NT UE2 - n°1
Physiologie neuronale
Physiologie digestive
15/04/19
Nassima
Tania
Lina
le 13/11/23
Camille Michel de Chabannes - P2
Eléonore de Larminat - P2
Anaïs Meynet-Noyau - P2
Zeyneb Harizi - L2 - maïeutique
PHYSIOLOGIE DIGESTIVE
Généralités pour commencer ce cours long, très long, trop long …
Digestion => processus de simplification moléculaire des macromolécules en NUTRIMENTS : AA, AG et oses.
Eux vont être capables de traverser la membrane plasmique des cellules et être intégrés au métabolisme.
Nourriture -> source d’énergie des réactions chimiques.
Les aliments retrouvés : eau, sels minéraux, vitamines et macromolécules.
Petit problème, les épithéliums sont imperméables ——> les aliments ne sont pas assimilables par l’organisme.
On fait passer les nutriments oooouuuuu
4 étapes pour faire passer les nutriments, l’eau et les électrolytes de l'environnement externe vers le milieu intérieur du corps.
=> phénomènes mécanique (musculature du tube digestif) et chimique (sucs digestifs).
On fait passer les nutriments oooouuuuu
4 étapes pour faire passer les nutriments, l’eau et les électrolytes de l'environnement externe vers le milieu intérieur du corps.
=> phénomènes mécanique (musculature du tube digestif) et chimique (sucs digestifs).
On fait passer les nutriments oooouuuuu
4 étapes pour faire passer les nutriments, l’eau et les électrolytes de l'environnement externe vers le milieu intérieur du corps.
=> phénomènes mécanique (musculature du tube digestif) et chimique (sucs digestifs).
Le schéma nous montre que le système digestif et cardio-vasculaire agissent en synergie (= action coordonnée).
Petits rappels anatomiques et histologiques (j’espère que vous avez écouté le NT UE 5)
Tube digestif : s’étend de la bouche jusqu’à l’anus.
-> bouche
-> pharynx
-> œsophage
-> estomac
-> intestin grêle
-> gros intestin
-> rectum
Organes annexes :
-> dents
-> langue
-> glandes salivaires
-> foie
-> vésicule biliaire
-> pancréas
/!\ Les organes glandulaires ne font pas partie du TD mais ils sécrètent des substances par l'intermédiaire de canaux qui les relient au tube. /!\
Le QCM ne te lâchera pas
A - D’un point de vue histologique, la structure du tube digestif est différente de l’œsophage au canal anal.
B - La séreuse est la couche la plus externe et est une couche de tissu conjonctif.
C - La musculeuse est composée de muscles striés sous le contrôle volontaire qui représentent la majorité des muscles.
D - La sous-muqueuse contient le plexus sous-muqueux de Meissner.
E - La muqueuse est constituée de 3 couches dont la lamina propria.
Le potit P1 qui tappe sa meilleure fuite face aux QCM.
Le QCM ne te lâchera pas
A - D’un point de vue histologique, la structure du tube digestif est différente de l’œsophage au canal anal.
FAUX : c’est la même !
B - La séreuse est la couche la plus externe et est une couche de tissu conjonctif.
VRAI : Bien joué !
C - La musculeuse est composée de muscles striés sous le contrôle volontaire qui représentent la majorité des muscles.
FAUX : Ouch attention ! Les muscles striés ne sont pas la majorité des muscles. 90% de la musculeuse est composée de muscles lisses.
D - La sous-muqueuse contient le plexus sous-muqueux de Meissner.
VRAI : C’est un réseau de neurones.
E - La muqueuse est constituée de 3 couches dont la lamina propria.
VRAI : On retrouve aussi un épithélium de revêtement et une fine couche de cellules musculaires lisses.
Histologie :
Ces tuniques permettent au TD d’exercer 3 fonctions :
Histologie :
Ces tuniques permettent au TD d’exercer 3 fonctions :
Les 4 tuniques :
La séreuse :
La musculeuse :
-> muscles striés : extrémité du TD, parties distales et proximales. Par exemple, le sphincter anal est sous le contrôle volontaire (vous aviez remarqué hein ???!!!!).
-> muscles lisses : 90% des muscles du tractus digestif. Contrôle involontaire.
=> circulaire interne : segmentaires (qui coupent)
– réseau de neurones : plexus myentérique ou plexus d’Auerbach —
=> longitudinale externe : pendulaires
Épaississement de la couche circulaire = SPHINCTERS (au niveau du pylore, jonction iléo-cæcale et sphincter interne de l’anus).
La sous-muqueuse :
La muqueuse :
Couches : | | | Caractéristiques : |
Épithélium de revêtement, en contact avec les aliments | | | En se contractant, elle peut modifier les plis de l’épithélium. -> augmente la surface de digestion et d’absorption. |
Lamina propria ou chorion | | | - 1 couche de cellules reliées par des jonctions occlusives. - C entéro-endocrines (hormones) - C exocrines |
Fine couche de cellules musculaires lisses | | | - nombreux vaisseaux sanguins et lymphatiques (voies des nutriments pour atteindre les autres tissus - C immunitaires +++ |
La muqueuse :
Couches : | | | Caractéristiques : |
Épithélium de revêtement, en contact avec les aliments | | | En se contractant, elle peut modifier les plis de l’épithélium. -> augmente la surface de digestion et d’absorption. |
Lamina propria ou chorion | | | - 1 couche de cellules reliées par des jonctions occlusives. - C entéro-endocrines (hormones) - C exocrines |
Fine couche de cellules musculaires lisses | | | - nombreux vaisseaux sanguins et lymphatiques (voies des nutriments pour atteindre les autres tissus - C immunitaires +++ |
La muqueuse :
Couches : | | | Caractéristiques : |
Épithélium de revêtement, en contact avec les aliments | | | En se contractant, elle peut modifier les plis de l’épithélium. -> augmente la surface de digestion et d’absorption. |
Lamina propria ou chorion | | | - 1 couche de cellules reliées par des jonctions occlusives. - C entéro-endocrines (hormones) - C exocrines |
Fine couche de cellules musculaires lisses | | | - nombreux vaisseaux sanguins et lymphatiques (voies des nutriments pour atteindre les autres tissus - C immunitaires +++ |
La muqueuse :
Couches : | | | Caractéristiques : |
Épithélium de revêtement, en contact avec les aliments | | | En se contractant, elle peut modifier les plis de l’épithélium. -> augmente la surface de digestion et d’absorption. |
Lamina propria ou chorion | | | - 1 couche de cellules reliées par des jonctions occlusives. - C entéro-endocrines (hormones) - C exocrines - Très variable |
Fine couche de cellules musculaires lisses | | | - nombreux vaisseaux sanguins et lymphatiques (voies des nutriments pour atteindre les autres tissus - C immunitaires +++ |
Régulation des activités digestives :
Régulation pour rendre la digestion aussi efficaces que possible.
-> Régulation nerveuse.
-> Régulation hormonale.
Innervation des muscles LISSES :
Innervation intrinsèque :
Neurones dont les corps cellulaires sont situés dans la paroi du TD = PLEXUS.
-> Plexus sous-muqueux (Meissner) :
innervation des glandes
=> contrôle des sécrétions gastro-intestinales.
-> Plexus myentérique :
innervation de la musculeuse
=> contrôle moteur.
Innervation extrinsèque :
Infos provenant du SNC
-> Parasympathique :
- n. pneumogastrique (vague, X) innerve la portion SUP du TD jusqu’au côlon ascendant.
- n. pelviens innerve partie ano-rectale, côlon descendant.
-> Orthosympathique :
n. splanchnique : dans tout le TD. Provient des segments sacrés de la moelle.
On continue avec l’innervation :
Parasympathique a un effet plutôt facilitateur ( augmente la motilité, stimule les sécrétion ) => il est moteur.
Orthosympathique diminue la motilité, inhibe les sécrétions et stimule les sphincters. => il est inhibiteur.
/!\ Pour les régions sphinctériennes :
LES DIFFÉRENTES PHASES DE LA DIGESTION
J’espère que vous êtes prêts car ce n’était que les généralités.
Le QCM des familles :
A - Les phénomènes buccaux sont la phonation et la salivation.
B - La fonction de mastication est double : broyage et mélange.
C - La glande parotide, comportant des cellules uniquement séreuses, sécrète l’amylase.
D - La lipase linguale est active dans la bouche.
E - Le contrôle des glandes salivaires se fait essentiellement par le système nerveux autonome.
La correction des familles :
A - Les phénomènes buccaux sont la phonation et la salivation.
FAUX : Ce sont la mastication et la salivation.
B - La fonction de mastication est double : broyage et mélange.
C - La glande parotide, comportant des cellules uniquement séreuses, sécrète l’amylase.
D - La lipase linguale est active dans la bouche.
FAUX : Non, non, non elle est INACTIVE dans la bouche.
E - Le contrôle des glandes salivaires se fait essentiellement par le système nerveux autonome.
ANSWERS
Les phénomènes buccaux :
Les phénomènes buccaux sont la mastication et la salivation.
La bouche et ses organes annexes (dents, langue et glandes salivaires) vont :
La mastication :
Réflexe par la présence d’aliments.
-> peut être INvolontaire.
Fonction double :
Mélange
Broyage
Vous la connaissez ???
La salivation :
La sécrétion est assurée par trois paires de glandes qui déversent leurs sécrétions dans la cavité buccale et sur la langue.
-> permet de maintenir humide la bouche, les lèvres et le pharynx.
-> lorsque des aliments pénètrent, les sécrétions augmentent pour lubrifier la nourriture, la dissoudre et amorcer la transformation chimique.
Nom de la glande | Cellules des acini |
Parotide | uniquement ………… sécrétion de l’amylase |
…………… | uniquement muqueuses sécrétion du mucus ( |
Sous ………… | ………… |
La salivation :
La sécrétion est assurée par trois paires de glandes qui déversent leurs sécrétions dans la cavité buccale et sur la langue.
-> permet de maintenir humide la bouche, les lèvres et le pharynx.
-> lorsque des aliments pénètrent, les sécrétions augmentent pour lubrifier la nourriture, la dissoudre et amorcer la transformation chimique.
Nom de la glande | Cellules des acini |
Parotide | uniquement séreuses sécrétion de l’amylase |
…………… | uniquement muqueuses sécrétion du mucus ( |
Sous ………… | ………… |
La salivation :
La sécrétion est assurée par trois paires de glandes qui déversent leurs sécrétions dans la cavité buccale et sur la langue.
-> permet de maintenir humide la bouche, les lèvres et le pharynx.
-> lorsque des aliments pénètrent, les sécrétions augmentent pour lubrifier la nourriture, la dissoudre et amorcer la transformation chimique.
Nom de la glande | Cellules des acini |
Parotide | uniquement séreuses sécrétion de l’amylase |
Sublinguales | uniquement muqueuses sécrétion du mucus ( |
Sous ………… | ………… |
La salivation :
La sécrétion est assurée par trois paires de glandes qui déversent leurs sécrétions dans la cavité buccale et sur la langue.
-> permet de maintenir humide la bouche, les lèvres et le pharynx.
-> lorsque des aliments pénètrent, les sécrétions augmentent pour lubrifier la nourriture, la dissoudre et amorcer la transformation chimique.
Nom de la glande | Cellules des acini |
Parotide | uniquement séreuses sécrétion de l’amylase |
Sublinguales | uniquement muqueuses sécrétion du mucus ( |
Sous maxillaires | mixtes |
Les enzymes salivaires :
Contrôle de la sécrétion par le SNA :
La déglutition :
Activité motrice qui fait passer le bol alimentaire de la bouche à l’estomac.
Elle est déclenchée par la voie réflexe / commande volontaire / mastication.
Temps buccal :
-> VOLONTAIRE
-> bol est déplacé vers l’oropharynx
Temps oesophagien :
-> passage INVOLONTAIRE de l’œsophage à l’estomac
Temps pharyngien :
-> passage INVOLONTAIRE du bol du pharynx à l’œsophage
-> très bref : apnée
La déglutition :
Temps buccal :
Temps oesophagien :
Temps pharyngien :
Centre intégrateur de la déglutition -> bulbe rachidien (plancher du 4ème ventricule).
Innervation extrinsèque :
L'oropharynx et l'oesophage supérieur = muscles striés innervés par le V, IX et le X.
Reste de l'oesophage = Muscle lisse innervé par le X
Transition du turfu ou pas :
/!\ A ce niveau, seuls les glucides ont subi le processus de digestion. /!\
Notre bol alimentaire est au niveau du sphincter INF de l’œsophage. on se retrouve donc dans la région du cardia soit de l’estomac.
On poursuit avec l’ÉTAPE GASTRIQUE ( WOUHOU !!!!!)
Rappels anatomiques
Délimité par le cardia en haut et le pylore en bas.
D’un point de vue anatomique, on peut le diviser en 3 :
D’un point de vue physiologique on le divise en 2 :
Histologie :
Extérieur vers l’intérieur :
3 couches de fibres musculaires lisses :
=> permet la contraction pour faire brasser les aliments, les transformer en petites particules, les mélanger au suc gastrique et enfin les pousser vers le duodénum.
La muqueuse de l’estomac :
Types de cellules | Sécrétion | Localisation |
Cellules à mucus | gel alcalin, protection muqueuse des brûlures acides | Fundus et corps Antre |
Cellules principales | pepsinogène : précurseur de la principale enzyme gastrique et de la lipase | Fundus et corps |
Cellules pariétales (= bordantes) | sécrétion de HCl et du facteur intrinsèque | Fundus et corps |
Cellules endocrines | Cellules C : gastrines, cellules D : somatostatine, cellules entérochromaffines : histamine | Antre |
Muqueuse :
=> Épithélium cylindrique simple.
=> digestion mécanique : broyage, malaxage et brassage.
=> digestion chimique : sucs gastriques
Motricité
Estomac vide -> ondes de faible amplitude pour maintenir une pression supérieure à celle de l’œsophage pour que le cardia reste fermé et empêche toute remontée de liquide acide.
Remplissage -> compliance : relaxation réceptive. Mise en jeu de l’estomac proximal.
Vidange gastrique : phase d’évacuation -> quelques minutes après le début du repas.
=> brassage et fragmentation du chyme
Digestion chimique :
Composition suc gastrique : acide chlorhydrique HCl + enzymes (pepsine et lipase) + mucus + facteurs intrinsèques.
HCl :
Cellules pariétales sécrètent des ions Cl et H+.
Rôle de :
Enzymes :
Sécrétion par les cellules principales
régulation de la sécrétion et motilité gastrique :
Phase ………:
Réflexe utilisant le nerf X
Phase gastrique :
Contrôle nerveux :
Contrôle humoral :
Phase intestinale :
régulation de la sécrétion et motilité gastrique :
Phase céphalique :
Réflexe utilisant le nerf X
Phase gastrique :
Contrôle nerveux :
Contrôle humoral :
Phase intestinale :
régulation de la sécrétion et motilité gastrique :
Phase céphalique :
Réflexe utilisant le nerf X
Phase gastrique :
Contrôle nerveux :
Contrôle humoral :
Phase intestinale :
régulation de la sécrétion et motilité gastrique :
Phase céphalique :
Réflexe utilisant le nerf X
Phase gastrique :
Contrôle nerveux :
Contrôle humoral :
Phase intestinale :
Bilan de la digestion au niveau gastrique :
On passe à la suite :
Notre bol alimentaire continue son chemin à travers l’intestin (ça rime) !!!!!!!
La digestion se poursuit …
L’intestin grêle
Divisé en 3 segments :
→ représente : 75-85% du tube digestif.
Enserre le pancréas + reçoit ses produits :
HISTOLOGIE DE L’IG
Séreuse
Musculeuse
Sous muqueuse
Muqueuse
Sous muqueuse + Muqueuse :
→ sont adaptées pour permettre à l’IG les processus de digestion et d'absorption (90% au niveau du duodénum, 1er segment de l’IG)
Dans la sous muqueuse :
→ glandes de Brunner ( ou duodénales) sécrètent du mucus alcalin
Dans la muqueuse :
→ glande intestinales de Lierberkühn (tapissent les cavités)
extérieur
intérieur
LA MUQUEUSE DE L’IG
Composée :
→ bordure en brosse, couvert de glycocalyx
(= gel muqueux alcalin)
Capacité d’absoption = x600 du STRUCTURE
Les cellules de la muqueuse de l’IG
4 types de cellules sont observables :
→ nombreuses villosités/ sécrètent ezm de la bordure en brosse
→ sécrètent le mucus : aide le bol alimentaire à glisser 🎿
→ dans les parties les + profondes (=cryptes)
→ elles sécrètent des ezm à activité anti-microbienne
→ sécrètent nombreuses hormones (gastrine, somatostatine, cholécystokinine… )
→ localisées au niveau des cryptes
QCM
QCM
→ c’est le mvmt de péristaltiques qui permet la progression
→ c’est le système para:))
→ faux, la motiline favorise les CMM
MOTRICITÉ DE L’IG :
Digestion organiser en 2 phases :
MOTRICITÉ DE L’IG :
MOTRICITÉ DE L’IG :
Les fonctions de la motricité de l’IG :
MOTRICITÉ DE L’IG :
Les fonctions de la motricité de l’IG :
MOTRICITÉ DE L’IG :
Les fonctions de la motricité de l’IG :
MOTRICITÉ DE L’IG :
Les fonctions de la motricité de l’IG :
MOTRICITÉ DE L’IG : la phase interprandiale
La phase interprandiale/inter-digestive :
→ assurée par des contractions régulières = CMM (en 3 phases)
les CMM permettent :
MOTRICITÉ DE L’IG : la phase digestive
La phase digestive :
→ se déclenche lors de l’arrivé du bol alimentaire
→ activité contractile continu et irrégulières qui permet de
Grâce à 2 mouvements :
LA DIGESTION :
La digestion de l’IG est sous la dépendance de 3 sécrétions :
LA DIGESTION :
La digestion de l’IG est sous la dépendance de 3 sécrétions :
LA DIGESTION :
La digestion de l’IG est sous la dépendance de 3 sécrétions :
LA DIGESTION :
La digestion de l’IG est sous la dépendance de 3 sécrétions :
LA DIGESTION :
Suc intestinal :
- Liquide clair et jaunâtre
- 1 à 2 L/jour par les glandes de Lieberkühn (tapissent cavité de la muqueuse)
- pH alcalin (7,6)
- Composition : eau, éléments minéraux, mucus et enzymes
Les enzymes intestinales :
→ Ce sont les enzymes de la bordure en brosse.
- Glucides : dextrinase, maltase, sucrase, lactase
- Peptides : peptidase
- Nucléotides : Nucléosidase et phosphatase
- ± Enterokinase (produite par la muqueuse duodénale) :
active le trypsinogène en ⇒ trypsine
LES SÉCRÉTIONS PANCRÉATIQUES :
2ème + grande glande de l’organisme (foie = 1er)
Le canal de Wirsung évacuer le contenu pancréatique au niveau du
⇒ duodénum.
Le canal cholédoque évacuer bile ⇒ duodénum.
Reliés au duodénum
QCM PANCRÉAS
QCM PANCRÉAS
→ attention il est fluide, aqueux et transparent en phase prandiale.
→ oui sauf que le nerf vague est le nerf X.
Cholédoque = évacuation bile → duodénum
Wirsung = évacuation contenu pancréatique → duodénum
LE PANCRÉAS :
→ Sécrètent ezm : fonction exocrines
pancréatique
Ilots de Langerhans.
→ Fonction endocrine :
RÉGULATION PANCRÉATIQUE :
Durant les phases céphaliques et gastriques de la digestion chimique :
tonus para∑ (nerf X) ⟶ Sécrétion d’enzymes pancréatiques
régulation grâce sécrétine et la CCK
→ sécrétine : sécrétion riche en bicarbonate
→ CCL : sécrétion riche en ezymes
FOIE ET VÉSICULE BILIAIRE :
Foie :
Vésicules biliaires :
LA BILE
déversent canaux biliaires en conduits …
s’unissent
LA BILE
déversent canaux biliaires en conduits hépatiques Droit et Gauche
s’unissent
fusionne en canal …
LA BILE
déversent canaux biliaires en conduits hépatiques Droit et Gauche
→ Après le repas, de nombreux stimuli feront contracter la vésicule et libérer la bile au niveau du duodénum
s’unissent
fusionne en canal hépatiques commun
QCM
Cochez les réponses vraies :
QCM
→ produite pas le FOIE
→ entre 7,6 et 8,5
→ mL attention aux unités
→ de sels minéraux, acides biliaires, déchets …
LA BILE
2. La bile :
Composition :
(bilirubine)
RÔLE DE LA BILE
→ permet la digestion des graisses
Elle AIDE à la digestion mais ne permet la digestion à elle seule.
ABSORPTION INTESTINALE
= TOUS les phénomènes chimiques et mécaniques de la digestion
→ depuis la bouche intestin grêle.
→ permet de transformer les aliments en composés capables de traverser les cellules intestinales.
Absorption se fait par 3 mécanismes :
ABSORPTION :
LES LIPIDES :
→ jusqu'à 50% ration calo/jour
→ lipides ++ = TG (80%)
⇒ métabolisés par des lipases et lipases pancréatiques
LES GLUCIDES :
polysaccharides, mono,di
digestion commence dans la bouche : amylase
→ ce qui reste absorbé IG
ABSORPTION/DIGESTION = <3
3 transports :
Absorption QUE MONOSACCHARIDES
LES PROTÉINES :
→ 10-14% de la ration calorique (exogène)
→ protéine endogène dans la lumière intestinal (ezm, glycoP)
⇒ Rôle APPORT ÉNERGIE
Absorption :
caractéristiques PC tres diff en fonctions des AA ⇒ nbrs systèmes de transports
⇒ Majorité = ACTIF
ABSORPTION DES VITAMINES :
APRÈS L’ABSORPTION ?
QUE SE PASSE T’IL ?
2 voies de circulation s’offrent aux nutriments absorbés par l’IG :
APRÈS L’ABSORPTION ?
QUE SE PASSE T’IL ?
2 voies de circulation s’offrent aux nutriments absorbés par l’IG :
APRÈS L’ABSORPTION ?
2 voies de circulation s’offrent aux nutriments absorbés par l’IG :
ANATOMIE DU GROS INTESTIN ET DU CÔLON :
Il y a 4 parties au niveau ANATOMIQUE :
Il y a 2 parties au niveau PHYSIOLOGIQUE :
ANATOMIE DU GROS INTESTIN ET DU CÔLON :
Il y a 4 parties au niveau ANATOMIQUE :
Il y a 2 parties au niveau PHYSIOLOGIQUE :
ANATOMIE DU GROS INTESTIN ET DU CÔLON :
Il y a 4 parties au niveau ANATOMIQUE :
Il y a 2 parties au niveau PHYSIOLOGIQUE :
ANATOMIE DU GROS INTESTIN ET DU CÔLON :
Il y a 4 parties au niveau ANATOMIQUE :
Il y a 2 parties au niveau PHYSIOLOGIQUE :
ANATOMIE DU GROS INTESTIN ET DU CÔLON :
Il y a 4 parties au niveau ANATOMIQUE :
Il y a 2 parties au niveau PHYSIOLOGIQUE :
ANATOMIE DU GROS INTESTIN ET DU COLON
Il y a 4 parties au niveau ANATOMIQUE :
Il y a 2 parties au niveau PHYSIOLOGIQUE :
MOTRICITÉ DU CÔLON
LES MOUVEMENTS DOIVENT ASSURER :
LES DIFFÉRENTES MOUVEMENTS :
Digestion Bactérienne :
2 Grandes Phases :
→ 3 Temps de la Défécation
Eléments importants :
2. Côlon Descendant
QCM ANAL :
Question 8 - A propos de la digestion des glucides, quelle(s) est (sont) la/les proposition(s) vraie(s) parmi les suivantes ?
→ 2021
QCM ANAL : CORRECTION
→ elle début dans la bouche avec l’amylase salivaire
→ OUI seule la forme MONO des sucres est absorbées.
→ fructose : transport par diffusion facilitée
→ on ne les retrouvent pas dans le suc pancréatique
Motricité
SUC INTESTINAL | SUC PANCRÉATIQUE | BILE |
- Liquide clair et jaunâtre - 1 à 2 L/jour par les glandes de Lieberkühn (tapissent cavité de la muqueuse) - pH alcalin (7,6) | → INter prandiale :
→ Prandiale:
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PHYSIOLOGIE NEURONALE
Sommeil
Sommeil
Il se décompose en plusieurs stades : lent (léger ou profond) et paradoxal.
Sommeil
Il est nécessaire pour plusieurs fonctions :
Donc ne négligez PAS le sommeil au profit de vos QCMs ou vos cours !!!! N’hésitez pas à faire une petite sieste de 20 min après le déjeuner
Stades de veille et de sommeil lent - QCM
A propos des stades de veille et de sommeil, quelle(s) est (sont) la/les proposition(s) vraie(s) parmi les suivantes ?
QCM- Réponses
VRAI : C’est l’endormissement cad une transition entre l’état d’éveil, d’où le ralentissement.
FAUX : Il s’agit du sommeil lent léger (N2).
VRAI : Effectivement c’est le moment où on voit le plus d’ondes lentes.
VRAI : Au cours de cette phase on observe un ralentissement ce qui explique la présence d’accélérations (fuseaux) mais aussi des ondes lentes (complexes K.
FAUX : Elles sont aussi présentes pendant le sommeil lent profond (N3).
Stades de veille et de sommeil lent
activité rapide
ralentissement + pointes vertex
fuseaux
Complexe K
ondes lentes
Sommeil paradoxal
Grâce à l’EMG on note la présence d’une … musculaire et des mouvements … rapides/lents lors du sommeil paradoxal.
L’EEG est … , de … voltage, ressemblant à la veille.
En d’autres termes, qu’est-ce qui caractérise le sommeil paradoxal ?
Sommeil paradoxal
Grâce à l’EMG on note la présence d’une atonie musculaire et des mouvements oculaires rapides lors du sommeil paradoxal. L’EEG est désynchronisée, de faible voltage, ressemblant à la veille.
En d’autres termes, qu’est-ce qui caractérise le sommeil paradoxal ?
Une activité électrique qui ressemble à de l’éveil mais un état de paralysie complète.
QCM
A propos des structures induisant le sommeil, quelle(s) est (sont) la/les proposition(s) vraie(s) parmi les suivantes ?
QCM - Réponses
FAUX : Il s’agit du thalamus et non de l’hypothalamus.
VRAI : Effectivement, lors du sommeil paradoxal l’EMG montre que le tonus du menton est aboli donc paralysie complète.
FAUX : Ils sont synchrones.
VRAI : On dit aussi qu’ils déchargent selon un mode phasique.
VRAI : C’est aussi la période durant laquelle les rêves sont le plus intense.
Eveil
⇒ Rôle important du thalamus. Mais pourquoi Jamy ?
Pendant l’éveil les structures induisant le sommeil sont inhibées en partie par l’effet horloge biologique. Ces structures d’éveil nous permettent de capter les stimulations extérieures. Les stimulations passent par le thalamus puis activent le cortex cérébral.
En d’autres termes :
le thalamus agit comme un portail en empêchant ou
en laissant passer les stimulations externes
Sommeil lent
Sommeil paradoxal
systèmes du sommeil paradoxal
Rôle des fuseaux et des ondes lentes
façon discontinue (= mode phasique). C’est ce qu’on appelle les fuseaux.
Les 2 phénomènes sont synchronisés ⇒ thalamus et cortex travaillent de façon coordonnée
QCM
A propos de la régulation du sommeil, quelle(s) est (sont) la/les proposition(s) vraie(s) parmi les suivantes ?
QCM - Réponses
Faux : Il existe justement un effet de l’âge (ex : 2 siestes à 1 an/1 sieste à 4 ans). La quantité de sommeil varie selon chaque individu.
Vrai : le cortisol nous aide à nous réveiller tandis que la mélanine nous aide à nous endormir.
Faux : Il est déterminé génétiquement.
Faux : Elles n’ont aucun effet, en revanche c’est le cas des lampes LED.
Vrai : Effectivement, elles influencent l’horloge biologique, la cognition et les émotions.
Régulation du sommeil
⇒ la durée de sommeil varie donc avec l’âge MAIS aussi selon chaque individu.
Il y a des long-dormeurs ou des cours-dormeurs. C’est aussi lié à notre génétique.
Régulation du sommeil
⇒ au niveau du SNC
⇒ rythme circadien (24h)
⇒ génétiquement déterminé
Régulation du sommeil
⇒ influence de la lumière
⇒ cellules ganglionnaires à mélanopsine de la rétine : pas de rôle dans la vision, influencent l'horloge biologique et l'humeur (d'où les dépressions saisonnières) et la cognition.
Les écrans dans tout ça ? (phrase de boomer)
⇒ perturbation du rythme biologique en envoyant des signaux "d'éveils".
La pression de sommeil
/!\ longues siestes décalent cette pression !
BON SOMMEIL + BONNE QUALITÉ D'ÉVEIL
QCM
A propos de la vigilance et de l’attention, quelle(s) est (sont) la/les proposition(s) vraie(s) parmi les suivantes ?
.
QCM - Réponses
FAUX : Au contraire, elle permet l’éveil. Or il faut être éveillé pour être conscient.
VRAI : Il agit comme un portail sur les stimulations extérieures en les laissant passer ou les inhibant.
FAUX : C’est l’inverse, pour être attentif il faut nécessairement être éveillé.
VRAI : Il s’agit du top-down et du bottom-up.
VRAI : Exact et lorsqu’il n’y a pas de tâche attentionnelle c’est le réseau par défaut.
Vigilance et attention
/!\ Dans le langage courant vigilance, attention et conscience sont synonymes MAIS en neuro ce n’est pas la même chose.
Cas particulier du rêve
A propos de la régulation du rêve, quelle(s) est (sont) la/les proposition(s) vraie(s) parmi les suivantes ?
QCM- Réponses
FAUX : Au contraire, ils sont proportionnels.
FAUX : En paradoxal aussi, attention aux items restrictifs.
VRAI : exact dans le sens où les yeux sont fermés (sommeil) et qu’il n’y a pas de réponse comportementale (inconscient).
FAUX : il s’agit du sommeil paradoxal. Il correspond à un faible niveau de conscience avec un haut niveau d’éveil.
VRAI : Le terme “lucide” renvoie justement au fait que le rêveur soit conscient. Comme il est conscient, le rêveur peut agir sur le rêve.
Vigilance
C’est la capacité à rester éveillé :
Peut être modifiée en cas de prise de certaines substances médicamenteuses/toxiques, états pathologiques, coma …
Vigilance
Circuit de la veille :
Stimulation externes (= infos extérieures) passent par
le thalamus puis activent cortex cérébral.
=> Donc des lésions a/n de ces structures peuvent
entraîner des pathologies.
Qui va où ?
état de conscience
minimale
coma
syndrome locked-in
état normal
état végétatif
état normal
coma
état végétatif
état de
conscience minimale
syndrome locked-in-down
Attention
Processus cognitif permettant de focaliser ses ressources cognitives sur un stimulus, une action ou un objet donné.
On peut la mettre en jeu de deux façons :
Attention
Processus cognitif permettant de focaliser ses ressources cognitives sur un stimulus, une action ou un objet donné.
On peut la mettre en jeu de deux façons :
bottom-up
top-down
Attention
1- Attention soutenue
2- Attention divisée
3- Cécité par inattention
4- Attention sélective
Attention
Attention soutenue : Mobilisation durable des ressources attentionnelles. Très coûteuse en énergie.
Attention divisée : Porter attention simultanément à plusieurs stimuli. Capacité limitée.
Cécité par inattention : Quand on cherche quelque chose trop de précis, on peut passer à côté de quelque chose qu'on ne cherche pas.
Attention sélective: sélection d’une information parmi toutes celles qui sont simultanément présentes. Inhibition des stimuli non pertinents. Mobilisée dans les tâches de recherche spatiale.
Attention
Selon l’attention on observe une modification de la connectivité du cortex cérébral :
Attention
Selon l’attention on observe une modification de la connectivité du cortex cérébral :
Liens entre vigilance et attention
Pour être attentif il faut être éveillé.
/!\ en état d’éveil le cerveau peut être soit attentif, soit inattentif. Ce qui implique des réseaux différents (par défaut ou attentionnel).
Mémoire
Il existe 2 types mémoire : la mémoire à long terme et la mémoire à court terme.
La mémoire à long terme se divise en 2 types de mémoire : mémoire … et mémoire … .
Mon premier est une instance en justice.
Mon deuxième est le contraire de mou.
Mon dernier est le père de Malcom.
Mémoire
Il existe 2 types mémoire : la mémoire à long terme et la mémoire à court terme.
La mémoire à long terme se divise en 2 types de mémoire : mémoire procédurale et mémoire déclarative .
Mon premier est une instance en justice. procès
Mon deuxième est le contraire de mou. dur
Mon dernier est le père de Malcom. Hal
⇒ procédurale
QCM
A propos de la mémoire à long terme, quelle(s) est (sont) la/les proposition(s) vraie(s) parmi les suivantes ?
QCM- Réponses
VRAI : En effet, elle renvoie au savoir faire. ex : artisan
FAUX : C’est la mémoire épisodique. La mémoire sémantique, elle, renvoie à la connaissance.
VRAI : Ce sont des structures du circuit PAPEZ qui joue un rôle important dans la mémoire déclarative.
FAUX : Il a un rôle dans la mémoire déclarative (long terme). Il arrivait à faire du vélo mais n’arriverait pas à stocker de nouvelles informations.
VRAI : On les retient à l’instant pour les restituer mais on ne on ne s’en souviendra plus quelques jours après.
Mémoire à long terme
mémoire à long terme
mémoire procédurale
mémoire déclarative
mémoire épisodique
mémoire sémantique
Cas Henry Molaison (HM)
temporaux médians.
amnésie, il oublie ce qu’il vit ou l’apprentissage de
nouvelles connaissances.
MAIS … sa capacité à apprendre de nouveaux savoirs faire reste intacte.
Son cas a permis de mettre en avant le rôle du circuit PAPEZ (= circuit hippocampo-mamillo-thalamo-cingulaire) (toujours plus !) dans la mémoire déclarative et émotions.
Circuit PAPEZ
…
…
…
…
…
…
Circuit PAPEZ
Néocortex
Cortex cingulaire
Hippocampe
Thalamus antérieur
Hypothalamus
tubercules mamillaires
QCM
Parmi les propositions suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) exacte(s) ?
QCM
Parmi les propositions suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) exacte(s) ?
Audition
Le son est la partie audible du spectre acoustique.
Ces vibrations acoustiques sont produites par des variations perceptibles de la pression d’un milieu.
Ces variations ont une amplitude variable, elle se déplace dans l’espace à la vitesse du son : 340 m/s et a une fréquence en Hertz
Les fréquence définissent la hauteur d’un son : si cette onde se propage avec une fréquence élevée : le son sera aiguë
-> L’amplitude définie l’intensité d’un son
Audition
Oreille externe | Oreille moyenne | Oreille interne |
|
|
|
Audition
2 étapes :
Grâce à la transduction de l’énergie mécanique de l’onde qui se propage en dépolarisant les cellules nerveuses.
Transmission : (oreille externe et moyenne) grâce à la membrane tympanique et les osselets qui transmettent les vibrations à la fenêtre ovale.
L’onde se propage ensuite dans un milieu liquidien (oreille interne) où se passe la transformation de l’énergie mécanique en impulsions nerveuses.
On passe donc à la perception : transmission du signal de la cochlée jusqu’au cerveau.
Audition
L’oreille externe sert à canaliser et filtrer les sons.
Les sons sont acheminés le long du canal auditif externe jusqu’à la membrane tympanique.
On voit que le gain est maximal : entre 2 et 5 kHz (son du langage)
Audition
-> Le fait de tourner la tête permet de rapprocher une oreille de la source : meilleure driscrimination (perception)
-> Disposer 2 oreilles : permettre de mieux localiser les sons dans l’espace et augmenter la compréhension de la parole
Oreille moyenne
SAUF si le son est soudain (explosion) ce qui entraîne des lésions.
Oreille interne
2 compartiments :
Cochlée : 3 sections :
Quand l’étrier vibre, l’onde se dirige dans la cochlée et fait vibrer la membrane basilaire.
Organe de Corti
2 types de cellules sensorielles
-> stéréocils au contact de la membrane tectoriale.
Vibration de la membrane basilaire :
Tonotopie du son
Dans la COCHLÉE :
La partie basale : oscillations rapides -> sons aiguës
L’apex : sons graves
Cellules ciliées internes (sensorielles) | Cellules ciliées externes (amplificateur) |
Codage de l’intensité :
1 cellules = 3 neurones Afférents |
|
Voies auditives
-> A chaque niveau, il y a une organisation tonotopique
Cortex auditives
Cortex droit | Cortex gauche |
codage fréquentiel :
| discrimination temporelles très fines :
|
L’encodage du son est différent à droite et à gauche.
Droit : coder les aspects fréquentiels
Gauche : discrimination temporelle
QCM
Parmi les propositions suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) exacte(s) ?
QCM
Parmi les propositions suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) exacte(s) ?
Motricité
MOTRICITÉ : la capacité du mouvement AVEC contraction musculaire
=> se déplacer, bouger mais aussi la capacité de ne pas bouger càd de garder une posture et un équilibre
un mouvement sollicite, en général, 3 paramètres :
Le mouvement s’apprend avec le développement lors de l’enfance
La motricité est modulée par la vigilance, la fatigue, les émotions, ect…
Il y a plusieurs étapes pour la réalisation d’un mouvement :
Toutes ces étapes sont effectuées en même temps, de façon inconsciente la plupart du temps
Pour que les mouvements dans l’ensemble du corps soient corrects il faut que certains muscles se contractent de façon synergique, tandis que d’autres restent relâchés.
Tout ceci se fait par une voie finale commune qui est le neurone moteur avec ses quelques dizaines ou centaines de fibres qu’il innerve.
Toutes les structures, le cortex, la moelle, le tronc cérébral, les ganglions et le cervelet, vont tous finir par agir sur cette voie finale commune constituée par le motoneurone alpha.
Hiérarchie dans la réalisation et le contrôle du mouvement
Anatomie et organisation
Le cortex moteur :
Tous ces neurones descendent sous forme de fibres (= fibres cortico-spinal) a partir des régions entouré en bleu
La voie pyramidale
cette voie est : MONOSYNAPTIQUE
Anatomie et organisation
moelle épinière :
En arrière les fléchisseurs
En avant les extenseurs.
Fonction des acteurs du système pyramidal
L'exécution du mouvement est volontaire
par exemple on demande à un violoniste de jouer on s'aperçoit que tout le cortex moteur s'allume
PLASTICITÉ + DEXTÉRITÉ + APPRENTISSAGE
On apprend aussi avec l'âge. Il existe un apprentissage physiologique mais aussi sélectif
Le GOAT (pas de débat)
Système pyramidal
La planification du mouvement se passe dans le cortex pré-moteur
Le système pyramidal contribue au tonus musculaire et régule le réflexe myotatique. Il permet de :
QCM
Parmi les propositions suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) exacte(s) ?
QCM
Parmi les propositions suivantes, laquelle (ou lesquelles) est (sont) exacte(s) ?
Gustation
Quelles perception gustative connaissez vous ?
L’organe du goût réside dans la langue avec les papilles gustatives. Il en existe plusieurs types :
correspondance entre molécules et saveurs
Toutes les parties de la langue peuvent percevoir toutes les saveurs
Gustation
Sur chaque cellule, certains récepteurs spécifiques exprimés correspondent aux différentes molécules/goûts.
Récepteurs :
Mécanisme :
contact avec un stimulus chimique => sub chimique se lie au recepteur ou canal ionique => dépolarisation cellule => libération neurotransmetteur => relais dans le bulbe => PA transmis jusqu’au cerveau
Transfert vers le SNC
Les papilles fongiformes sont innervées par le nerf facial(VII).
Les papilles foliées par le nerf glosso-pharyngien(IX).
Les papilles de l'épiglotte et du larynx par le nerf vague(X).
Cortex gustatif primaire
Olfaction
Odeurs :
mécanisme :
détection => transduction => intégration
Détection et traduction des odeurs :
Épithélium olfactif
Codage de l’information
Plus l'odeur est concentrée, plus la cellule décharge.
Donc la fréquence de décharge augmente avec l'augmentation de la concentration du stimulus.
- Un récepteur olfactif répond à plusieurs odeurs
- Une odeur peut activer plusieurs récepteurs
Nombre de récepteurs activés par un mélange d'odeurs
≠
Somme des récepteurs activés par chaque odeur isolément
Relais dans le bulbe olfactif
1) Les cellules réceptrices bipolaires : axones traversent la lame criblée de l'ethmoïde vers le bulbe olfactif.
2) Synapse --> 2ème neurone (cellule mitrale)
3) Quitte le bulbe olfactif à travers le tractus olfactif pour gagner les cortex olfactifs (dans les structures temporales internes) dans le SNC
Le cortex piriforme et les amygdales et le cortex entorhinale encodent les odeurs.
Les cortex secondaires orbito-frontaux attendent directement, ou via le thalamus.
Cortex olfactifs secondaires
structures importantes dans les mécanismes d'alertes et d'attachement
Vous êtes les meilleurs !
Ils ont tous dit que c’était impossible jusqu’à ce que je le fasse (téma la bête de phrase)
Merci pour votre attention
heheheha
heheheha
heheheha
heheheha
heheheha
Merci le TAM, vous avez sauvé mon s1 <3