement de progression

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LA DIGESTION :

La digestion de l’IG est sous la dépendance de 3 sécrétions :

  1. ….

  • ….

  • ….

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LA DIGESTION :

La digestion de l’IG est sous la dépendance de 3 sécrétions :

  • Intestinale

  • ….

  • ….

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LA DIGESTION :

La digestion de l’IG est sous la dépendance de 3 sécrétions :

  • Intestinale

  • Pancréatique

  • ….

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LA DIGESTION :

La digestion de l’IG est sous la dépendance de 3 sécrétions :

  • Intestinale

  • Pancréatique

  • Biliaire

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LA DIGESTION :

Suc intestinal :

- Liquide clair et jaunâtre

- 1 à 2 L/jour par les glandes de Lieberkühn (tapissent cavité de la muqueuse)

- pH alcalin (7,6)

- Composition : eau, éléments minéraux, mucus et enzymes

Les enzymes intestinales :

→ Ce sont les enzymes de la bordure en brosse.

- Glucides : dextrinase, maltase, sucrase, lactase

- Peptides : peptidase

- Nucléotides : Nucléosidase et phosphatase

- ± Enterokinase (produite par la muqueuse duodénale) :

active le trypsinogène en trypsine

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LES SÉCRÉTIONS PANCRÉATIQUES :

2ème + grande glande de l’organisme (foie = 1er)

  • canal de WIRSUNG :
  • canal de SANTORINI :

Le canal de Wirsung évacuer le contenu pancréatique au niveau du

duodénum.

Le canal cholédoque évacuer bileduodénum.

Reliés au duodénum

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QCM PANCRÉAS

  1. Le pancréas est composé d'îlots de cellules appelé “îlots de Langerhans” qui possèdent une fonction endocrine.

  • Le suc pancréatique est : épais, visqueux et à un pH neutre en phase inter-prandiale

  • Le nerf vagal (IX) stimule la sécrétion d’enzyme pancréatique.

  • Le canal cholédoque permet d’évacuer le contenu pancréatique au niveau du duodénum.

  • Le suc pancréatique est composé de nombreuse enzymes dont l’alpha amylase pancréatique.

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QCM PANCRÉAS

  1. Le pancréas est composé d'îlots de cellules appelé “îlots de Langerhans” qui possèdent une fonction endocrine.

  • Le suc pancréatique est : épais, visqueux et à un pH neutre en phase inter prandiale.

→ attention il est fluide, aqueux et transparent en phase prandiale.

  • Le nerf vagal (IX) stimule la sécrétion d’enzyme pancréatique.

→ oui sauf que le nerf vague est le nerf X.

  • Le canal cholédoque permet d’évacuer le contenu pancréatique au niveau du duodénum.

Cholédoque = évacuation bileduodénum

Wirsung = évacuation contenu pancréatiqueduodénum

  • Le suc pancréatique est composé de nombreuse enzymes dont l’alpha amylase pancréatique.

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LE PANCRÉAS :

  • formé de petits groupe de cellules épithéliales glandulaires
  • 99% de ces glandes forment des amas = ACINI

Sécrètent ezm : fonction exocrines

pancréatique

  • 1% forme des petites masses :

Ilots de Langerhans.

→ Fonction endocrine :

  • Glucagon
  • insuline
  • SST
  • polypeptide pancréatique

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RÉGULATION PANCRÉATIQUE :

  1. Nerveuse :

Durant les phases céphaliques et gastriques de la digestion chimique :

tonus para∑ (nerf X) Sécrétion d’enzymes pancréatiques

  • Hormonale :

régulation grâce sécrétine et la CCK

→ sécrétine : sécrétion riche en bicarbonate

→ CCL : sécrétion riche en ezymes

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FOIE ET VÉSICULE BILIAIRE :

Foie :

  • = + lourde glande de l’organisme (2ème = pancréas)
  • sous le diaphragme
  • divisé en 2 lobes par le ligament falciforme (repli du péritoine)

Vésicules biliaires :

  • muqueuse : épithélium cylindrique simple
  • pas de sous muqueuse
  • stocke et concentre la bile jusqu'à 10 fois
  • bile produite au niveau des hépatocytes

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LA BILE

  • sécrétée par les hépatocytes
  • drainés par les canicules biliaires

déversent canaux biliaires en conduits …

s’unissent

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LA BILE

déversent canaux biliaires en conduits hépatiques Droit et Gauche

s’unissent

fusionne en canal

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LA BILE

déversent canaux biliaires en conduits hépatiques Droit et Gauche

Après le repas, de nombreux stimuli feront contracter la vésicule et libérer la bile au niveau du duodénum

s’unissent

fusionne en canal hépatiques commun

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QCM

Cochez les réponses vraies :

  1. La bile est produite en continue par la vésicules biliaire.

  • La bile a un pH basique.

  • La bile joue un rôle dans l’élimination de la bilirubine et permet la formation de micelles.

  • Les hépatocytes sécrètent 800-1000 L/jour de bile.

  • La bile est composée en partie d’eau, de bilirubine et de cholestérol.

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QCM

  • La bile est produite en continue par la vésicules biliaire.

→ produite pas le FOIE

  • La bile a un pH basique.

→ entre 7,6 et 8,5

  • La bile joue un rôle dans l’élimination de la bilirubine et permet la formation de micelles.

  • Les hépatocytes sécrètent 800-1000 L/jour de bile

→ mL attention aux unités

  • La bile est composée en partie d’eau, de bilirubine et de cholestérol.

→ de sels minéraux, acides biliaires, déchets …

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LA BILE

2. La bile :

  • Produite en continue par le foie
  • 800 à 1000 ml/jour
  • Liquide jaune (hépatique), brun/vert (vésiculaire)
  • pH : 7,6 - 8,5

Composition :

  • Eau (97%)
  • Acides biliaires
  • Sels biliaires
  • Cholestérol
  • Lécithine (phospholipides)
  • Déchets : produits de dégradation de l’hémoglobine : pigments biliaires

(bilirubine)

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RÔLE DE LA BILE

  1. Agent émulsifiant : grâce à la formation de micelles

→ permet la digestion des graisses

  1. Neutralise le chyme gastrique : grâce des ions bicarbonates

  • Élimine la bilirubine, déchets liposolubles.

Elle AIDE à la digestion mais ne permet la digestion à elle seule.

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ABSORPTION INTESTINALE

= TOUS les phénomènes chimiques et mécaniques de la digestion

→ depuis la bouche intestin grêle.

→ permet de transformer les aliments en composés capables de traverser les cellules intestinales.

  • le passage du TD ⇒ SANG = absorption (90% dans l’IG)

Absorption se fait par 3 mécanismes :

  1. Diffusion passive : selon un gradient de Concentration
  2. Diffusion facilité : grâce à un transporteur mbaire
  3. Transport actif :

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ABSORPTION :

LES LIPIDES :

  • 60-150 gr par jour

→ jusqu'à 50% ration calo/jour

→ lipides ++ = TG (80%)

  • phospholipides
  • cholestérol

⇒ métabolisés par des lipases et lipases pancréatiques

LES GLUCIDES :

  • 300/400 gr par jour

polysaccharides, mono,di

  • SEUL mono absorbés

digestion commence dans la bouche : amylase

→ ce qui reste absorbé IG

ABSORPTION/DIGESTION = <3

3 transports :

  • Maltose → maltase (G+G)
  • Saccharose→ sucrase (G+F)
  • lactose→ lactase (G+Galactose)

Absorption QUE MONOSACCHARIDES

LES PROTÉINES :

  • 70/100gr par jour

→ 10-14% de la ration calorique (exogène)

→ protéine endogène dans la lumière intestinal (ezm, glycoP)

⇒ Rôle APPORT ÉNERGIE

Absorption :

  • IG majoritairement
  • colon (cert peptides et AA)

caractéristiques PC tres diff en fonctions des AA ⇒ nbrs systèmes de transports

⇒ Majorité = ACTIF

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ABSORPTION DES VITAMINES :

  1. LIPOSOLUBLES : A D E K
  2. Intestin proximal
  3. incluses micelles
  4. absorbées QUE si intégrées avec des TG

  • HYDROSOLUBLES : C, B1, B2, B6
  • A.Folique + A.Nicotinique
  • absorbés grâce transport facilité ou
  • transporteur dépendant du sodium

  • VITAMINE B12 :
  • combiné facteur intrinsèque de l’estomac
  • absorbée par transport actif

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APRÈS L’ABSORPTION ?

QUE SE PASSE T’IL ?

2 voies de circulation s’offrent aux nutriments absorbés par l’IG :

  1. la voie ….

  • la voie ….

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APRÈS L’ABSORPTION ?

QUE SE PASSE T’IL ?

2 voies de circulation s’offrent aux nutriments absorbés par l’IG :

  • la voie SANGUINE

  • la voie LYMPHATIQUE

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APRÈS L’ABSORPTION ?

2 voies de circulation s’offrent aux nutriments absorbés par l’IG :

  • la voie SANGUINE : avec les capillaires sanguins qui véhiculent
  • majorité eau + sel minéraux
  • monosaccharide ( glucose, fructose, galactose)
  • AA
  • faible partie AG et glycérol
  • une partie vitamines

  • la voie LYMPHATIQUE : les chylifères véhiculent :
  • AG + Glycérol
  • eau + sels minéraux (petite partie)
  • une partie des vitamines

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ANATOMIE DU GROS INTESTIN ET DU CÔLON :

Il y a 4 parties au niveau ANATOMIQUE :

Il y a 2 parties au niveau PHYSIOLOGIQUE :

  1. une partie …

  • une partie …

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ANATOMIE DU GROS INTESTIN ET DU CÔLON :

Il y a 4 parties au niveau ANATOMIQUE :

  • Ascendante

Il y a 2 parties au niveau PHYSIOLOGIQUE :

  • une partie …

  • une partie …

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ANATOMIE DU GROS INTESTIN ET DU CÔLON :

Il y a 4 parties au niveau ANATOMIQUE :

  • Ascendante

  • Transverse

Il y a 2 parties au niveau PHYSIOLOGIQUE :

  • une partie …

  • une partie …

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ANATOMIE DU GROS INTESTIN ET DU CÔLON :

Il y a 4 parties au niveau ANATOMIQUE :

  • Ascendante

  • Transverse

  • Descendante

Il y a 2 parties au niveau PHYSIOLOGIQUE :

  • une partie …

  • une partie …

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ANATOMIE DU GROS INTESTIN ET DU CÔLON :

Il y a 4 parties au niveau ANATOMIQUE :

  • Ascendante

  • Transverse

  • Descendante

  • Sigmoïde

Il y a 2 parties au niveau PHYSIOLOGIQUE :

  • une partie …

  • une partie …

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ANATOMIE DU GROS INTESTIN ET DU COLON

Il y a 4 parties au niveau ANATOMIQUE :

  • Ascendante

  • Transverse

  • Descendant

  • Sigmoïde

Il y a 2 parties au niveau PHYSIOLOGIQUE :

  • une partie PROXIMAL : colon ascendant + ½ transverse (réservoir/réabsorption eau)

  • une partie DISTALE : le reste, activité motrice permet acheminer matière vers sigmoïde et rectum

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MOTRICITÉ DU CÔLON

LES MOUVEMENTS DOIVENT ASSURER :

  • Une activité de mélange du contenu ⇒ meilleure absorption
  • une activité de propulsion assurant le transit du contenu
  • un stockage temporaire entre les 2 défécation

LES DIFFÉRENTES MOUVEMENTS :

  • Brassage Haustral : le colon ne possède pas de replis mais des haustrations

  • Péristaltisme

  • Mouvement de masse = Fortes ondes péristaltiques qui débutent au milieu du colon et qui poussent le contenu vers le rectum.

  • Débute au milieu du côlon transverse.

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Digestion Bactérienne :

  • C’est la dernière étape de la digestion.

  • Aucune enzyme n’est fabriquée dans le côlon.
  • La décomposition de la bilirubine donne la couleur brune des selles.

2 Grandes Phases :

  1. Côlon Ascendant
  2. Fermentation à pH 7

3 Temps de la Défécation

Eléments importants :

  • Présence de Mécanorécepteurs.
  • Implication du SN Parasympathique. :)

2. Côlon Descendant

  • Putréfaction à pH 8

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QCM ANAL :

Question 8 - A propos de la digestion des glucides, quelle(s) est (sont) la/les proposition(s) vraie(s) parmi les suivantes ?

  1. La digestion des glucides débute dans l’estomac.

  • L’amylase pancréatique transforme l’amidon et le glycogène en monosaccharides. (HC)

  • Seuls les monosaccharides (fructose, glucose, galactose) peuvent être absorbés par l’entérocyte.

  • L’absorption du glucose et du galactose se fait par un transport actif.

  • Les disaccharidases sont des enzymes contenues dans le suc pancréatique.

→ 2021

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QCM ANAL : CORRECTION

  • La digestion des glucides débute dans l’estomac.

→ elle début dans la bouche avec l’amylase salivaire

  • L’amylase pancréatique transforme l’amidon et le glycogène en monosaccharides. (HC)

  • Seuls les monosaccharides (fructose, glucose, galactose) peuvent être absorbés par l’entérocyte.

→ OUI seule la forme MONO des sucres est absorbées.

  • L’absorption du glucose et du galactose se fait par un transport actif.

→ fructose : transport par diffusion facilitée

  • Les disaccharidases sont des enzymes contenues dans le suc pancréatique.

→ on ne les retrouvent pas dans le suc pancréatique

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Motricité

SUC INTESTINAL

SUC PANCRÉATIQUE

BILE

- Liquide clair et jaunâtre

- 1 à 2 L/jour par les glandes de Lieberkühn (tapissent cavité de la muqueuse)

- pH alcalin (7,6)

INter prandiale :

  • épais,visqueux, neutre

→ Prandiale:

  • fluide, aqueux, incolore
  • pH alcalin
  • 1 à 2L par jour
  • Produite en continue par le foie
  • 800 à 1000 ml/jour
  • Liquide jaune (hépatique), brun/vert (vésiculaire)
  • pH : 7,6 - 8,5
  • eau,
  • éléments minéraux,
  • mucus et
  • enzymes

  • eau
  • électrolytes
  • enzymes ++
  • Eau (97%)
  • Acides biliaires
  • Sels biliaires
  • Cholestérol
  • Lécithine (phospholipides)
  • Déchets

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PHYSIOLOGIE NEURONALE

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Sommeil

  • Le sommeil occupe de la vie. On observe un rythme .

  • Comment est organisé le sommeil chez les mammifères ?

  • Il s’agit d’un processus passif/actif ?

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Sommeil

  • Le sommeil occupe 1/3 de la vie. On observe un rythme repos-activité.

  • Comment est organisé le sommeil chez les mammifères ?

Il se décompose en plusieurs stades : lent (léger ou profond) et paradoxal.

  • Il s’agit d’un processus passif/actif ? actif

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Sommeil

Il est nécessaire pour plusieurs fonctions :

  • restauration
  • plasticité synaptique
  • mémoire
  • attention
  • émotions
  • équilibre cardio-vasculaire
  • immunitaire

Donc ne négligez PAS le sommeil au profit de vos QCMs ou vos cours !!!! N’hésitez pas à faire une petite sieste de 20 min après le déjeuner

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Stades de veille et de sommeil lent - QCM

A propos des stades de veille et de sommeil, quelle(s) est (sont) la/les proposition(s) vraie(s) parmi les suivantes ?

  1. Le sommeil lent léger (N1) correspond à la porte d’entrée du sommeil dans laquelle on observe un ralentissement de l’électrogénèse.

  • Le sommeil lent léger (N1) représente 50 % de notre sommeil.

  • La période dans laquelle l’activité cérébrale est la plus ralentie correspond au sommeil lent profond (N3).

  • On peut observer des fuseaux de sommeil et de grandes ondes lentes (complexe K) au cours du sommeil lent léger (N2).

  • Les ondes lentes ne sont présentes qu’au cours du sommeil lent léger (N2).

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QCM- Réponses

  1. Le sommeil lent léger (N1) correspond à la porte d’entrée du sommeil dans laquelle on observe un ralentissement de l’électrogénèse.

VRAI : C’est l’endormissement cad une transition entre l’état d’éveil, d’où le ralentissement.

  • Le sommeil lent léger (N1) représente 50 % de notre sommeil.

FAUX : Il s’agit du sommeil lent léger (N2).

  • La période dans laquelle l’activité cérébrale est la plus ralentie correspond au sommeil lent profond (N3).

VRAI : Effectivement c’est le moment où on voit le plus d’ondes lentes.

  • On peut observer des fuseaux de sommeil et de grandes ondes lentes (complexe K) au cours du sommeil lent léger (N2).

VRAI : Au cours de cette phase on observe un ralentissement ce qui explique la présence d’accélérations (fuseaux) mais aussi des ondes lentes (complexes K.

  • Les ondes lentes ne sont présentes qu’au cours du sommeil lent léger (N2).

FAUX : Elles sont aussi présentes pendant le sommeil lent profond (N3).

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Stades de veille et de sommeil lent

activité rapide

ralentissement + pointes vertex

fuseaux

Complexe K

ondes lentes

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Sommeil paradoxal

Grâce à l’EMG on note la présence d’une musculaire et des mouvements rapides/lents lors du sommeil paradoxal.

L’EEG est , de voltage, ressemblant à la veille.

En d’autres termes, qu’est-ce qui caractérise le sommeil paradoxal ?

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Sommeil paradoxal

Grâce à l’EMG on note la présence d’une atonie musculaire et des mouvements oculaires rapides lors du sommeil paradoxal. L’EEG est désynchronisée, de faible voltage, ressemblant à la veille.

En d’autres termes, qu’est-ce qui caractérise le sommeil paradoxal ?

Une activité électrique qui ressemble à de l’éveil mais un état de paralysie complète.

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QCM

A propos des structures induisant le sommeil, quelle(s) est (sont) la/les proposition(s) vraie(s) parmi les suivantes ?

  • Les stimulations externes passent par l’hypothalamus puis activent le cortex cérébral.

  • L’activation de structures au niveau du bas du tronc cérébral provoque une atonie musculaire lors du sommeil paradoxal.

  • Les fuseaux et les ondes lentes agissent de façon indépendante.

  • Pendant le sommeil lent, les neurones thalamiques déchargent de façon discontinue.

  • Le sommeil paradoxal est la période durant laquelle on rêve le plus.

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QCM - Réponses

  • Les stimulations passent par l’hypothalamus puis activent le cortex cérébral pendant l’éveil.

FAUX : Il s’agit du thalamus et non de l’hypothalamus.

  • L’activation de structures au niveau du bas du tronc cérébral provoque une atonie musculaire lors du sommeil paradoxal.

VRAI : Effectivement, lors du sommeil paradoxal l’EMG montre que le tonus du menton est aboli donc paralysie complète.

  • Les fuseaux et les ondes lentes agissent de façon indépendante.

FAUX : Ils sont synchrones.

  • Pendant le sommeil lent, les neurones thalamiques déchargent de façon discontinue.

VRAI : On dit aussi qu’ils déchargent selon un mode phasique.

  • Le sommeil paradoxal est la période durant laquelle on rêve le plus.

VRAI : C’est aussi la période durant laquelle les rêves sont le plus intense.

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Eveil

⇒ Rôle important du thalamus. Mais pourquoi Jamy ?

Pendant l’éveil les structures induisant le sommeil sont inhibées en partie par l’effet horloge biologique. Ces structures d’éveil nous permettent de capter les stimulations extérieures. Les stimulations passent par le thalamus puis activent le cortex cérébral.

En d’autres termes :

le thalamus agit comme un portail en empêchant ou

en laissant passer les stimulations externes

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Sommeil lent

  • Période au cours de laquelle on s’endort

  • Inhibition des systèmes d’éveil par les systèmes inducteurs du sommeil. Thalamus bloque les stimulations externes (bruit, lumière, …)

  • Synchronisation des neurones du thalamus et des neurones corticaux

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Sommeil paradoxal

  • Systèmes d’éveil toujours inhibés

  • Activation de structures a/n du bas du tronc cérébralatonie musculaire

  • Activation corticale non induite par stimulations extérieures

  • Stade au cours duquel on rêve le plus et où les rêves sont le + intenses

systèmes du sommeil paradoxal

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Rôle des fuseaux et des ondes lentes

  • Pendant l’éveil les neurones thalamiques (= réticulée) déchargent de façon continue (= mode tonique).

  • Pendant le sommeil lent, les neurones thalamiques (= réticulée) déchargent de

façon discontinue (= mode phasique). C’est ce qu’on appelle les fuseaux.

  • Les neurones sont reliées au cortex ⇒ réseau entre thalamus et cortex

  • cortex : ondes lentes, pendant leur montée, les neurones déchargent

Les 2 phénomènes sont synchronisés ⇒ thalamus et cortex travaillent de façon coordonnée

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QCM

A propos de la régulation du sommeil, quelle(s) est (sont) la/les proposition(s) vraie(s) parmi les suivantes ?

  1. Il n’existe pas d’effet de l’âge et tous les individus ont besoin de la même quantité de sommeil.

  • Au réveil on observe une sécrétion de cortisol tandis que le soir une sécrétion de mélatonine.

  • L’horloge biologique est déterminé par notre mode de vie.

  • Les lampes incandescentes peuvent perturber la régulation du sommeil.

  • Les cellules ganglionnaires à mélanopsine de la rétine ont un rôle dans la régulation du sommeil mais n’ont pas de rôle sur la vision.

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QCM - Réponses

  1. Il n’existe pas d’effet de l’âge et tous les individus ont besoin de la même quantité de sommeil.

Faux : Il existe justement un effet de l’âge (ex : 2 siestes à 1 an/1 sieste à 4 ans). La quantité de sommeil varie selon chaque individu.

  • Au réveil on observe une sécrétion de cortisol tandis que le soir une sécrétion de mélatonine.

Vrai : le cortisol nous aide à nous réveiller tandis que la mélanine nous aide à nous endormir.

  • L’horloge biologique est déterminé par notre mode de vie.

Faux : Il est déterminé génétiquement.

  • Les lampes incandescentes peuvent perturber la régulation du sommeil.

Faux : Elles n’ont aucun effet, en revanche c’est le cas des lampes LED.

  • Les cellules ganglionnaires à mélanopsine de la rétine ont un rôle dans la régulation du sommeil mais n’ont pas de rôle sur la vision.

Vrai : Effectivement, elles influencent l’horloge biologique, la cognition et les émotions.

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Régulation du sommeil

  • effet de l’âge:

  • nouveau-né : polyphasique, pas de préférence jour/nuit
  • au bout de 1 an : essentiellement la nuit + 2 siestes
  • au bout de 4 an : 1 seule sieste (début d’après-midi)
  • à partir de 10 ans : plus de sieste

⇒ la durée de sommeil varie donc avec l’âge MAIS aussi selon chaque individu.

Il y a des long-dormeurs ou des cours-dormeurs. C’est aussi lié à notre génétique.

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Régulation du sommeil

  • Rôle de l’horloge biologique :

⇒ au niveau du SNC

⇒ rythme circadien (24h)

génétiquement déterminé

  • réveil : sécrétion de cortisol (augmente la pression artérielle).
  • fin de matinée : niveau d'éveil maximal .
  • fin de journée : T°c corporelle plus élevée.
  • début de nuit : sécrétion de mélatonine, influence le sommeil.

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Régulation du sommeil

  • rythme circadien :

⇒ influence de la lumière

  • Obscurité ➜ Sécrétion de mélatonine (glande pinéale) ➜ Augmentation du signal Sommeil”

  • Lumière ➜ Pas de sécrétion de mélatonine ➜ Augmentation du signal “d’éveil”

cellules ganglionnaires à mélanopsine de la rétine : pas de rôle dans la vision, influencent l'horloge biologique et l'humeur (d'où les dépressions saisonnières) et la cognition.

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Les écrans dans tout ça ? (phrase de boomer)

  • cellules ganglionnaires à mélanopsine :
  • le matin : bleu
  • le soir : rouge

  • lampes incandescentes : rien de spécial

  • lampes fluorescentes : début petite activation des cellules ganglionnaires.

  • LED ( écrans ++) : plus grosse activation de ces cellules.

perturbation du rythme biologique en envoyant des signaux "d'éveils".

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La pression de sommeil

  • accumulation de pression de sommeil (pression homéostatique) au cours de la journée

/!\ longues siestes décalent cette pression !

  • participe au déclenchement de l’endormissement

  • pression de sommeil augmente ⇒ profondeur de sommeil augmente

  • synchronisation entre rythme circadien et pression homéostatique

BON SOMMEIL + BONNE QUALITÉ D'ÉVEIL

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QCM

A propos de la vigilance et de l’attention, quelle(s) est (sont) la/les proposition(s) vraie(s) parmi les suivantes ?

  1. La vigilance n’est pas une condition nécessaire pour être attentif et conscient.

  • Le thalamus intervient dans le circuit de la veille.

.

  • Pour être éveillé il faut nécessairement être attentif.

  • L’attention est un processus cognitif dans lequel interviennent deux modalités : top-down et bottom-up.

  • Lorsqu’on réalise une tâche attentionnelle, le réseau attentionnel se met en route.

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QCM - Réponses

  • La vigilance n’est pas une condition nécessaire pour être attentif et conscient.

FAUX : Au contraire, elle permet l’éveil. Or il faut être éveillé pour être conscient.

  • Le thalamus intervient dans le circuit de la veille.

VRAI : Il agit comme un portail sur les stimulations extérieures en les laissant passer ou les inhibant.

  • Pour être éveillé il faut nécessairement être attentif.

FAUX : C’est l’inverse, pour être attentif il faut nécessairement être éveillé.

  • L’attention est un processus cognitif dans lequel interviennent deux modalités.

VRAI : Il s’agit du top-down et du bottom-up.

  • Lorsqu’on réalise une tâche attentionnelle, le réseau attentionnel se met en route.

VRAI : Exact et lorsqu’il n’y a pas de tâche attentionnelle c’est le réseau par défaut.

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Vigilance et attention

/!\ Dans le langage courant vigilance, attention et conscience sont synonymes MAIS en neuro ce n’est pas la même chose.

  • Vigilance : éveil, stades de sommeil (diminution de la vigilance) coma (diminution pathologique) ⇒ condition NÉCESSAIRE pour être attentif et conscient

  • Attention : permet la sélection et maintien d’une information (milieu interne ou externe) à INFLUENCÉE par état de vigilance

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Cas particulier du rêve

A propos de la régulation du rêve, quelle(s) est (sont) la/les proposition(s) vraie(s) parmi les suivantes ?

  1. De manière générale, éveil et conscience ne sont pas proportionnels.

  • Nous rêvons uniquement en sommeil paradoxal.

  • Le niveau d’éveil et de conscience minimal correspond au coma.

  • Le somnambulisme correspond à un haut niveau de conscience avec un faible niveau d’éveil.

  • Les rêveurs lucides sont conscients d’être dans un rêve et peuvent le modifier.

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QCM- Réponses

  1. De manière générale, éveil et conscience ne sont pas proportionnels.

FAUX : Au contraire, ils sont proportionnels.

  • Nous rêvons uniquement en sommeil paradoxal.

FAUX : En paradoxal aussi, attention aux items restrictifs.

  • Le niveau d’éveil et de conscience minimal correspond au coma.

VRAI : exact dans le sens où les yeux sont fermés (sommeil) et qu’il n’y a pas de réponse comportementale (inconscient).

  • Le somnambulisme correspond à un haut niveau de conscience avec un faible niveau d’éveil.

FAUX : il s’agit du sommeil paradoxal. Il correspond à un faible niveau de conscience avec un haut niveau d’éveil.

  • Les rêveurs lucides sont conscients d’être dans un rêve et peuvent le modifier.

VRAI : Le terme “lucide” renvoie justement au fait que le rêveur soit conscient. Comme il est conscient, le rêveur peut agir sur le rêve.

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Vigilance

C’est la capacité à rester éveillé :

  • Maximale pendant la journée
  • Diminue la nuit
  • Diminue légèrement en début d’après-midi (la sieste, tu connais)

Peut être modifiée en cas de prise de certaines substances médicamenteuses/toxiques, états pathologiques, coma …

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Vigilance

Circuit de la veille :

Stimulation externes (= infos extérieures) passent par

le thalamus puis activent cortex cérébral.

=> Donc des lésions a/n de ces structures peuvent

entraîner des pathologies.

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Qui va où ?

état de conscience

minimale

coma

syndrome locked-in

état normal

état végétatif

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état normal

coma

état végétatif

état de

conscience minimale

syndrome locked-in-down

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Attention

Processus cognitif permettant de focaliser ses ressources cognitives sur un stimulus, une action ou un objet donné.

On peut la mettre en jeu de deux façons :

  • Top-down : ?

  • Bottom-up : ?

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Attention

Processus cognitif permettant de focaliser ses ressources cognitives sur un stimulus, une action ou un objet donné.

On peut la mettre en jeu de deux façons :

  • Top-down : je décide d’attirer mon attention sur un objet particulier

  • Bottom-up : quelque chose dans mon environnement attire mon attention et me permet de réagir rapidement

bottom-up

top-down

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Attention

1- Attention soutenue

2- Attention divisée

3- Cécité par inattention

4- Attention sélective

  1. Porter attention simultanément à plusieurs stimuli. Capacité limitée.

  • Mobilisation durable des ressources attentionnelles. Très coûteuse en énergie.

  • Sélection d’une information parmi toutes celles qui sont simultanément présentes. Inhibition des stimuli non pertinents. Mobilisée dans les tâches de recherche spatiale.

  • Quand on cherche quelque chose trop de précis, on peut passer à côté de quelque chose qu'on ne cherche pas.

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Attention

Attention soutenue : Mobilisation durable des ressources attentionnelles. Très coûteuse en énergie.

Attention divisée : Porter attention simultanément à plusieurs stimuli. Capacité limitée.

Cécité par inattention : Quand on cherche quelque chose trop de précis, on peut passer à côté de quelque chose qu'on ne cherche pas.

Attention sélective: sélection d’une information parmi toutes celles qui sont simultanément présentes. Inhibition des stimuli non pertinents. Mobilisée dans les tâches de recherche spatiale.

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Attention

Selon l’attention on observe une modification de la connectivité du cortex cérébral :

  • S’il y a une tâche attentionnelle alors il y a la mise en route du réseau par défaut/attentionnel. Il implique les régions latérales.

  • Au contraire lorsque le cerveau n’est pas impliqué dans une tâche attentionnelle c’est le réseau par défaut/attentionnel qui se met en route. Il implique les régions temporales pariétales et préfrontales médianes.

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Attention

Selon l’attention on observe une modification de la connectivité du cortex cérébral :

  • S’il y a une tâche attentionnelle alors il y a la mise en route du réseau attentionnel. Il implique les régions latérales.

  • Au contraire lorsque le cerveau n’est pas impliqué dans une tâche attentionnelle c’est le réseau par défaut qui se met en route. Il implique les régions temporales pariétales et préfrontales médianes.

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Liens entre vigilance et attention

Pour être attentif il faut être éveillé.

/!\ en état d’éveil le cerveau peut être soit attentif, soit inattentif. Ce qui implique des réseaux différents (par défaut ou attentionnel).

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Mémoire

Il existe 2 types mémoire : la mémoire à long terme et la mémoire à court terme.

La mémoire à long terme se divise en 2 types de mémoire : mémoire et mémoire .

  • Indices :

Mon premier est une instance en justice.

Mon deuxième est le contraire de mou.

Mon dernier est le père de Malcom.

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Mémoire

Il existe 2 types mémoire : la mémoire à long terme et la mémoire à court terme.

La mémoire à long terme se divise en 2 types de mémoire : mémoire procédurale et mémoire déclarative .

  • Indices :

Mon premier est une instance en justice. procès

Mon deuxième est le contraire de mou. dur

Mon dernier est le père de Malcom. Hal

⇒ procédurale

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QCM

A propos de la mémoire à long terme, quelle(s) est (sont) la/les proposition(s) vraie(s) parmi les suivantes ?

  1. La mémoire procédurale est difficilement verbalisable.

  • La mémoire sémantique renvoie aux évènements vécus.

  • Le syndrome de Korsakoff touche les tubercules mamillaires chez les patients alcooliques.

  • Le cas HM a pu mettre en évidence le rôle du circuit PAPEZ dans la mémoire à court terme.

  • Lorsqu’on me demande de retenir une liste de chiffres, je fais appelle à ma mémoire à long terme.

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QCM- Réponses

  • La mémoire procédurale est difficilement verbalisable.

VRAI : En effet, elle renvoie au savoir faire. ex : artisan

  • La mémoire sémantique renvoie aux évènements vécus.

FAUX : C’est la mémoire épisodique. La mémoire sémantique, elle, renvoie à la connaissance.

  • Le syndrome de Korsakoff touche les tubercules mamillaires chez les patients alcooliques. Il impacte donc la mémoire déclarative du patient.

VRAI : Ce sont des structures du circuit PAPEZ qui joue un rôle important dans la mémoire déclarative.

  • Le cas HM a pu mettre en évidence le rôle du circuit PAPEZ dans la mémoire à court terme.

FAUX : Il a un rôle dans la mémoire déclarative (long terme). Il arrivait à faire du vélo mais n’arriverait pas à stocker de nouvelles informations.

  • Lorsqu’on me demande de retenir une liste de chiffres, je fais appelle à ma mémoire à court terme.

VRAI : On les retient à l’instant pour les restituer mais on ne on ne s’en souviendra plus quelques jours après.

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Mémoire à long terme

mémoire à long terme

mémoire procédurale

mémoire déclarative

mémoire épisodique

mémoire sémantique

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Cas Henry Molaison (HM)

  • Le neurochirurgien lui enlève les parties internes des lobes

temporaux médians.

  • Comment cela se traduit-il dans son tableau clinique ?

amnésie, il oublie ce qu’il vit ou l’apprentissage de

nouvelles connaissances.

MAIS … sa capacité à apprendre de nouveaux savoirs faire reste intacte.

Son cas a permis de mettre en avant le rôle du circuit PAPEZ (= circuit hippocampo-mamillo-thalamo-cingulaire) (toujours plus !) dans la mémoire déclarative et émotions.

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Circuit PAPEZ

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Circuit PAPEZ

Néocortex

Cortex cingulaire

Hippocampe

Thalamus antérieur

Hypothalamus

tubercules mamillaires

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QCM

Parmi les propositions suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) exacte(s) ?

  1. L’oreille externe sert à canaliser et filtrer les sons.
  2. L’oreille moyenne est constituée de la cochlée et du labyrinthe.
  3. L’oreille interne est constituée d’une chaîne d’osselets qui sont dans l’ordre le marteau, l’enclume et l'étrier.
  4. Dans l’organe de Corti il existe des cellules de type stéréocils qui sont au contact de la membrane basilaire.
  5. Le cortex droit va coder les aspects fréquentiels et le cortex gauche va faire une discrimination temporele.

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QCM

Parmi les propositions suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) exacte(s) ?

  1. VRAI : effectivement l’oreille externe sert à canaliser et filtrer les sons car le pavillon est aérien
  2. FAUX : oreille moyenne = 3 osselets et oreille interne = labyrinthe + cochlée
  3. FAUX : oreille moyenne = 3 osselets et oreille interne = labyrinthe + cochlée
  4. FAUX : car les stéréocils sont les poils à la surface de la cellule au contact de la membrane TECTORIALE
  5. VRAI : car l’encodage du son est différent à droite et à gauche

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Audition

Le son est la partie audible du spectre acoustique.

Ces vibrations acoustiques sont produites par des variations perceptibles de la pression d’un milieu.

Ces variations ont une amplitude variable, elle se déplace dans l’espace à la vitesse du son : 340 m/s et a une fréquence en Hertz

Les fréquence définissent la hauteur d’un son : si cette onde se propage avec une fréquence élevée : le son sera aiguë

-> L’amplitude définie l’intensité d’un son

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Audition

Oreille externe

Oreille moyenne

Oreille interne

  • Pavillon auriculaire
  • Conduit auditif externe
  • Milieu aérien
  • Membrane tympanique
  • Osselets de l’oreille
  • Fenêtre ovale
  • Milieu aérien
  • cochlée
  • Milieu liquidien

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Audition

2 étapes :

  • Transmission
  • Perception

Grâce à la transduction de l’énergie mécanique de l’onde qui se propage en dépolarisant les cellules nerveuses.

Transmission : (oreille externe et moyenne) grâce à la membrane tympanique et les osselets qui transmettent les vibrations à la fenêtre ovale.

L’onde se propage ensuite dans un milieu liquidien (oreille interne) où se passe la transformation de l’énergie mécanique en impulsions nerveuses.

On passe donc à la perception : transmission du signal de la cochlée jusqu’au cerveau.

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Audition

L’oreille externe sert à canaliser et filtrer les sons.

Les sons sont acheminés le long du canal auditif externe jusqu’à la membrane tympanique.

On voit que le gain est maximal : entre 2 et 5 kHz (son du langage)

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Audition

  • Source sonore SYMÉTRIQUE : les 2 oreilles sont atteintes en même temps.

-> Le fait de tourner la tête permet de rapprocher une oreille de la source : meilleure driscrimination (perception)

  • Source sonore LATÉRALISÉE : 1 oreille percevra le son + lentement que l’autre et + atténué

-> Disposer 2 oreilles : permettre de mieux localiser les sons dans l’espace et augmenter la compréhension de la parole

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Oreille moyenne

  • Milieu aérien
  • Tympan
  • Osselet : marteau, enclume et étrier
  • Etrier fait vibrer la fenêtre ovale

  • Transmission onde sonore
  • Adaptation de l’impédance (résistance) entre milieu aérien et liquidien
  • Amplification sonore de 30 à 100 fois

  • Adaptation de la vibration en fonction de la fréquence
  • Réduire les vibrations aux sons graves pour protéger l’oreille :

SAUF si le son est soudain (explosion) ce qui entraîne des lésions.

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Oreille interne

2 compartiments :

  • Labyrinthe : système vestibulaire (équilibre)
  • Cochlée : système auditif ; elle est enroulée en spirale

Cochlée : 3 sections :

  • Canal ou rampe vestibulaire
  • Rampe tympanique
  • Canal cochléaire : on retrouve organe de Corti

Quand l’étrier vibre, l’onde se dirige dans la cochlée et fait vibrer la membrane basilaire.

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Organe de Corti

2 types de cellules sensorielles

  • cellules ciliées internes
  • cellules ciliées externe

-> stéréocils au contact de la membrane tectoriale.

Vibration de la membrane basilaire :

  • cisaillement entre la membrane basilaire et la membrane tectoriale.

  • Inclinaison du cil avec un mouvement mécanique qui fait rentrer du potassium (dépolarisation).

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Tonotopie du son

Dans la COCHLÉE :

La partie basale : oscillations rapides -> sons aiguës

L’apex : sons graves

Cellules ciliées internes (sensorielles)

Cellules ciliées externes (amplificateur)

  • en rangée
  • fréquence mécanique = fréquence de résonance électrique

Codage de l’intensité :

  • niveau d’inclinaison du cils : + amplitude est grande, + le cils est incliné
  • Augmentation du rythme de décharge d’une fibre Afférente

1 cellules = 3 neurones Afférents

  • amplification ou réduction des sons
  • Modulation grâce aux stéréocils dont la motilité est régulée par les voies Efférentes
  • Cerveau qui régule
  • + ou - sensible à certains sons

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Voies auditives

  • Nerf auditif (3 neurones CCI + 1 fibre pour CCE)
  • Noyaux cochléaires
  • Olives supérieures (+ projection bilatérale)
  • Colliculus inférieur
  • Corps genouillé médian (thalamus) + projection au cortex auditif
  • Cortex auditif (lobe temporale) : aire 41 de Brodmann

-> A chaque niveau, il y a une organisation tonotopique

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Cortex auditives

  • Cortex auditif primaire : aire 41 de Brodmann. Cellules organisées en colonnes et par fréquence : basse (inférieur) et haute (supérieure).

Cortex droit

Cortex gauche

codage fréquentiel :

  • mélodie du langage et de la musique
  • identification des voyelles
  • reconnaissances des voix

discrimination temporelles très fines :

  • différenciation des syllabes
  • rythmiques de la musique

L’encodage du son est différent à droite et à gauche.

Droit : coder les aspects fréquentiels

Gauche : discrimination temporelle

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QCM

Parmi les propositions suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) exacte(s) ?

  1. La motricité est la capacité de mouvement avec relaxation musculaire.
  2. Le mouvement concerne, entre autres, le fait de bouger.
  3. La voie finale commune pour la contraction d’un muscle squelettique est le neurone moteur beta provenant de la corne dorsale.
  4. Les neurones qui constituent la voie pyramidale partent des cortex moteur et du cortex pré-moteur lateral.
  5. La voie pyramidale est polysynaptique et croise dans 80% des cas

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QCM

Parmi les propositions suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) exacte(s) ?

  1. FAUX : motricité est la capacité de mouvement avec CONTRACTION musculaire
  2. VRAI : item NON restrictif (oui oui ca existe) certe le mouvement c’est bouger mais c’est aussi garder un équilibre pour la posture
  3. FAUX : double piège, la voie finale commune pour la contraction d’un muscle squelettique est le neurone moteur ALPHA provenant de la corne VENTRAL (est dit à 100% en anat aussi, à savoir !)
  4. VRAI : Les neurones qui constituent la voie pyramidale (ou faiseau cortio-spinal) partent des cortex moteur + pré-moteur latéral
  5. FAUX : La voie pyramidale est MONOsynaptique

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Motricité

MOTRICITÉ : la capacité du mouvement AVEC contraction musculaire

=> se déplacer, bouger mais aussi la capacité de ne pas bouger càd de garder une posture et un équilibre

un mouvement sollicite, en général, 3 paramètres :

  • volontaires
  • réflexes
  • automatiques

Le mouvement s’apprend avec le développement lors de l’enfance

La motricité est modulée par la vigilance, la fatigue, les émotions, ect…

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Il y a plusieurs étapes pour la réalisation d’un mouvement :

  • Intégration sensorielle : si je veux taper sur un clou avec un marteau, il faut que j’ai conscience de la position de mon doigt, de ma main, de la force que je vais y mettre...
  • Planification : la séquence de mouvements qui amène au geste final
  • Exécution
  • Contrôle sur le mouvement

Toutes ces étapes sont effectuées en même temps, de façon inconsciente la plupart du temps

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Pour que les mouvements dans l’ensemble du corps soient corrects il faut que certains muscles se contractent de façon synergique, tandis que d’autres restent relâchés. 


Tout ceci se fait par une voie finale commune qui est le neurone moteur avec ses quelques dizaines ou centaines de fibres qu’il innerve.

Toutes les structures, le cortex, la moelle, le tronc cérébral, les ganglions et le cervelet, vont tous finir par agir sur cette voie finale commune constituée par le motoneurone alpha.

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Hiérarchie dans la réalisation et le contrôle du mouvement

  • moelle : essentiellement réflexes
  • aires corticomotrices (via la moelle ou tronc cérébrale): mouvement volontaires
  • d’autres structures (cervelet, ganglions de la base) : qui harmonisent ce mouvement volontaire
  • La voie pyramidale : est une voie direct qui va du cortex au neurone moteur.
  • La voie extra-pyramidale : comprend plusieurs boucles (cervelet, noyau gris, thalamus) qui permettent que la sortie direct soit correcte. Elle est polysynaptique.

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Anatomie et organisation

Le cortex moteur :

  • Le cortex préfrontal contrôle la volonté.
  • Les neurones qui constituent la voie pyramidale (ou faiseau cortio-spinal) partent des cortex moteur + pré-moteur latéral
  • Le cortex moteur secondaire = aire motrice supplémentaire + cortex prémoteur latéral qui constituent, avec leurs fibres, le faisceau cortico-spinal

Tous ces neurones descendent sous forme de fibres (= fibres cortico-spinal) a partir des régions entouré en bleu

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La voie pyramidale

cette voie est : MONOSYNAPTIQUE

  • croisée à 80%
  • non croisé à 20% pour innervation bilat)

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Anatomie et organisation

moelle épinière :

  • Les cellules sont organisées en colonnes.

En arrière les fléchisseurs

En avant les extenseurs.


  • Les neurones (partie médiale) c'est les muscles proximaux, et plus on s'éloigne, c'est les muscles distaux

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Fonction des acteurs du système pyramidal

L'exécution du mouvement est volontaire

par exemple on demande à un violoniste de jouer on s'aperçoit que tout le cortex moteur s'allume

PLASTICITÉ + DEXTÉRITÉ + APPRENTISSAGE

On apprend aussi avec l'âge. Il existe un apprentissage physiologique mais aussi sélectif

Le GOAT (pas de débat)

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Système pyramidal

La planification du mouvement se passe dans le cortex pré-moteur

Le système pyramidal contribue au tonus musculaire et régule le réflexe myotatique. Il permet de :

  • Lutter contre la pesanteur
  • Maintenir la posture
  • Maintienir l'équilibre

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QCM

Parmi les propositions suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) exacte(s) ?

  1. Toutes les parties de la langue peuvent percevoir toutes les saveurs
  2. Les canaux ioniques pour ce qui est acide et salé, les RCPG pour ce qui est Amer, umami et sucré.
  3. Les papilles fongiformes sont innervées par le nerf facial.
  4. Les papilles foliées par le nerf glosso-pharyngien.
  5. Les papilles de l'épiglotte et du larynx par le nerf vague.

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QCM

Parmi les propositions suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) exacte(s) ?

  1. VRAI : même si c’est vrai que certaines zones sont plus sensible que d’autres
  2. VRAI : par exemple tout ce qui est salé passe sous la forme de NaCl et empreinte du coup les canaux ioniques, et les RCPG c’est des recpeturs (molecule se fiche sur récepteur)
  3. VRAI : Les papilles fongiformes sont innervées par le nerf facial
  4. VRAI : Les papilles foliées par le nerf glosso-pharyngien
  5. VRAI : Les papilles de l'épiglotte et du larynx par le nerf vague

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Gustation

Quelles perception gustative connaissez vous ?

  • Salé
  • Sucré
  • Acide
  • Amer
  • Umami (vient du japonais et veut dire savoureux)

L’organe du goût réside dans la langue avec les papilles gustatives. Il en existe plusieurs types :

  • circumvallées
  • foliées
  • fongiformes

correspondance entre molécules et saveurs

Toutes les parties de la langue peuvent percevoir toutes les saveurs

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Gustation

Sur chaque cellule, certains récepteurs spécifiques exprimés correspondent aux différentes molécules/goûts.

Récepteurs :

  • canaux ioniques pour acide et salé
  • RCPG pour Amer, umami et sucré

Mécanisme :

contact avec un stimulus chimique => sub chimique se lie au recepteur ou canal ionique => dépolarisation cellule => libération neurotransmetteur => relais dans le bulbe => PA transmis jusqu’au cerveau

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Transfert vers le SNC

Les papilles fongiformes sont innervées par le nerf facial(VII).

Les papilles foliées par le nerf glosso-pharyngien(IX).

Les papilles de l'épiglotte et du larynx par le nerf vague(X).

Cortex gustatif primaire

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Olfaction

Odeurs :

  • corps chimique volatil
  • Petite taille (< 300 Da)
  • Hydrosolubles (mucus) ou liposolubles (membrane)
  • protéine de transport

mécanisme :

détection => transduction => intégration

Détection et traduction des odeurs :

Épithélium olfactif

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Codage de l’information

  • Intensité des odeurs :

Plus l'odeur est concentrée, plus la cellule décharge.

Donc la fréquence de décharge augmente avec l'augmentation de la concentration du stimulus.

  • Discrimination des odeurs :

- Un récepteur olfactif répond à plusieurs odeurs

- Une odeur peut activer plusieurs récepteurs

Nombre de récepteurs activés par un mélange d'odeurs

Somme des récepteurs activés par chaque odeur isolément

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Relais dans le bulbe olfactif

1) Les cellules réceptrices bipolaires : axones traversent la lame criblée de l'ethmoïde vers le bulbe olfactif.

2) Synapse --> 2ème neurone (cellule mitrale)

3) Quitte le bulbe olfactif à travers le tractus olfactif pour gagner les cortex olfactifs (dans les structures temporales internes) dans le SNC

Le cortex piriforme et les amygdales et le cortex entorhinale encodent les odeurs.

Les cortex secondaires orbito-frontaux attendent directement, ou via le thalamus.

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Cortex olfactifs secondaires

structures importantes dans les mécanismes d'alertes et d'attachement

  • odeur de l'étranger active l'amygdale (peur)
  • l'odeur d'un ami active le cingulaire postérieur pour signaler une familiarité.

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Vous êtes les meilleurs !

Ils ont tous dit que c’était impossible jusqu’à ce que je le fasse (téma la bête de phrase)

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Merci pour votre attention

174 of 175

heheheha

heheheha

heheheha

heheheha

heheheha

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Merci le TAM, vous avez sauvé mon s1 <3