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NT UE 1 - MODULE D’ADN

20/10/2025

Lou EGINER - P2

Baptiste TARANTO - K1

Lina ZIAISSA - L2 Pharmacie

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Les acides nucléiques :

structure et métabolisme

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Constituants des nucléotides : On commence par un petit QCM ….

  1. Les noyaux puriques sont constitués d’un cycle pyrimidine à 5 sommets et d’un cycle imidazole à 6 sommets.
  2. La 2,6- dioxypurine ou Xanthine est issu de la désamination oxydative de l’Adénine.
  3. Un nucléotide est un composé résultant de l’estérification de la fonction alcool d’un nucléoside par une molécule d’acide phosphorique.
  4. La molécule ci-dessous est la 6-amino-purine ou adénine :

  • Pour le contrôle de la biosynthèse des nucléotides puriques, le GMP contrôle l’IMP déshydrogénase.

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Item A : FAUX : Les noyaux puriques sont constitués d’un cycle pyrimidine à 5 sommets et d’un cycle imidazole à 6 sommets.

Noyau purique =

pyrimidine à 6 sommets et 2N + imidazole à 5 sommets et 2N.

C’est le noyau des grandes bases qui sont

- l’adénine = 6-amino-purine;

- la guanine = 2-amino,6-oxypurine

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Les différents noyaux

  1. Noyaux pyrimidiques :

  • Noyaux puriques :
  1. Uracile
  2. Thymine
  3. Cytosine
  • Adénine
  • Guanine

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Item B : FAUX : La 2,6- dioxypurine ou Xanthine est issu de la désamination oxydative de l’adénine.

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Item C : VRAI : Un nucléotide est un composé résultant de l’estérification de la fonction alcool d’un nucléoside par une molécule d’acide phosphorique.

  • Un nucléotide est un ester phosphorique de nucléoside.

  • C’est un nucléoside 5’ monophosphate.

  • La liaison ester se fait sur le 5’ car le 3’ OH va se lier à d’autres nucléotide pour créer la chaîne polynucléotidique.

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Item D : VRAI : La molécule ci-dessous est la 6-amino-purine ou adénine.

  1. Vous repérez déjà directement que c'est un noyau purique donc 2 possibilités :
  2. Adénine
  3. Guanine

  • Vous voyez 1 seul groupement NH2 en position 6 car on tourne dans le sens inverse des aiguilles d'une montre en commençant par le N le plus haut.

  • 6-amino-purine = ADÉNINE

1

2

5

4

3

6

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Item E : VRAI : Pour le contrôle de la biosynthèse des nucléotides puriques, le GMP contrôle l’IMP déshydrogénase.

  1. Attention, on parle bien des nucléotides puriques avec AMP et GMP (piège possible).

  • L'IMP déshydrogénase permet de passer de l’IMP au xanthylate -> GTP.

  • L’adénylsuccinate syntase permet de passer de l’IMP à l'adénylosuccinate -> ATP.

  • RÉTRO-INHIBITION de l’AMP et du GMP.

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Métabolisme des acides nucléiques : Un autre QCM pour changer…

  1. L’étape de la synthèse du 5’phosphoribosyl-1’-pyrophosphate(PRPP) est nécessaire seulement pour la synthèse des bases pyrimidiques.
  2. À la 5ème étape de la synthèse de novo des nucléotides pyrimidiques, l’orotate acquiert un cycle ribose provenant du PRPP et devient de l’orotidylate ou OMP sous l’action d’une orotate-phospho-ribosyl-transférase.
  3. Le fluoro-désoxyuridilate( F-DUMP) permet une inhibition réversible de la thymidylate synthétase.
  4. L’acide urique est le produit final de la dégradation des nucléotides puriques.
  5. L’ARTPase et la HGPRTase ont à peu près le même mécanisme de fonctionnement.

Parmi ces propositions, laquelle ou lesquelles est (sont) correcte(s) :

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Item A : FAUX : L’étape de la synthèse du 5’phosphoribosyl-1’-pyrophosphate(PRPP) est nécessaire seulement pour la synthèse des bases pyrimidiques.

  • Cette étape est la seule commune aux nucléotides puriques et pyrimidiques.

C’est une étape préalable !!

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Item B : VRAI : À la 5ème étape de la synthèse de novo des nucléotides pyrimidiques, l’orotate acquiert un cycle ribose provenant du PRPP et devient de l’orotidylate ou OMP sous l’action d’une orotate-phospho-ribosyl-transférase.

2

3 et 4

1

5

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Item C : FAUX : Le fluoro-désoxyuridilate (F-DUMP) permet une inhibition réversible de la thymidylate synthétase.

🚨Attention ici l’inhibition est

IRRÉVERSIBLE!

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Item D : VRAI : L’acide urique est le produit final de la dégradation des nucléotides puriques.

L’acide urique, déchet final sera évacué dans les urines. Une trop grosse accumulation de ce produit final peut donner une maladie: la goutte.

🚨On parle bien des nucléotides PURIQUES.

  • adénine
  • guanine

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Item E : VRAI : L’ARTPase et la HGPRTase ont à peu près le même mécanisme de fonctionnement.

La APRTase et la HGPRTase : enzymes analogues. Elles réalisent la même action à savoir transférer un phosphoribosyl sur la base :

  • APRTase : Adénine -> AMP

  • HGPRTase : Guanine -> GMP

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Chromatine et ADN

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PETIT QCM

  1. Les nucléotides appariés sont perpendiculaires à l’axe des chaînes des désoxyriboses phosphate qui elles sont parallèles à l’axe de la double-hélice.

  • Les deux chaînes sont antiparallèles ou de polarité inverse. On parle aussi de brin anti-sens (5’-3’) et de brin sens (3’-5’).

  • Chez les eucaryotes, les chromosomes sont circulaires, liés par un point d’ancrage.

  • Un surenroulement positif de l’axe de l’ADN peut être associé à un déroulement du double brin et ainsi l’accès aux différentes protéines.

  • Deux molécules d’ADN circulaire ayant exactement la même séquence de base mais qui diffèrent par le nombre d’enlacements s’appellent des topoisomères.

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Topo sur la structure de l’ADN B

  • VRAI : Les nucléotides appariés sont perpendiculaires à l’axe des chaînes des désoxyriboses phosphates qui elles sont parallèles à l’axe.

  • L’ADN B :
  • isoforme la + courante, prédomine chez les eucaryotes
  • Double hélice autour d'un axe imaginaire
  • Bases (AGTC) organisées complémentairement (A=T et C≡G)
  • La concentration en bases puriques = La concentration en

bases pyrimidiques

-> Elles sont à l’intérieur car hydrophobe (donc désoxyriboses

phosphates à l'extérieur.)

Petit et Grand sillon -> plus accessible aux protéines

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LE SENS DE L’ADN

B. FAUX : Les deux chaînes sont antiparallèles ou de polarité inverse. On parle aussi de brin anti-sens (5’-3’) et de brin sens (3’-5’).

C’est l’inverse brin sens (5’-3’) et de brin anti-sens (3’-5’).

Le sens de lecture de l’ADN est super important!

  • les chaînes sont antiparallèles (donc inverse l’une de l’autre).

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CIRCULAIRE OU PAS ALORS ???

C. FAUX : Chez les eucaryotes, les chromosomes sont circulaires, liés par un point d’ancrage.

JUSTEMENT NON, ils sont pas vraiment circulaires…

(à part l’ADN mitochondriale d’ailleurs mais bref pas maintenant).

Ils ont leurs extrémités attachées par des points d’ancrage.

(vous allez un peu voir ça en UE9 en biocell au S2).

Chez les procaryotes, l’ADN est circulaire.

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SURENROULEMENT / SUPERHÉLICE

D. FAUX : Un surenroulement positif de l’axe de l’ADN peut être associé à un déroulement du double brin et ainsi l’accès aux différentes protéines.

C’est le surenroulement NÉGATIF, qui permet l’accès aux protéines…

Positif

Négatif

Le nombre d’enlacements a augmenté = formation d’une super

hélice positive.

Le surenroulement positif empêche la séparation des brins : même sens

que l’axe de la double hélice.

Le nombre d’enlacements a diminué = formation d’une super hélice négative.

On a séparation des doubles brins = les protéines peuvent s’insérer et initier la transcription/traduction.

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PETIT QCM

E. VRAI : Deux molécules d’ADN circulaire ayant exactement la même séquence de base mais qui diffèrent par le nombre d’enlacements s’appellent des topoisomères.

C’est vrai → ce qui va nous mener aux topoisomérases (prochain QCM).

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PETIT QCM

  • Les topoisomérases de type 1 nécessitent de l’ATP pour relâcher l’ADN.

  • Les topoisomérases de type 2 peuvent uniquement entraîner la formation de supertour négatif comme la gyrase bactérienne.

  • Le complexe formé entre les histones et protéines chromosomiques non histone + l’ADN est appelé nucléosome.

  • Les protéines d’histones sont très riches en acides aminés basiques et présente une longue queue N-terminale d’acides aminés.

  • La fibre de chromatine de 30 nm de diamètre est due à une histone H1 (utile aux zigzag et solénoïdes).

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TOPOISOMERASE 1

  • FAUX : Les topoisomérases de type 1 nécessitent de l’ATP pour relâcher l’ADN.

Particularité :

  • Pas d’utilisation d’ATP car pas de consommation d'énergie‼️
  • Ramène uniquement l’ADN à sa forme initiale (relachée).
  • Clivage d'un seul des deux brins.

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TOPOISOMERASE 2

B. FAUX : Les topoisomérases de type 2 peuvent uniquement entraîner la formation de supertours négatifs comme la gyrase bactérienne.

Particularité :

  • Elles peuvent introduire des supertours négatifs ou positifs,

(C’est la gyrase bactérienne qui se limite aux négatifs).

  • Clivage des deux brins-> passage d’un fragment -> rescellement.
  • Utilisation d’ATP.

Norfloxacine permet d’inhiber la topoisomérase 2.

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DIFFÉRENTE ÉCHELLE

C. FAUX : Le complexe formé entre les histones et protéines chromosomiques non histone + l’ADN est appelé nucléosome.

En gros :

  • Histone + ADN = nucléosome.
  • Fibre de 10nm = nucléofilament = collier de perle
  • Nucléosome plus compacté (avec H1) = fibre de chromatine (30nm).
  • Chromatine compactée à balle = chromosome.

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LES DIFFÉRENTES HISTONES

D. VRAI : Les protéines d’histones sont très riches en acides aminés basiques et présente une longue queue N-terminale d’acides aminés.

  • Pour la formation des nucléosomes on a :

4 protéines d’histones différentes H3-H4 et H2A-H2B qui s’assemble en dimère puis tétramère puis octamère pour former un noyau.

Acides aminés basiques permettent de neutraliser la charge ADN (donc plus maniable).

Ces histones sont très conservées.

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FIBRE DE CHROMATINE

E. VRAI : La fibre de chromatine de 30 nm de diamètre est due à une histone H1 (utile aux zigzag et solénoïdes).

  • + volumineuse.
  • rôle de stabilisateur en maintenant l'ADN enroulé autour des noyaux octamériques.
  • L’histone H1 est beaucoup moins conservée entre les espèces.

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DYNAMIQUE ET REMODELAGE ADN

L’ADN peut prendre deux conformations : euchromatine et hétérochromatine :

Euchromatine

Hétérochromatine

active

inactive

Contient l’essentiel du génome fonctionnel 90%.

Forme décondensée de l’ADN pendant l’interphase (plus facilement accessible aux protéines). C’est là que vont se faire tous les processus de transcription.

Très condensée, difficilement accessible aux protéines, fortement méthylée.

Elle reste condensée pendant l’interphase et a une réplication plus tardive, inactive.

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MODIFICATION ÉPIGÉNÉTIQUE

L’épigénétique = modification de l’activité de l’ADN sans modifier sa séquence.‼️

Pour l’histone, on modifie la condensation de la chromatine grâce à :

  • Acétylation (en général sur Lysine)(décondense)→ elle va modifier les charges positives des histones donc l’ADN va être plus libre par rapport à l’histone (impact le plus important). Par HAT ou HDAC (désacétylation).
  • Méthylation (sur Lysine et Arginine)(condense) par Histones Méthylases.
  • Phosphorylation (sur Sérine)(décondense).

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MODIFICATION ÉPIGÉNÉTIQUE

Pour l’ADN directement, on condense la chromatine grâce à la méthylation :

Une épimutation est un changement au niveau de la méthylation de l’ADN (sans modification de la séquence‼️) qui va se transmettre entre les générations.

Particularité :

  • Méthylation sur îlots CG (et pas GC‼️).
  • Les séquences CG sont méthylées au niveau C5 par

des méthyltransférases.

POUR éviter les cancers : désamination oxydative de la cytosine donne uracile

Mais la désamination oxydative du 5-Méthylcytosine

donne la thymine, une mutation non reconnu,

d’où les mésappariement TG -> source de mutations

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TRANSCRIPTION ET MATURATION DES ARN MESSAGERS

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QCM d'introduction

Quels sont ou quel est l’item ou les items vrai(s) ? :

  1. La traduction permet la synthèse d’ARN à partir de l’ADN.�
  2. Chez les eucaryotes, comme chez les procaryotes, la polymérase II permet la transcription. �
  3. La synthèse de l’ARN se fait de 5’ en 3’.�
  4. L’ARN polymérase se déplace de 3’ en 5’ sur le brin antisens de l’ADN.�
  5. Les polymérases eucaryotes ont une activité 3’ 5’ exonucléasique.

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La correction

Item A FAUX : La traduction permet la synthèse d’ARN à partir de l’ADN.

On fait attention à ne pas confondre la TRADuction et la TRANScription.

TRANSCRIPTION = synthèse ARN à partir D’ADN

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La correction

Item B FAUX : Chez les eucaryotes, comme chez les procaryotes, l’ARN polymérase II permet la transcription.

Procaryote → une seule polymérase

Eucaryote → 3 polymérase → polymerase II assure transcription

Item C VRAI : La synthèse de l’ARN se fait de 5’ en 3’.

Item D VRAI : L’ARN polymérase se déplace de 3’ en 5’ sur le brin antisens de l’ADN.

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INTRODUCTION : Comment on allonge l’ARN ?????

→ Réaction irréversible

→ Ne nécessite pas d’amorce

→ Valable chez les procaryotes et les eucaryotes

Sur le transcrit on a donc un … au niveau du 5’

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INTRODUCTION : Comment on allonge l’ARN ?????

→ Réaction irréversible

→ Ne nécessite pas d’amorce

→ Valable chez les procaryotes et les eucaryotes

Sur le transcrit on a donc un triphosphate au niveau du 5’

5’

P

P

P

3’

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La correction

Item E FAUX : Les polymérases eucaryotes ont une activité 3’ 5’ exonucléasique.

Les ARN polymérases n'ont PAS une activité 3’ 5’ exonucléasique.

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TRANSCRIPTION : Initiation : QCM

Quel est ou quels sont l’item ou les items vrai(s) ? :

  1. L’initiation de la transcription se fait au niveau du +1.�
  2. La TATA box est constante et permet l'initiation de la transcription.�
  3. Le premier facteur de transcription à se fixer est TF II A, suivi de B, C, D.�
  4. CTF, un facteur de transcription, se fixe sur la CAAT box.

  • La boîte GC se situe à 25 bases de la tata box.

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La correction

Item A FAUX : L’initiation de la transcription se fait au niveau du +1.

L’initiation se fait au niveau de la région promotrice qui commence à :

-25

-50

-110

+10

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La correction

Item A FAUX : L’initiation de la transcription se fait au niveau du +1.

L’initiation se fait au niveau de la région promotrice qui commence à :

-25

-50

-110

+10

-110

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La correction

Item B VRAI : La TATA box est constante et permet l'initiation de la transcription.

Constante, 25 bases avant le gène

Riche en A et T

Montre commence la transcription

Attire ARN pol pour se fixer

Mutation = perte activité

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La correction

Item D FAUX : Le premier facteur de transcription à se fixer est TF II A, suivi de B, C, D.

1er = TFIID → se fixe à la boîte TATA grâce à TBP (TATA Binding Protein) + TAF.

⇒ ARN polymérase II ne se fixe pas directement sur ADN chez les eucaryotes.

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Concrètement, l'initiation c’est quoi ?

Pourquoi ?

Permet fixation de l’ARN polymérase

→ démarrage transcription

Comment ?

Présence de séquences ADN reconnues par des FT

→ recrutent polymérase

Où ?

Région promotrice ADN, en AMONT du début de la transcription

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Correction

Item D VRAI : CTF, un facteur de transcription, se fixe sur la CAAT box.

Boîte au niveau - 90, constante

Item E VRAI : La boîte GC se situe à 25 bases de la tata box.

Située à -50 du +1, donc à -25 de la TATA… (désolé)

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TRANSCRIPTION : Initiation : Résumé

CAAT box

Boîte GC

TATA box

Constante, -90

Pas universelle, -50

Constante, -25

Séquence activatrices (boîtes consensus) : “combien ?”

Rôle dans la régulation de la transcription

Nous dit où commence la transcription

Facteur de transcription : CTF

Facteur de transcription : SP1

Facteur de transcription : TF II

Présence de nucléotides guanine et cytosine

Région riche en AT, reconnue de façon bi-caténaire

7 pb : TATAAAA (brin sens)

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Élongation et terminaison : QCM

Quel est ou quels sont l’item ou les items vrai(s) ? :

  • Durant l’élongation, le domaine CTD est fortement phosphorylé.�
  • La kinase est une enzyme clé, permettant la déphosphorylation.�
  • Le domaine CTD se situe sur la grande sous unité de l’ARN polymérase.

  • Le domaine CTD se situe sur la petite sous unité de l’ARN polymérase.

  • La terminaison est une phase qui est bien connue à ce jour.

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Correction

Item A VRAI : Durant l’élongation, le domaine CTD est fortement phosphorylé.

C’est pendant l’initiation que le domaine est déphosphorylé.

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Élongation et terminaison : QCM

Quel est ou quels sont l’item ou les items vrai(s) ? :

  • Durant l’élongation, le domaine CTD est fortement phosphorylé.�
  • La kinase est une enzyme clé, permettant la dephosphorylation.�
  • Le domaine CTD se situe sur la grande sous unité de l’ARN polymérase.

  • Le domaine CTD se situe sur la petite sous unité de l’ARN polymérase.

  • La terminaison est une phase qui est bien connue à ce jour.

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La correction

Item A VRAI : Durant l’élongation, le domaine CTD est fortement phosphorylé.

C’est pendant l’initiation que le domaine est déphosphorylé.

Item B FAUX : La kinase est une enzyme clé, permettant la déphosphorylation.

Permet la phosphorylation (elle ajoute un phosphate).

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La correction

Item A VRAI : Durant l’élongation, le domaine CTD est fortement phosphorylé.

C’est pendant l’initiation que le domaine est déphosphorylé.

Item B FAUX : La kinase est une enzyme clé, permettant la déphosphorylation.

Permet la phosphorylation (elle ajoute un phosphate).

Item C VRAI : Le domaine CTD se situe sur la grande sous unité de l’ARN polymérase.

Item D FAUX : Le domaine CTD se situe sur la petite sous unité de l’ARN polymérase.

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La correction

Item A VRAI : Durant l’élongation, le domaine CTD est fortement phosphorylé.

C’est pendant l’initiation que le domaine est déphosphorylé.

Item B FAUX : La kinase est une enzyme clé, permettant la dephosphorylation.

Permet la phosphorylation (elle ajoute un phosphate).

Item C VRAI : Le domaine CTD se situe sur la grande sous unité de l’ARN polymérase.

Item D FAUX : Le domaine CTD se situe sur la petite sous unité de l’ARN polymérase.

Item E FAUX : La terminaison est une phase qui est bien connue à ce jour.

Très mal connue car complexe.

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MATURATION ARNm : Coiffe 5’ et Polyadénylation 3’ : QCM

Quels sont ou quel est l’item ou les items vrai(s) ? :

  1. La maturation est un phénomène spécifique au procaryote.

  • La maturation contient : l’ajout de la coiffe, l’ajout de la queue poly A.

  • La coiffe est une Méthyl-7 guanylate.

  • Sur l’ARN messager, le signal AATAA permet la reconnaissance par l’endonucléase.

  • La queue poly A est retrouvée sur : ARNm, ARNt, ARNr.

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La correction

Item A FAUX : La maturation est un phénomène spécifique aux procaryotes.

Spécifique aux eucaryotes → permet le passage du noyau

ARN

ARN protégé

Maturation

Sortie du noyaux

  • La maturation contient : l’ajout de la coiffe, l’ajout de la queue poly A

  • La coiffe est une Méthyl-7 guanylate

  • Sur l’ARN messager, le signal AATAA permet la reconnaissance par l’endonucléase

  • La queue poly A est retrouvée sur : ARNm, ARNt, ARNr

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La correction

Item B FAUX : La maturation contient : l’ajout de la coiffe, l’ajout de la queue poly A.

Ajout de la coiffe

Permet : �

  • Protection zone 5’�
  • Initiation traduction

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La correction

Item B FAUX : La maturation contient : l’ajout de la coiffe, l’ajout de la queue poly A.

Ajout de la coiffe

Excision / épissage

Permet : �

  • Couper les Introns�
  • Laisser les exons�
  • Avoir un ARN mature

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La correction

Item B FAUX : La maturation contient : l’ajout de la coiffe, l’ajout de la queue poly A.

Ajout de la coiffe

Excision / épissage

Ajout de la queue

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La correction

Item C VRAI : La coiffe est une Méthyl-7 guanylate.

⇒ C’est pas la guanine mais c’est pour rappeler la numérotation.

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La correction

Item D FAUX : Sur l’ARN messager, le signal AATAA permet la reconnaissance par l’endonucléase.

Ajout de la queue

Permet : �

  • Signal reconnu par endonucléase �(AAUAA sur l’ARN)�
  • Uniquement sur l’ARNm�
  • Protection contre la dégradation

Item E FAUX : La queue poly A est retrouvée sur : ARNm, ARNt, ARNr.

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Le résumé

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MATURATION ARNm : Excision / Epissage : QCM

Quels sont ou quel est l’item ou les items vrai(s) ? :

  1. Les exons sont supprimés lors de l’excision.
  2. La séquence consensus à la jonction exon/intron commence par GU et se termine par AG.
  3. Le spliceosome permet l’épissage.
  4. À partir d’un ARN, plusieurs protéines différentes peuvent être réalisées.
  5. Parmi les SNrnp complexes qui se fixent sur ces balises, U6 se fixe sur le site accepteur.

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La correction

Item A FAUX : Les exons sont supprimés lors de l’excision.

On enlève les INTRONS

Excision

Epissage

Introns

Exons

Item B VRAI : La séquence consensus à la jonction exon/intron commence par GU et se termine par AG.

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La correction

Item C VRAI : Le spliceosome permet l’épissage.

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La correction

Item D VRAI : À partir d’un ARN, plusieurs protéines différentes peuvent être réalisées .

Et ça s’appelle l’épissage alternatif !!

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La correction

Item E FAUX : Parmi les SNrnp complexes qui se fixent sur ces balises, U6 se fixe sur le site accepteur.

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MATURATION ARNm : Excision / Epissage : Mécanisme d’épissage

2 mécanismes de trans-estérification

1er mécanisme :

Groupement hydroxyle OH en 2’ du A attaque la liaison phosphodiester entre exon 1 & GU.

⇒ Liaison phosphodiester particulière 2’5’

2ème mécanisme :

OH néoformé en 3’ de l’exon 1 attaque liaison phosphodiester de la balise AG.

⇒ Libération du lasso

Dans le noyau :

Spliceosome / Particule d’épissage / Structure riboprotéique.

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Remodelage chromatine

Hétérochromatine

Euchromatine

Très compactée

Déroulée

Gènes non exprimés

Gènes exprimés

Histones méthylés

Histones acétylés

⇒ Histones = protéines sur lesquelles s’enroule l’ADN.

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SÉQUENCES REGULATION GÈNES : Cis, Trans, Régu épigénétique : QCM

Quels sont ou quel est l’item ou les items vrai(s) ? :

  1. Parmi les éléments de régulation de base, afin d’assurer l’homéostasie, on retrouve les facteurs “CIS” qui correspondent aux gènes.
  2. Les enhancers sont des facteurs TRANS.
  3. Les facteurs TRANS ne sont pas influencés par les signaux extérieurs à la cellule.
  4. Parmi les motifs que peuvent prendre les protéines nucléaires, on retrouve les motifs de liaisons à l’ADN comme le doigt de zinc.
  5. Lors de la régulation épigénétique, la méthylation a lieu sur les guanines des îlots CPG au niveau des promoteurs.

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SÉQUENCES RÉGULATION GÈNES : Cis, Trans, Régu épigénétique : Correction

Item A VRAI : Parmi les éléments de régulation de base, afin d’assurer l’homéostasie, on retrouve les facteurs “CIS” qui correspondent aux gènes.

Facteurs CIS

Facteurs TRANS

Gène

Protéine qui agit sur le gène

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SEQUENCES RÉGULATION GÈNES : Cis, Trans, Régu épigénétique : Correction

Item B FAUX : Les enhancers sont des facteurs TRANS.

Facteurs CIS

Enhancers

Silencers

Insulateurs

Élever la transcription

Inhiber expression

Isolement d’un gène

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SÉQUENCES RÉGULATION GÈNES : Cis, Trans, Régu épigénétique : Correction

Item C FAUX : Les facteurs TRANS ne sont pas influencés par les signaux extérieurs à la cellule.

Facteurs TRANS : sous influence de signaux extérieurs à la cellule pour assurer l’homéostasie.

Les signaux membranaires à la surface de la cellule, avec l’intervention de seconds messagers cytoplasmiques.

Les facteurs de croissance stéroïdiens qui agissent directement sur le gène.

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SÉQUENCES RÉGULATION GÈNES : Cis, Trans, Régu épigénétique : Correction

Item D VRAI : Parmi les motifs que peuvent prendre les protéines nucléaires, on retrouve les motifs de liaisons à l’ADN comme le doigt de zinc.

2 types de motifs : motifs de liaisons à l’ADN & motifs d’activation

4 motifs de liaisons à l’ADN

Hélice Tour Hélice

Doigt de zinc

Glissière à Leucine

Hélice Loop Hélice

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SÉQUENCES RÉGULATION GÈNES : Cis, Trans, Régu épigénétique : Correction

Item E FAUX : Lors de la régulation épigénétique, la méthylation a lieu sur les guanines des îlots CPG au niveau des promoteurs.

Méthylation sur les cytosines

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MICROARN : QCM

Quels sont ou quel est l’item ou les items vrai(s) ? :

  1. Un seul micro-ARN peut contrôler une centaine d’ARNm.
  2. les micro-ARN sont codés par l’ARN polymérase III car l’ARN polymérase II code déjà les ARNm.
  3. les micro-ARN peuvent être traduits en protéines.
  4. Les pri-miARN sont coupés par l’enzyme DICER.
  5. Le brin guide va s’associer au complexe protéique RISC pour donner le microARN mature.

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MICROARN : Correction

Item A VRAI : Un seul micro-ARN peut contrôler une centaine d’ARNm.

Item B FAUX : Les micro-ARN sont codés par l’ARN polymérase III car l’ARN polymérase II code déjà les ARNm.

Super puissant !

Aussi par l’ARN polymérase II

Item C FAUX : Les micro-ARN peuvent être traduits en protéines.

Ils sont non codants

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MICROARN : Correction

Item D FAUX : Les pri-miARN sont coupés par l’enzyme DICER.

Item E VRAI : Le brin guide va s’associer au complexe protéique RISC pour donner le microARN mature.

Par l’enzyme DORSHA (nucléase)

Contrairement au brin passager qui va être dégradé.

DICER (endonucléase) permet de finaliser la maturation dans le cytoplasme.

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MICROARN : Explications

Complémentarité parfaite :

Partie 3’ de l’ARNm dégradée par mécanisme d’ARN interférent.

Complémentarité incomplète :

Traduction bloquée.

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Anomalies génétiques

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Je sais que ça vous a manqué donc QCM :)

  1. Une mutation ou variant désigne un changement quelconque pathogène dans la séquence de l’ADN , à l’échelle du gène ou du chromosome.

  • Un polymorphisme peut se situer en région codante ou non-codante.

  • On distingue les macro lésions à l’échelle du gène et les micro lésions à l’échelle du chromosome.

  • Le caryotype standard est l’examen de base en cytogénétique.

  • Les anomalies chromosomiques de nombre sont toujours associées à un gain ou une perte de matériel génétique.

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Correction🍀

  • Une mutation ou variant désigne un changement quelconque pathogène dans la séquence de l’ADN , à l’échelle du gène ou du chromosome.

  • Un polymorphisme peut se situer en région codante ou non-codante.

  • On distingue les macro lésions à l’échelle du gène et les micro lésions à l’échelle du chromosome.

  • Le caryotype standard est l’examen de base en cytogénétique.

  • Les anomalies chromosomiques de nombre sont toujours associées à un gain ou une perte de matériel génétique.

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Correction🍀

  • Une mutation ou variant désigne un changement quelconque sans tenir compte de la pathogénicité dans la séquence de l’ADN , à l’échelle du gène ou du chromosome.

  • Un polymorphisme peut se situer en région codante ou non-codante.

  • On distingue les macro lésions à l’échelle du chromosome et les micro lésions à l’échelle du gène.

  • Le caryotype standard est l’examen de base en cytogénétique.

  • Les anomalies chromosomiques de nombre sont toujours associées à un déséquilibre chromosomique.

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Définition

Les maladies génétiques sont des maladies rares, influencées par des facteurs génétiques et environnementaux : ce sont des maladies multifactorielles.

La majorité des maladies génétiques restent incurables, pour l’instant. Il existe des anomalies génétiques qui donnent des :

  • Maladies chromosomiques
  • Maladies géniques

L’un des principaux défis des analyses génétiques est d’interpréter les mutations et de comprendre leur impact sur la santé afin de trouver des traitements pour guérir ces maladies.

Ex Cancer du sein : chimiothérapie adaptée selon les mutations => thérapie génique.

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Remettez les mots/chiffres dans le bon ordre

Le matériel génétique est réparti en chromosomes soit paires. À leurs extrémités on retrouve les qui ont une importance particulière. �Les chromatides sont les 2 parties homologues d’un chromosomes réunies par le .

Le génome nucléaire est composé de 3. 10^9 paires de bases dont 3. 10^7 codantes ce qui représente environ gènes.

Le génome mitochondrial quant à lui est composé de gènes.

On a établi la séquence du génome humain qu'on a mis en accès libre sur internet. En , première publication du génome humain, finalisée en .

centromère

46

2001

20 000

23

télomères

37

2003

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Correction

Le matériel génétique est réparti en 46 chromosomes soit 23 paires. À leurs extrémités on retrouve les télomères qui ont une importance particulière. �Les chromatides sont les 2 parties homologues d’un chromosomes réunies par le centromère.

Le génome nucléaire est composé de 3. 10^9 paires de bases dont 3. 10^7 codantes ce qui représente environ 20 000 gènes.

Le génome mitochondrial quant à lui est composé de 37 gènes.

On a établi la séquence du génome humain qu'on a mis en accès libre sur internet. En 2001, première publication du génome humain, finalisée en 2003.

46

23

télomères

centromère

20 000

37

2001

2003

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Et les variations génomiques ?

Les variations génomiques peuvent être :

  • Sans effets pathogènes : on parle de polymorphisme.
  • Avec effets pathogènes : ce qui a un impact sur les gènes, les chromosomes et plus généralement sur l'organisation génomique.

Mais alors, qu’est ce qu’une mutation ?

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Et les variations génomiques ?

Une mutation (ou un variant) correspond à n’importe quel changement intervenu dans la séquence de l’ADN à l’échelle du gène ou du chromosome, sans préjuger de sa pathogénicité.

  • Le polymorphisme est une mutation.
  • S’il y a un effet péjoratif qui altère une fonction et a un effet pathogène, il s’agit d’une mutation.
  • S’il y a un effet protecteur amenant la diversité ou l’évolution, il s’agit d’une mutation.

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Et les variations génomiques ?

Quels sont les 2 types de mutations ?

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Et les variations génomiques ?

Les deux types de mutations sont :

  • Les mutations somatiques, c’est-à-dire les mutation de la mitose. Elles ne sont pas transmises.

  • Les mutations germinales, c’est-à-dire les mutation de la méiose. Elles sont transmises à la descendance et seront présentes chez l’individu issus du gamète.

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Et les variations génomiques ?

Le polymorphisme se définit par :

  • son caractère non pathogène.
  • sa fréquence dans la population (>1%).

Les polymorphismes fréquents sont :

  • SNP (Single Nucleotid Polymorphism)

C’est la substitution d’un nucléotide (le plus souvent) ou la délétion/l’addition d’un nucléotide (+ rare).

  • CNV (Copy Number Variation)
  • C’est la variation du nombre d’exemplaires à un emplacement génomique donné.

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Et les variations génomiques ?

Quelles sont les anomalies génétiques à l’échelle des chromosomes ?

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Et les variations génomiques ?

Quelles sont les anomalies génétiques à l’échelle des chromosomes ?

  • Les anomalies de nombre

  • Les anomalies de structure

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Et les variations génomiques ?

Les anomalies de nombre

Il s’agit de la perte ou du gain d’un ou plusieurs chromosome(s). Elle est due à des anomalies de disjonction durant la mitose/meiose.

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Et les variations génomiques ?

Les anomalies de nombre

Il s’agit toujours d’anomalies déséquilibrées.

Exemples

  • Aneuploïdie

  • Polyploïdies

Il s’agit de la perte d’une ou plusieurs paires de chromosomes. C’est l’anomalie chromosomique la plus fréquente : ex trisomie 21.

Il s’agit de l’ajout d’un lot complet. Elles ne sont pas viables = fausse couche spontanée. Ex la triploïdie = cellules à 69 chromosomes.

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Et les variations génomiques ?

Les anomalies de structure

Il s’agit du remaniements de structure des chromosomes durant la mitose/meiose.

Il y a 2 types d’anomalies de recombinaison :

  • Un chromosome : délétion d’un fragment, duplication ou inversion de fragments chromosomiques.

  • Deux chromosomes : insertion de fragments chromosomiques ou translocation (=échange).

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Et les variations génomiques ?

Méthodes d’analyse

Caryotype

FISH

CGHarray

macrolésions de nombre et de structure

anomalies qualitatives et quantitatives

anomalies quantitatives

  1. Culture
  2. Blocage en métaphase
  3. Choc hypotonique
  4. Coloration
  1. Dénaturation
  2. Hybridation
  3. Fixation par complémentarité
  4. Reconnaissance par fluorescence

Etude sur lames (souvent en verre) sur lesquelles sont déposées des sondes.

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Et les variations génomiques ?

Quelles sont les anomalies génétiques à l’échelle des gènes ?

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Et les variations génomiques ?

Quelles sont les anomalies génétiques à l’échelle des gènes ?

  • La substitution

  • L’addition et la délétion

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Et les variations génomiques ?

La substitution

Il s’agit du remplacement d’un nucléotide par un autre.

C’est la mutation la plus fréquente (70% des mutations), qui a des causes exogènes (physiques ou chimiques) ou endogènes (anomalies des systèmes de réplication et de réparation de l’ADN).

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Et les variations génomiques ?

La substitution

Les conséquences dépendent de l’effet induit par la modification du codon concerné.

  • Variant faux sens : le codon muté code pour un autre AA. Ils sont pas toujours pathogènes.

  • Variant non-sens : le codon muté code pour un codon stop.

Ils sont généralement pathogènes.

  • Variant iso-sémantique : le codon muté code pour le même AA.

Effet délétère éventuel sur l’ARNm.

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Et les variations génomiques ?

L'addition et la délétion

Il s’agit d’une erreur de l’ADN polymérase lors de la réplication par un mécanisme de slippage/dérapage.

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Et les variations génomiques ?

L'addition et la délétion

Les conséquences dépendent du cadre de lecture.

  • Insertion/délétion d’un multiple de 3 nucléotides = pas de décalage du cadre de lecture (en fonction de la localisation sur la protéine, elle peut être tolérée ou délétère).

  • Insertion/délétion d’un non-multiple de 3 nucléotides = décalage du cadre de lecture (apparition d’un codon STOP prématuré, qui entraîne des retentissements sévères et généralement pathogènes).

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Et les variations génomiques ?

Les anomalies de taille intermédiaire

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Et les variations génomiques ?

Méthodes d’analyse

PCR

Méthode de Sanger

NGS

amplification sélective

détermination ciblée de la séquence d’ADN

liste de gènes, tous les exons codants (Exome entier), ou tout le génome

  • Dénaturation
  • Hybridation
  • Elongation
  1. Amorce
  2. ADN polymérase
  3. Quatre nucléotides (marqués chacun par un fluorochrome de couleur différente)
  • Gain de temps
  • Amélioration du séquençage
  • Lecture grâce à la bioinformatique => recherche dans les bases de données génomiques, qui servent surtout à la modélisation.

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Autre QCM (faisons travailler la mémoire immédiate)

  • La réalisation d’un caryotype standard permet uniquement de mettre en évidence les anomalies chromosomiques de nombre.

  • Les translocations sont des anomalies chromosomiques de structure.

  • Les variants de séquence de type “iso-sémantique” sont toujours pathogènes.

  • Une insertion de 9 nucléotides en séquence codante entraîne un décalage du cadre de lecture.

  • Une analyse “exome entier” consiste en une analyse simultanée de tous les exons codants de tous les gènes du génome.

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Correction🍀

  • La réalisation d’un caryotype standard permet uniquement de mettre en évidence les anomalies chromosomiques de nombre.

  • Les translocations sont des anomalies chromosomiques de structure.

  • Les variants de séquence de type “iso-sémantique” sont toujours pathogènes.

  • Une insertion de 9 nucléotides en séquence codante entraîne un décalage du cadre de lecture.

  • Une analyse “exome entier” consiste en une analyse simultanée de tous les exons codants de tous les gènes du génome.

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Correction🍀

  • La réalisation d’un caryotype standard permet de mettre en évidence les anomalies chromosomiques de nombre et de structure.

  • Les translocations sont des anomalies chromosomiques de structure.

  • Les variants de séquence de type “iso-sémantique” ne sont pas toujours pathogènes.

  • Une insertion de 9 nucléotides en séquence codante n’entraîne pas un décalage du cadre de lecture (9 est un multiple de 3).

  • Une analyse “exome entier” consiste en une analyse simultanée de tous les exons codants de tous les gènes du génome.

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Autre petit QCM 🫶🏻🍀

  • Le nombre de gènes dans le génome humain nucléaire est estimé à 200 000.

  • Un variant somatique est hérité d’un parents d’un sujet porteur.

  • Les mutations de “faux-sens” ne sont jamais pathogènes.

  • FISH et CGH permettent toutes les 2 de détecter des anomalies à la fois quantitatives et qualitatives.

  • Une délétion de 2 nucléotides en séquence codante d’un gène a un effet pathogène semblable à un variant non-sens.

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Correction🍀

  • Le nombre de gènes dans le génome humain nucléaire est estimé à 200 000.

  • Un variant somatique est hérité d’un parents d’un sujet porteur.

  • Les mutations de “faux-sens” ne sont jamais pathogènes.

  • FISH et CGH permettent toutes les 2 de détecter des anomalies à la fois quantitatives et qualitatives.

  • Une délétion de 2 nucléotides en séquence codante d’un gène a un effet pathogène semblable à un variant non-sens.

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Correction🍀

  • Le nombre de gènes dans le génome humain nucléaire est estimé à 20 000.

  • Un variant germinal est hérité d’un parents d’un sujet porteur. Un variant somatique est acquis.

  • Les mutations de “faux-sens” ne sont pas toujours pathogènes.

  • FISH permet de détecter des anomalies à la fois quantitatives et qualitatives mais CGH ne permet de détecter que les anomalies quantitatives.

  • Lorsqu’on a une délétion d’un non-multiple de 3, la mutation mène souvent à un codon stop prématuré donc à un codon non sens.

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Mdrrr, je sais que vous êtes fatigués, mais ne lâchez rien les loulous 🫶🏻

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SCANNEZ LE QR CODE, C’EST ULTRA IMPORTANT

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Merci pour votre attention