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Apprendre

Benoit Petit

monurl.ca/cscc1 8

à l’Ère du numérique

13 février 2018

11-12 septembre 2018

@petitbenoit

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Amorce

Benoit Petit

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L’Ère du numérique

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Photo : Benoit Petit

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Photo : Peter Lee sur Flickr

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Photo : Benoit Petit

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Photo : Benoit Petit

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Photo : Benoit Petit

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Photo : Benoit Petit

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Photo : Danielle Millette

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Photo : Benoit Petit

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Photo : Benoit Petit

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Benoit Petit

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Photo : Benoit Petit

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Comté de Gouglas, Géorgie

Source : Google

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Comté de Mayes, Oklahoma

Source : Google

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Hamina, Finlande

Source : Google

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Saint-Ghislain, Belgique

Source : Google

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Comté de Mayes, Oklahoma

Source : Google

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Source : Google

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Mégadonnées

(Big data)

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Mégadonnées

(Big data)

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Mégadonnées

(Big data)

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Algorithmes

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Benoit Petit

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Apprendre la programmation

Comprendre ce qu’est un algorithme

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#RECITqc #RV

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Benoit Petit

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Benoit Petit

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Benoit Petit

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Benoit Petit

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Benoit Petit

Que je suis fier de moi!

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L’Ère du numérique

Des défis éthiques

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Numérique

Vie privée

Benoit Petit

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Photo : Peter Lee sur Flickr

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Photo : Benoit Petit

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#RECITqc #RV

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Photo : Benoit Petit

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©

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Photo : Benoit Petit

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Photo : National museum of Danemark sur Flikr

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L’Ère du numérique

Ses défis

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En quoi l’Ère du numérique est-elle un défi pour les apprenants?

Socialisation

Choc des générations -écarts (maîtrise) entre les enseignants et apprenants

Utilisation efficace et adaptée des technologies en fonction du contexte (école, classe, maison, travail, etc.)

Capacité d’adaptation vs le grand nombre d’outils techno,

Démocratisation

Méconnaissance des dangers

Accessibilité

ludique vs utile

Le développement

très rapide

des technologies

L’accès aux technologies en dehors de la classe diffère d’un apprenant à l’autre.

Acquérir la maturité pour une utilisation adéquate.

Rester centrer sur la tâche malgré les distractions accessibles.

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En quoi l’Ère du numérique est-elle un défi pour les enseignants?

Rapidité de l’évolution technologique

Technologie efficace en tout temps

développer ses compétences et maintenir un haut niveau de celles-ci restons captivants!

Intérêt et connaissance

amener les élèves à exercer un jugement adéquat dans l’utilisation du numérique

Développer et maintenir une expertise

utiliser les bons médias pour enseigner un concept

gestion de l’environnement physique

L’encadrement (règles)

Préoccupations

D’amener les élèves à faire preuve de jugement et réaliser la portée des outils

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En quoi l’Ère du numérique est-elle un défi pour les cadres?

disponibilité du matériel

Supervision du personnel pour l’usage pédagogique vs personnel

Frais supplémentaire pour l’achat de matériels

Acquisition de connaissances suffisantes pour faire de preuve de leadership

Aspects légaux

l’accompagnement

la formation

Coordination des services informatiques pour s’assurer de la fiabilité et de la mise en place.

l’adhésion

le gain possible

la réticence

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En quoi l’Ère du numérique est-elle un défi pour les services informatiques ?

Maintenir un parc fonctionnel

Que tout fonctionne

Embaucher du personnel en quantité et en qualité.

Augmenter la compétence de nos utilisateurs

Budget adéquat

et main-d’oeuvre disponible

Assurer une stabilité des systèmes

Prioriser les interventions

Sécurité des données

investissement en $ et en RH

Formation des RH aux outils en développement très rapide

sécurité

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L’Ère du numérique

Ses leviers

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Quels leviers l’Ère du numérique offre-t-elle aux apprenants?

accès rapide

autonomie

réseautage

instantané

disponibilité

collaboration

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Quels leviers l’Ère du numérique offre-t-elle aux enseignants?

voir les leviers des élèves

se questionner sur son rôle à l’ère du numérique

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Quels leviers l’Ère du numérique offre-t-elle aux cadres?

accès à des ressources adaptables en fonction du contexte

mentorat

voir les autres leviers mentionnés

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Quels leviers l’Ère du numérique offre-t-elle aux services informatiques ?

l’importance du service: aspects pédagogique et administratif

support à distance

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L’Ère du numérique

Des défis éthiques

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Réfléchir sur des questions éthiques

Benoit Petit, conseiller pédagogique, Service national du RÉCIT développement de la personne – CSSH

La réflexion éthique peut être très utile quand vient le temps de se questionner sur l'utilisation des médias sociaux en contexte scolaire. D'emblée, plusieurs questions morales sont souvent soulevées. Je précise « questions morales », car celles-ci sont différentes des questions éthiques. Voici quelques exemples de questions morales que la plupart des personnes se posent relativement à la présence des médias sociaux et des appareils mobiles en classe.

Devrait-on permettre leur utilisation en classe ?
Dois-je sensibiliser mes élèves aux dangers qu'ils représentent ?
Est-ce le rôle des parents ou de l'école d'éduquer à leur utilisation responsable ?
Est-il acceptable que des élèves prennent des photos ou de la vidéo pendant un cours et diffusent le tout dans les médias sociaux ?
Etc.

Ces questions morales cherchent à trouver la « bonne » conduite à adopter dans un contexte donné. La réflexion éthique quant à elle cherche à comprendre les éléments en jeu dans une situation qui comporte des questions éthiques ou morales.

Je propose trois types de questions: les questions factuelles, celles qui interrogent les points de vue et celles qui explorent les choix possibles. Les deux premiers types permettent de dresser un portrait de la situation et de comprendre les enjeux. Le dernier permet d'ouvrir à plusieurs solutions qui prennent en compte différents points de vue et qui sont en quête du bien commun.

1- Questions factuelles :

Qui? : Qui est en cause dans cette situation ? Quels sont tous les acteurs ? Qui d'autres que les protagonistes qui apparaissent d'emblée ? Etc.
Quoi? : Que s'est-il passé ? Quels sont les faits connus ? Etc.
Où? : Où a lieu la situation observée ? Dans le cas des médias sociaux, « où » peut vouloir dire dans la sphère publique, privée ou semi-privée. Il peut également vouloir dire « à l'école », « en dehors des murs de l'école », etc.
Quand? : Quand la situation décrite a-t-elle eu lieu ? Le jour ? Le soir ? La nuit ? La fin de semaine ? Etc.
Comment? Comment cela est-il arrivé ? Quels sont les événements qui ont permis ou préparé cette situation ? Quelles ont été les réactions à cet événement ? Etc.
Pourquoi? Pourquoi un élève a-t-il agi de la sorte ? Pourquoi l'enseignant a-t-il réagi de cette manière ? Pourquoi telles ou telles règles sont-elles présentes ou pas à l'école ? Etc.
Combien? Combien de personnes sont-elles concernées par cette situation ? À quelle fréquence observe-t-on tel ou tel comportement ? Etc.

Ces questions aident à saisir l'ensemble de la situation. Elles permettent de prendre une distance par rapport à celle-ci. Elles ont comme effet de « calmer le jeu », de poser un regard froid et le plus objectif possible. À l'inverse, les questions morales soulèvent les passions et impliquent les acteurs dans leurs émotions.

2- Les points de vue

Points de vue : Quels sont les différents points de vue en présence ? Chaque acteur identifié a un point de vue différent. Chaque élève, chaque enseignant, chaque membre du personnel, chaque parent... a un point de vue singulier. Etc.
Repères : Les points de vue varient parce que les repères de chacun sont différents. Chaque personne n'observe pas les faits de la même manière, ne porte pas attention aux mêmes caractéristiques, ne retient pas les mêmes informations, ne fait pas les mêmes liens, etc. Les repères peuvent être de différents ordres : scientifique, juridique, religieux, social, émotif, etc. Ils peuvent évidemment aussi être des normes ou des valeurs.
Normes : Quelles sont les normes en cause ? Quels sont les règlements de l'école, de la classe ? Quelles lois peuvent intervenir dans la situation ? Que pourrait apporter l'éclairage d'un policier, d'un avocat, d'un juge, d'un surveillant, d'une direction, etc. ? Quelles sont les normes tacites, culturelles, informelles de votre milieu ? Qu'est-ce qui est acceptable ou non aux yeux de la majorité ? Etc.
Valeurs : Qu'est-ce qu'une valeur au juste ? On dit souvent d'une personne ou d'un jeune qu'il a de « vraies valeurs ». Y a-t-il de fausses valeurs ? En fait on cherche à exprimer par cette expression, le témoignage en action de valeurs que l'on partage ou qui font consensus comme le partage, l'entraide, le respect, etc. En fait, on peut définir le plus simplement possible ce concept de la façon suivante : ce qui est important pour une personne ou un groupe et l'ordre dans lequel elle ou il place ces choses au regard d’une situation comportant des questions éthiques. Les valeurs des jeunes sont souvent différentes de celles des adultes parce que leurs besoins sont très différents. Par exemple, beaucoup de jeunes accordent de l'importance à la reconnaissance des autres afin d'être acceptés. Plusieurs sont prêts à poser bien des gestes qui peuvent paraître insensés aux yeux d'un adulte pour être reconnu par leurs pairs. Les choses auxquelles chacun accorde de l'importance peuvent prendre une place différente selon le contexte : à la maison, au travail, dans mes loisirs, en présence de telle ou telle personne, etc. Les valeurs peuvent donc varier énormément selon chaque personne et en fonction du contexte.
Tensions : C'est la différence entre les points de vue qui engendre des tensions et donc des questions éthiques. Si tout le monde avait exactement le même point de vue, aucune question éthique ne se poserait, aucune tension ne serait engendrée. Ces différences de repères, de normes et de valeurs sont source de tensions. L'identification des ces tensions permet d'entrevoir des solutions acceptables pour le plus grand nombre.

3- Choix ou actions possibles

Choix ou actions : Devant une situation comportant des questions éthiques, différents choix se présentent, différentes actions sont possibles. Souvent, à priori, deux choix s’imposent : faire ou ne pas faire telle ou telle chose, permettre ou interdire, accepter ou refuser. La réflexion éthique invite à explorer une diversité d’options, de choix, d’actions à entreprendre dans une situation. Ce processus de réflexion suscite la créativité, cherche d’autres solutions que celles qui apparaissent d’emblée, tente de prendre en compte une variété de points de vue.
Conséquences : La réflexion sur les conséquences cherche à évaluer les impacts tant positifs que négatifs des choix ou des actions qui se présentent. La prise en compte des impacts positifs est primordiale. J’insiste sur cet aspect, car souvent, les adultes qui réfléchissent avec les jeunes sur les conséquences ont tendance à insister davantage sur les conséquences négatives puisqu’ils en perçoivent la nécessité. Toutefois, la prise en compte équilibrée des impacts positifs et négatifs favorise davantage la réflexion. En effet, le jeune à qui l’ont tente de souligner à grands traits les conséquences négatives sans nommer les impacts positifs sera moins enclin à s’engager dans la réflexion. Concernant les médias sociaux, par exemple, il dira que l’adulte ne comprend pas, qu’il a seulement peur, car il est ignorant. Le fait de nommer et de reconnaître les impacts positifs de l’utilisation de Facebook, par exemple, ouvrira davantage le jeune à s’intéresser aussi aux possibles impacts négatifs.
Mieux vivre ensemble : La réflexion éthique vise ultimement la poursuite du bien commun et la reconnaissance de l’autre. La recherche de solutions pour mieux vivre ensemble est rarement un exercice de défense de point de vue. Elle cherche plutôt la conciliation des points de vue au travers d’un ensemble de solutions, de choix ou d’actions qui permettront de réduire les tensions. Il y aura souvent plusieurs solutions acceptables ou une combinaison de solutions. On sort de l’approche de ce qui est bon ou mal, de ce qu’on devrait ou ne devrait pas faire ou même de LA meilleure chose à faire. Il y aura souvent plusieurs choix différents tout aussi valables, mais ne comportant pas les mêmes contraintes. On s’éloigne du positionnement noir ou blanc pour explorer des zones de gris et des variations de couleurs aussi.

Benoit Petit, conseiller pédagogique, service national du RÉCIT – Développement de la personne – CSSH

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Questions morales

Est-ce bien de faire ceci ?
Devrait-on agir ainsi?
Que devrais-je faire dans telle situation?
Qui devrait faire ceci ou cela?
Faut-il interdire cela?
Est-ce éthique d’agir de cette façon?
N’y a-t-il pas un problème éthique ici?

Benoit Petit, conseiller pédagogique, Service national du RÉCIT développement de la personne – CSSH

La réflexion éthique peut être très utile quand vient le temps de se questionner sur l'utilisation des médias sociaux en contexte scolaire. D'emblée, plusieurs questions morales sont souvent soulevées. Je précise « questions morales », car celles-ci sont différentes des questions éthiques. Voici quelques exemples de questions morales que la plupart des personnes se posent relativement à la présence des médias sociaux et des appareils mobiles en classe.

Devrait-on permettre leur utilisation en classe ?
Dois-je sensibiliser mes élèves aux dangers qu'ils représentent ?
Est-ce le rôle des parents ou de l'école d'éduquer à leur utilisation responsable ?
Est-il acceptable que des élèves prennent des photos ou de la vidéo pendant un cours et diffusent le tout dans les médias sociaux ?
Etc.

Ces questions morales cherchent à trouver la « bonne » conduite à adopter dans un contexte donné. La réflexion éthique quant à elle cherche à comprendre les éléments en jeu dans une situation qui comporte des questions éthiques ou morales.

Je propose trois types de questions: les questions factuelles, celles qui interrogent les points de vue et celles qui explorent les choix possibles. Les deux premiers types permettent de dresser un portrait de la situation et de comprendre les enjeux. Le dernier permet d'ouvrir à plusieurs solutions qui prennent en compte différents points de vue et qui sont en quête du bien commun.

1- Questions factuelles :

Qui? : Qui est en cause dans cette situation ? Quels sont tous les acteurs ? Qui d'autres que les protagonistes qui apparaissent d'emblée ? Etc.
Quoi? : Que s'est-il passé ? Quels sont les faits connus ? Etc.
Où? : Où a lieu la situation observée ? Dans le cas des médias sociaux, « où » peut vouloir dire dans la sphère publique, privée ou semi-privée. Il peut également vouloir dire « à l'école », « en dehors des murs de l'école », etc.
Quand? : Quand la situation décrite a-t-elle eu lieu ? Le jour ? Le soir ? La nuit ? La fin de semaine ? Etc.
Comment? Comment cela est-il arrivé ? Quels sont les événements qui ont permis ou préparé cette situation ? Quelles ont été les réactions à cet événement ? Etc.
Pourquoi? Pourquoi un élève a-t-il agi de la sorte ? Pourquoi l'enseignant a-t-il réagi de cette manière ? Pourquoi telles ou telles règles sont-elles présentes ou pas à l'école ? Etc.
Combien? Combien de personnes sont-elles concernées par cette situation ? À quelle fréquence observe-t-on tel ou tel comportement ? Etc.

Ces questions aident à saisir l'ensemble de la situation. Elles permettent de prendre une distance par rapport à celle-ci. Elles ont comme effet de « calmer le jeu », de poser un regard froid et le plus objectif possible. À l'inverse, les questions morales soulèvent les passions et impliquent les acteurs dans leurs émotions.

2- Les points de vue

Points de vue : Quels sont les différents points de vue en présence ? Chaque acteur identifié a un point de vue différent. Chaque élève, chaque enseignant, chaque membre du personnel, chaque parent... a un point de vue singulier. Etc.
Repères : Les points de vue varient parce que les repères de chacun sont différents. Chaque personne n'observe pas les faits de la même manière, ne porte pas attention aux mêmes caractéristiques, ne retient pas les mêmes informations, ne fait pas les mêmes liens, etc. Les repères peuvent être de différents ordres : scientifique, juridique, religieux, social, émotif, etc. Ils peuvent évidemment aussi être des normes ou des valeurs.
Normes : Quelles sont les normes en cause ? Quels sont les règlements de l'école, de la classe ? Quelles lois peuvent intervenir dans la situation ? Que pourrait apporter l'éclairage d'un policier, d'un avocat, d'un juge, d'un surveillant, d'une direction, etc. ? Quelles sont les normes tacites, culturelles, informelles de votre milieu ? Qu'est-ce qui est acceptable ou non aux yeux de la majorité ? Etc.
Valeurs : Qu'est-ce qu'une valeur au juste ? On dit souvent d'une personne ou d'un jeune qu'il a de « vraies valeurs ». Y a-t-il de fausses valeurs ? En fait on cherche à exprimer par cette expression, le témoignage en action de valeurs que l'on partage ou qui font consensus comme le partage, l'entraide, le respect, etc. En fait, on peut définir le plus simplement possible ce concept de la façon suivante : ce qui est important pour une personne ou un groupe et l'ordre dans lequel elle ou il place ces choses au regard d’une situation comportant des questions éthiques. Les valeurs des jeunes sont souvent différentes de celles des adultes parce que leurs besoins sont très différents. Par exemple, beaucoup de jeunes accordent de l'importance à la reconnaissance des autres afin d'être acceptés. Plusieurs sont prêts à poser bien des gestes qui peuvent paraître insensés aux yeux d'un adulte pour être reconnu par leurs pairs. Les choses auxquelles chacun accorde de l'importance peuvent prendre une place différente selon le contexte : à la maison, au travail, dans mes loisirs, en présence de telle ou telle personne, etc. Les valeurs peuvent donc varier énormément selon chaque personne et en fonction du contexte.
Tensions : C'est la différence entre les points de vue qui engendre des tensions et donc des questions éthiques. Si tout le monde avait exactement le même point de vue, aucune question éthique ne se poserait, aucune tension ne serait engendrée. Ces différences de repères, de normes et de valeurs sont source de tensions. L'identification des ces tensions permet d'entrevoir des solutions acceptables pour le plus grand nombre.

3- Choix ou actions possibles

Choix ou actions : Devant une situation comportant des questions éthiques, différents choix se présentent, différentes actions sont possibles. Souvent, à priori, deux choix s’imposent : faire ou ne pas faire telle ou telle chose, permettre ou interdire, accepter ou refuser. La réflexion éthique invite à explorer une diversité d’options, de choix, d’actions à entreprendre dans une situation. Ce processus de réflexion suscite la créativité, cherche d’autres solutions que celles qui apparaissent d’emblée, tente de prendre en compte une variété de points de vue.
Conséquences : La réflexion sur les conséquences cherche à évaluer les impacts tant positifs que négatifs des choix ou des actions qui se présentent. La prise en compte des impacts positifs est primordiale. J’insiste sur cet aspect, car souvent, les adultes qui réfléchissent avec les jeunes sur les conséquences ont tendance à insister davantage sur les conséquences négatives puisqu’ils en perçoivent la nécessité. Toutefois, la prise en compte équilibrée des impacts positifs et négatifs favorise davantage la réflexion. En effet, le jeune à qui l’ont tente de souligner à grands traits les conséquences négatives sans nommer les impacts positifs sera moins enclin à s’engager dans la réflexion. Concernant les médias sociaux, par exemple, il dira que l’adulte ne comprend pas, qu’il a seulement peur, car il est ignorant. Le fait de nommer et de reconnaître les impacts positifs de l’utilisation de Facebook, par exemple, ouvrira davantage le jeune à s’intéresser aussi aux possibles impacts négatifs.
Mieux vivre ensemble : La réflexion éthique vise ultimement la poursuite du bien commun et la reconnaissance de l’autre. La recherche de solutions pour mieux vivre ensemble est rarement un exercice de défense de point de vue. Elle cherche plutôt la conciliation des points de vue au travers d’un ensemble de solutions, de choix ou d’actions qui permettront de réduire les tensions. Il y aura souvent plusieurs solutions acceptables ou une combinaison de solutions. On sort de l’approche de ce qui est bon ou mal, de ce qu’on devrait ou ne devrait pas faire ou même de LA meilleure chose à faire. Il y aura souvent plusieurs choix différents tout aussi valables, mais ne comportant pas les mêmes contraintes. On s’éloigne du positionnement noir ou blanc pour explorer des zones de gris et des variations de couleurs aussi.

Benoit Petit, conseiller pédagogique, service national du RÉCIT – Développement de la personne – CSSH

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Réfléchir sur des questions éthiques

Situation

Qui? quoi? où? quand? comment? pourquoi? combien?
Différents points de vue?

repères?
normes?
valeurs?

Questions

éthiques

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Tensions?

Choix ou actions possibles?

Conséquences?
Favorise le mieux vivre ensemble?

La réflexion éthique peut être très utile quand vient le temps de se questionner sur l'utilisation des médias sociaux en contexte scolaire. D'emblée, plusieurs questions morales sont souvent soulevées. Je précise « questions morales », car celles-ci sont différentes des questions éthiques. Voici quelques exemples de questions morales que la plupart des personnes se posent relativement à la présence des médias sociaux et des appareils mobiles en classe.

Devrait-on permettre leur utilisation en classe ?
Dois-je sensibiliser mes élèves aux dangers qu'ils représentent ?
Est-ce le rôle des parents ou de l'école d'éduquer à leur utilisation responsable ?
Est-il acceptable que des élèves prennent des photos ou de la vidéo pendant un cours et diffusent le tout dans les médias sociaux ?
Etc.

Ces questions morales cherchent à trouver la « bonne » conduite à adopter dans un contexte donné. La réflexion éthique quant à elle cherche à comprendre les éléments en jeu dans une situation qui comporte des questions éthiques ou morales.

Je propose trois types de questions: les questions factuelles, celles qui interrogent les points de vue et celles qui explorent les choix possibles. Les deux premiers types permettent de dresser un portrait de la situation et de comprendre les enjeux. Le dernier permet d'ouvrir à plusieurs solutions qui prennent en compte différents points de vue et qui sont en quête du bien commun.

1- Questions factuelles :

Qui? : Qui est en cause dans cette situation ? Quels sont tous les acteurs ? Qui d'autres que les protagonistes qui apparaissent d'emblée ? Etc.
Quoi? : Que s'est-il passé ? Quels sont les faits connus ? Etc.
Où? : Où a lieu la situation observée ? Dans le cas des médias sociaux, « où » peut vouloir dire dans la sphère publique, privée ou semi-privée. Il peut également vouloir dire « à l'école », « en dehors des murs de l'école », etc.
Quand? : Quand la situation décrite a-t-elle eu lieu ? Le jour ? Le soir ? La nuit ? La fin de semaine ? Etc.
Comment? Comment cela est-il arrivé ? Quels sont les événements qui ont permis ou préparé cette situation ? Quelles ont été les réactions à cet événement ? Etc.
Pourquoi? Pourquoi un élève a-t-il agi de la sorte ? Pourquoi l'enseignant a-t-il réagi de cette manière ? Pourquoi telles ou telles règles sont-elles présentes ou pas à l'école ? Etc.
Combien? Combien de personnes sont-elles concernées par cette situation ? À quelle fréquence observe-t-on tel ou tel comportement ? Etc.

Ces questions aident à saisir l'ensemble de la situation. Elles permettent de prendre une distance par rapport à celle-ci. Elles ont comme effet de « calmer le jeu », de poser un regard froid et le plus objectif possible. À l'inverse, les questions morales soulèvent les passions et impliquent les acteurs dans leurs émotions.

2- Les points de vue

Points de vue : Quels sont les différents points de vue en présence ? Chaque acteur identifié a un point de vue différent. Chaque élève, chaque enseignant, chaque membre du personnel, chaque parent... a un point de vue singulier. Etc.
Repères : Les points de vue varient parce que les repères de chacun sont différents. Chaque personne n'observe pas les faits de la même manière, ne porte pas attention aux mêmes caractéristiques, ne retient pas les mêmes informations, ne fait pas les mêmes liens, etc. Les repères peuvent être de différents ordres : scientifique, juridique, religieux, social, émotif, etc. Ils peuvent évidemment aussi être des normes ou des valeurs.
Normes : Quelles sont les normes en cause ? Quels sont les règlements de l'école, de la classe ? Quelles lois peuvent intervenir dans la situation ? Que pourrait apporter l'éclairage d'un policier, d'un avocat, d'un juge, d'un surveillant, d'une direction, etc. ? Quelles sont les normes tacites, culturelles, informelles de votre milieu ? Qu'est-ce qui est acceptable ou non aux yeux de la majorité ? Etc.
Valeurs : Qu'est-ce qu'une valeur au juste ? On dit souvent d'une personne ou d'un jeune qu'il a de « vraies valeurs ». Y a-t-il de fausses valeurs ? En fait on cherche à exprimer par cette expression, le témoignage en action de valeurs que l'on partage ou qui font consensus comme le partage, l'entraide, le respect, etc. En fait, on peut définir le plus simplement possible ce concept de la façon suivante : ce qui est important pour une personne ou un groupe et l'ordre dans lequel elle ou il place ces choses au regard d’une situation comportant des questions éthiques. Les valeurs des jeunes sont souvent différentes de celles des adultes parce que leurs besoins sont très différents. Par exemple, beaucoup de jeunes accordent de l'importance à la reconnaissance des autres afin d'être acceptés. Plusieurs sont prêts à poser bien des gestes qui peuvent paraître insensés aux yeux d'un adulte pour être reconnu par leurs pairs. Les choses auxquelles chacun accorde de l'importance peuvent prendre une place différente selon le contexte : à la maison, au travail, dans mes loisirs, en présence de telle ou telle personne, etc. Les valeurs peuvent donc varier énormément selon chaque personne et en fonction du contexte.
Tensions : C'est la différence entre les points de vue qui engendre des tensions et donc des questions éthiques. Si tout le monde avait exactement le même point de vue, aucune question éthique ne se poserait, aucune tension ne serait engendrée. Ces différences de repères, de normes et de valeurs sont source de tensions. L'identification des ces tensions permet d'entrevoir des solutions acceptables pour le plus grand nombre.

3- Choix ou actions possibles

Choix ou actions : Devant une situation comportant des questions éthiques, différents choix se présentent, différentes actions sont possibles. Souvent, à priori, deux choix s’imposent : faire ou ne pas faire telle ou telle chose, permettre ou interdire, accepter ou refuser. La réflexion éthique invite à explorer une diversité d’options, de choix, d’actions à entreprendre dans une situation. Ce processus de réflexion suscite la créativité, cherche d’autres solutions que celles qui apparaissent d’emblée, tente de prendre en compte une variété de points de vue.
Conséquences : La réflexion sur les conséquences cherche à évaluer les impacts tant positifs que négatifs des choix ou des actions qui se présentent. La prise en compte des impacts positifs est primordiale. J’insiste sur cet aspect, car souvent, les adultes qui réfléchissent avec les jeunes sur les conséquences ont tendance à insister davantage sur les conséquences négatives puisqu’ils en perçoivent la nécessité. Toutefois, la prise en compte équilibrée des impacts positifs et négatifs favorise davantage la réflexion. En effet, le jeune à qui l’ont tente de souligner à grands traits les conséquences négatives sans nommer les impacts positifs sera moins enclin à s’engager dans la réflexion. Concernant les médias sociaux, par exemple, il dira que l’adulte ne comprend pas, qu’il a seulement peur, car il est ignorant. Le fait de nommer et de reconnaître les impacts positifs de l’utilisation de Facebook, par exemple, ouvrira davantage le jeune à s’intéresser aussi aux possibles impacts négatifs.
Mieux vivre ensemble : La réflexion éthique vise ultimement la poursuite du bien commun et la reconnaissance de l’autre. La recherche de solutions pour mieux vivre ensemble est rarement un exercice de défense de point de vue. Elle cherche plutôt la conciliation des points de vue au travers d’un ensemble de solutions, de choix ou d’actions qui permettront de réduire les tensions. Il y aura souvent plusieurs solutions acceptables ou une combinaison de solutions. On sort de l’approche de ce qui est bon ou mal, de ce qu’on devrait ou ne devrait pas faire ou même de LA meilleure chose à faire. Il y aura souvent plusieurs choix différents tout aussi valables, mais ne comportant pas les mêmes contraintes. On s’éloigne du positionnement noir ou blanc pour explorer des zones de gris et des variations de couleurs aussi.

Benoit Petit, conseiller pédagogique, CSSH

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La résistance au changement

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… ou composer avec l’affectif

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Photo : National museum of Danemark sur Flikr

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Photo : National museum of Danemark sur Flikr

Émotions

Sentiments

État affectif plus stable

que l'émotion et centré consciemment vers des êtres ou des systèmes de valeurs. (OQLF)

État affectif intense, caractérisé par une brusque perturbation physique et mentale. (OQLF)

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Photo : National museum of Danemark sur Flikr

peur

incompétent

dépassé

humain

anxieux

déconnecté

fier

différent

Défis

Difficultés

Besoins

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Photo : Benoit Petit

On est en 2016 !

Préparer au monde

d’aujourd’hui

Incontournable

Les jeunes sont là

Motivation

Différenciation

Engagement

Ressources

Défis

Difficultés

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Expression des résistances

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Expression des résistances

Rationnel

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Expression des résistances

Émotions

Sentiments

Émotions

Sentiments

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Expression des résistances

Rationnel

Émotions

Sentiments

Émotions

Sentiments

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Composer avec l’affectif

Rationnel

Émotions

Sentiments

Craintif?

Dépassé?

Nommer

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Composer avec l’affectif

Rationnel

Pressée?

Confiante?

Craintif?

Dépassé?

Nommer

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Composer avec l’affectif

Rationnel

Pressée?

Confiante?

Craintif?

Dépassé?

Nommer

Reconnaître

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Composer avec l’affectif

Rationnel

Pressée?

Confiante?

Craintif?

Dépassé?

Nommer

Reconnaître

Prendre en compte

89 of 133

Composer avec l’affectif

Pressée?

Confiante?

Craintif?

Dépassé?

Rationnel

Nommer

Reconnaître

Prendre en compte

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Composer avec l’affectif

?Pressée?

??

?Dépassé?

?

Michel : l’important, c’est l’humain

Nommer

Reconnaître

Prendre en compte

?

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Composer avec l’affectif

?Pressée?

??

?Dépassé?

?

Nommer

Reconnaître

Prendre en compte

?

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L’Ère du numérique

Des actions à mettre en place

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Quelles actions peut-on mettre en place à l’échelle de la CS?

Former les enseignants et conseillers pédagogiques

Techniques d’impact

https://goo.gl/LXDFAj

Canal de communication, d’aide

Cohérence entre le PEVR et les projets éducatifs.

Mécanisme de concertation

Mécanisme de consultation

Bonification du numérique en classe

Équiper l’ensemble du personnel (normalisation) et les élèves

Supporter les directions

Support technique dans la fonctionnalité du réseau

Leadership fort

Proximité

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Quelles actions peut-on mettre en place à l’échelle de l’école?

Plan d’accompagnement et de déploiement

Accès aux outils et à de l’accompagnement

Faire un premier constat de l’importance du virage numérique et un portrait de la situation personnelle, matérielle...

Tenir compte des besoins et reconnaître les sentiments

Planification globale de l’enseignement numérique du préscolaire à la 5e secondaire

Donner accès à des formations stimulantes et concrètes.

Nommer un responsable parmi les enseignants pour diffuser l’information et connaître leur préoccupation

Planifier l’intégration des nouvelles technologies

Favoriser l’achat de matériel numérique nécessaire à la poursuite de l’expérimentation.

Solliciter les personnes qui souhaitent déjà s’investir dans l’intégration et l’accompagnement de personnes

Débuter le travail avec les enseignants qui ont un intérêt afin qu’il y ait de la contamination positive.

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Quelles actions peut-on mettre en place à l’échelle de la classe?

temps d’appropriation, découvertes des possibilités, expérimentation

Utiliser des techniques d’impact (pour voir les avantages)

élèves et parents: sensibilisation, connaissances et expériences antérieures, besoins, désirs

rétroaction: retour sur l’expérience, ajustements

Faire des liens avec PFEQ, déterminer l’intention d’apprentissage dès le départ de la planification

avoir des outils disponibles, suffisants et fonctionnels

formation, accompagnement: titulaires, spécialistes, élèves (diminuer les écarts)

Ajuster les pratiques enseignantes (pédagogiques et évaluatives)

S’assurer que l’ère numérique gardera toujours un côté humain

(Nommer, reconnaître et prendre en compte)

Il faut que le numérique serve aux apprentissages

Planifier des activités, buts,attentes, échéance

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Apprendre

Benoit Petit

monurl.ca/cscc18

à l’Ère du numérique

13 février 2018

11-12 septembre 2018

@petitbenoit

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La citoyenneté

à l’Ère du numérique

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Qu’est-ce que la citoyenneté

à l’Ère du numérique?

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Qu’est-ce qu’un citoyen?

Antique

Personne qui jouissait du droit de cité et avait droit de suffrage dans les assemblées publiques

Antidote

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Qu’est-ce qu’un citoyen?

Actuellement

Personne qui vit dans un État, considérée du point de vue de ses droits et de ses devoirs civils et politiques.

Antidote

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Qu’est-ce que la citoyenneté?

Qualité juridique qui garantit à son titulaire la jouissance des libertés publiques et l'électorat.

Note : Au Canada, synonyme de nationalité.

Grand dictionnaire terminologique

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Et la citoyenneté mondiale?

La citoyenneté mondiale fait référence à un sentiment d’appartenance à une grande communauté et à une humanité commune. Elle met l’accent sur l’interdépendance politique, économique, sociale et culturelle, et sur l’interconnexion entre le local, le national et le mondial

UNESCO

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#metoo

#IdleNoMore

#manifencours

#moiaussi

#NeverAgain

#jesuis...

Benoit Petit

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Une tentative de définition

Citoyenneté à l’Ère du numérique

Condition permettant à chaque personne :

d’exercer son rôle plein et entier
de faire valoir ses droits
d’assumer ses responsabilités.

#citnum

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Une tentative de définition

Citoyenneté à l’Ère du numérique

Quelle serait la nôtre… ?

#citnum

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Citoyenneté

pleine et entière

à l’ère du numérique

Benoit Petit

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L’Ère du numérique

Des ressources

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Comment la vivre en classe?

1- Dialoguer

Causerie
Travail en équipe
Visio-conférence
Etc.

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Comment la vivre en classe?

2- Se réseauter

Communauté de pratique
Travail en équipe
Médias sociaux de classe
Etc.

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Comment la vivre en classe?

3- Exprimer ses idées

Rédiger un texte
Faire un balado
Créer un idéateur
Etc.

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Comment la vivre en classe?

4- Exprimer ses émotions

Rédiger une poème
Enregistrer une chanson
Réaliser une oeuvre plastique
Se raconter
Etc.

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Comment la vivre en classe?

5- S’intéresser aux idées des autres

Lire un texte
Écouter un balado
Reformuler les propos d’un autre
Etc.

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Comment la vivre en classe?

6- Démontrer de l'empathie, de l’intérêt

pour ses camarades de classe
face à une catastrophe
devant une oeuvre
Etc.

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Comment la vivre en classe?

7- Publier

Sur un babillard de l’école
Dans un blogue de classe
Sur un mur virtuel
Etc.

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Comment la vivre en classe?

8- Élaborer des règles

pour la vie de classe
pour un sport dans la cour d’école
pour le compte Twitter de classe
en créant un jeu de société
Etc.

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Comment la vivre en classe?

9- Réfléchir aux impacts + et - des comportements

dans la classe
dans la cour d’école
dans les jeux en ligne
dans les médias sociaux
Etc.

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Comment la vivre en classe?

10- Imaginer un monde meilleur

dans la classe
dans la cour d’école
dans les jeux en ligne
dans les médias sociaux
Etc.

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Qu’est-ce que la citoyenneté numérique?

Document de travail des ressources recensées par les membres du RÉCIT

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De Lascaux aux médias sociaux

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Des exemples

De Lascaux aux médias sociaux

2^e et 3^e cycle du primaire

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Des exemples

Mon avatar

3^e cycle du primaire

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Des exemples

Mon identité numérique

1^er cycle du secondaire

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Des exemples

Et si j’avais le pouvoir...

1^er cycle du secondaire

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Des exemples

L’utilisation du blogue ECR en classe

1^er et 2^e cycles du secondaire

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Des exemples

L’ambivalence dans les médias sociaux

2^e cycle du secondaire

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Des exemples

Comprendre ce qu’est un algorithme

Apprendre à programmer

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Des exemples

Mener une réflexion éthique avec vos collègues

Convenir de règles communes

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www.citoyennetenumeriquequebec.ca

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Conférence de Dominic Cardon

À propos des usages des médias sociaux