Selon sa politique de protection de la vie privée de l’organisme, La Parentèle de Laval s’engage à respecter les balises prescrites d’utilisation des données personnelles qui lui sont partagées, à ne pas commercialiser l’information qu’elle reçoit et à faire preuve de réserve en tout temps, particulièrement les informations visant des personnes mineures. 

La présente atteste que vous acceptez de :

Partager des renseignements personnels avec La Parentèle de Laval conformément à la politique de protection de la vie privée de l’organisme,

D’établir une prestation de service payant (création de la fiche client de la famille, facturation, détermination du tarif du service, , etc.),

De permettre à l’organisme de remplir ses obligations financières, fiscales et/ou légales (émission de relevés fiscaux et de relevés d’emplois, émission de la paie, remboursement et/ou autres transactions bancaires, antécédents judiciaires, etc); 

De répondre à un besoin nommé par la famille relativement à une prestation de service externe (référencement, plan de service, etc.); 

De communiquer avec la personne prestataire (parent, employée, bénévole) via courriel, téléphone, textos, réseaux sociaux et/ou par l’envoi de l’infolettre de l’organisme. 

 La présente atteste que vous comprenez que La Parentèle de Laval est un organisme communautaire famille dûment reconnu par le Ministère de la Famille et assujetti aux lois, notamment la Loi sur la Protection de la jeunesse.  

Selon ces obligations légales, La Parentèle de Laval peut partager des informations personnelles sans consentement pour :  

Se conformer à une décision de justice ou à toute autre demande contraignante; 

Faire valoir une créance; 

Enquêter sur une rupture de contrat ou une infraction à la loi; 

Prévenir, arrêter ou détecter une fraude; 

Se conformer à l’article 39 de la Loi sur la Protection de la jeunesse qui stipule que  

 “Tout professionnel qui, par la nature même de sa profession, prodigue des soins ou toute autre forme d’assistance à des enfants et qui, dans l’exercice de sa profession, a un motif raisonnable de croire que la sécurité ou le développement d’un enfant est ou peut être considéré comme compromis au sens de l’article 38 ou au sens de l’article 38.1, est tenu de signaler sans délai la situation au directeur.”