#eTwinFR        

Jour 1 - Jour 3 - Site de la conférence

Identité numérique : la comprendre et l'enseigner

Karen Prévost-Sorbe - Coordinatrice académique du CLEMI académie Orléans-Tours

@karen_prevost

CLEMI: service de canopé. Aller voir le site:

http://www.clemi.org/fr/

-> des ressources pour la classe : fiches “clé en main” et réactualisées, par niveau par discipline.

Présentation : https://prezi.com/3xc7smrylofg/4e-conference-nationale-e-twinning-atelier-canope-chasseneuil-mai-2016/

Beaucoup de projets eTwinning se rattachent à la semaine de la presse à l’Ecole.

Ainsi que que des projets d'écoles étrangères entre autre de l’AEFE

Questions clés abordées au cours de l’intervention :

-identité numérique

-e-reputation (une conséquence de l’identité numérique)

-rapports vie privée /vie publique

-présence numérique

-> des questions clefs dans une société 3.0

Réflexion à avoir sur tous les tweets de la conférence nationale et notre trace sur le web.

Traces nombreuses, qui peuvent être dommageables.

Web 2.0 dans les années 2006-2007 (émergence des réseaux sociaux, publications en ligne, …)  -> identité numérique devient un enjeu de citoyenneté. A aborder avec les élèves dès le plus jeune âge.

Identité numérique n’est pas e-réputation :

• Identité numérique : composée des traces laissées volontairement (ex du compte Twitter) / involontairement (publicité que l’on propose en fonction de l’historique de navigation) / des traces dont on hérite (ex. : coordonnées professionnelles sur site de l’employeur, Clémi par exemple pour Karen Prévost-Sorbe). Même chose pour l’image et pour l’écrit.

La trace volontaire est une trace que l’on maîtrise

• E-réputation : évaluation sociale / perception / opinions faite à partir des traces.

La e-réputation s’appuie sur des traves observables de l’identité numérique.

        Elèves ne sont pas conscients de leur e-réputation : “tu es ce que tu partages”.

Ex. : élèves qui cherchent un stage et qui ne sont pas retenus à cause des traces laissées en ligne.

Faire une recherche sur internet avec son nom de famille pour faire la différence entre une trace volontaire et héritée et involontaire captée par notre adresse IP.

e-reputation : travail à effectuer avec les élèves pour en particulier leur futur métier et employeur car ils vont nuire à l'image de la société  

>ex: des élèves en lycée professionnel ont râté leur oral de stage car les examinateurs ont googlisé le nom des l'élèves

L’identité numérique est complexe.

Cartographie de l’identité numérique :

http://www.fredcavazza.net/

Ex: le web garde trace des pétitions que l’on signe

Un moteur de recherche qui garantit un anonymat total puisqu'il agit en fait comme un proxy et camoufle votre adresse IP tout en faisant appel aux services de Google pour effectuer ses recherches. Il s'agit de "startpage".

https://startpage.com/fra/

Un autre en prime :

qwant :

https://www.qwant.com/

Quid du droit à l’oubli ?

Droit au déférencement

Et plus précisément : http://www.fredcavazza.net/2006/10/22/qu-est-ce-que-l-identite-numerique/

Des comptes LinkedIn ont été créés car le ministère de l’Education nationale a revendu des fichiers à cette entreprise.

Les pétitions en ligne sont publiques. Des participations à des événements sportifs.  

Les élèves n'en ont pas conscience. Dès que c'est un nouveau réseau social les élèves sont attirés.

Il n'y a plus de fracture entre la sphère privée et professionnelle à présent avec le web 2.0.

Plusieurs champs interviennent mais on arrive à retracer une identité : profession, hobbies, consommation, …

Réseaux sociaux : jeunes vont vers la nouveauté. Lorsqu’on commence à maîtriser un réseau social … les jeunes migrent vers un autre !

Il n’y a plus de fracture sphère publique / sphère privée depuis le web 2.0.

-Partir de cas réels et concrets avec les élèves.

-Un cas d’école un peu ancien (2009) mais toujours d’actualité : 

le portrait Google de Marc L., le premier portrait Google

http://www.le-tigre.net/Marc-L.html

Article en ligne : http://www.le-tigre.net/Numero-28.html#page_36 et au format pdf : http://www.le-tigre.net/IMG/pdf/TM_16274_GAToHw.pdf

> Aucune réflexion sur le clic!

L'introduction de l'article est à travailler avec des élèves.

Il existe des dizaines de “portraits Google” sur internet.

-Amanda Todd: jeune fille harcelée poussée au suicide. A utiliser avec précaution (choquant). Elle retrace son histoire dans une vidéo toujours dispo sur le net avec l’accord des parents.

Attention toutefois à ne pas verser dans la paranoïa avec les jeunes : vivent dans une société numérique, sont très présents sur le net.

Quasi 100% des jeunes entre 13 et 19 ans se déclarent utilisateurs d’internet. 14h par semaine sur le net en moyenne pour jeunes à partir de 13 ans. Enfants âgés de 1 à 6 ans passent en moyenne 4h sur le net, parfois sans aucun accompagnement des adultes et des parents ! Lorsqu’ils seront adolescents, leur pratique sera très ancienne, leurs traces tout autant.

Fracture sur les pratiques et les usages. Partage de connexion internet entre les élèves et en dehors de l'école.

Les adultes doivent aussi positiver. Tous les jeunes n’ont pas des pratiques dérégulées sur internet. Certains ont une réputation impeccable (voire plus “propre” que certains adultes !).

Ex. : gestion régulée de l’image sur Facebook.

Pascal Minotte, chercheur belge:

Ouvrage “Qui a peur du grand méchant web ?” disponible en téléchargement : http://www.yapaka.be/livre/qui-a-peur-du-grand-mechant-web

Dédramatiser et relativiser l’usage du net.

Les jeunes ont besoin de l’accompagnement de l’adulte. Ils ne sont pas “geeks”, techniciens, informaticiens. Ils n’ont pas de notion de droit (droit à l’image, à la propriété intellectuelle…). Ils veulent être accompagnés par les adultes. Ils n’ont pas conscience que tout ce qui est publié sur le web est définitif. Ils n’ont pas conscience qu’ils sont les produits dans l’économie du web.

Les jeunes de 4 à 6 ans passent 4h par semaine sur le net. Sans contrôle parental. Sans accompagnement, sans regard du parent, de l’adulte. Nous aurons donc de plus en plus de jeunes connectés depuis des années: (mauvaises) pratiques intallées, identité numérique ancienne.

Enquête Ipsos de 2015 : réseaux sociaux qui connaissent le plus grand développement sont ceux dédiés au partage d’images (SnapChat par exemple).

http://www.blogdumoderateur.com/etude-ipsos-junior-connect-2015/

Jeunes sont producteurs d’images.

Appropriation de snapchat par des entreprises.

Youtube= producteurs d’images en masse!

Faire du storytelling avec Snapchat demande des compétences de la part des élèves.

Et les adultes?

FOMO: Fear of Missing Out> “la peur de rater quelque chose”. Impossible de se déconnecter.

Avant d’aborder la question avec les élèves, nécessaire de s’interroger sur sa propre e-réputation.

Il faut toujours se projeter lorsqu’on publie sur le net.

Ex. : parents qui publient les photos d’une échographie sur Facebook puis qui vont tagger la photo après la naissance avec le nom de l’enfant -> cette photo va définitivement accompagner l’enfant.

Une photo sur Facebook n'appartient plus à la personne mais à Facebook.

Que répondre à un élève qui nous interpelle : “Je vais tout effacer de toute façon” ?

Les traces volontaires sont maîtrisables mais pas les autres.

Faire googliser les noms des élèves par eux-même et de manière régulière pour qu'ils prennent conscience des traces qu'ils laissent.

Moteurs de recherche de personnes : Yasni : http://www.yasni.fr/  / Pipl : https://pipl.com/ 

ReputationSquad société nettoyeuse du web: Laure Manaudou a eu recours à cette entreprise pour qu'on nettoie son image numérique.

On ne peut rien effacer mais on peut retaper une identité numérique.

Des métiers se créent autour du web.

Avoir en tête la psychologie des adolescents : besoin de se mettre en image chez les adolescents. Cela fait partie de la construction même d’un adolescent. Besoin de comparaison avec ses pairs.

C’est ce qui  été appelé “l’expressionnisme adolescent” dans un article récent de Philippe Gutton. Ils ont besoin de montrer leur intimité. Ils n’ont pas la même définition que nous de l’intimité.

Voir : http://theconversation.com/ladolescent-et-les-reseaux-sociaux-quels-impacts-psychiques-59646 

Filles : mettent en scène leur image (parfois poses suggestives).

Garçons : mettent en scène le risque.

Les jeunes ont besoin de se mettre en scène. C'est une recherche d'identité.

Auparavant, rites initiatiques pour les jeunes. Aujourd’hui, les jeunes inventent des rites initiatiques via les réseaux sociaux. L’adulte ne peut hélas pas aller contre.

https://www.youtube.com/watch?v=BCuBx1w-h08

Facebook : La vitrine. Territoire de la belle image de soi, de la performance (avoir le plus de “like”) avoir de nombreux amis. Usage de facebook contrôlé par les élèves, sauf quand CSP défavorisé=moins de maîtrise. Jeunes s’adaptent. Soignent leur image sur Facebook. Facebook est devenu un media d’information= vision biaisée de l’actualité, incomplète. Information qui correspond à son profil, ses likes, etc.

Instagram: CSP aisé.

Twitter: grand chat general

Snapchat: images qui s’autodétruisent, savoir a l’instant ce que fait l’autre (même aux toilettes)

Ask.fm: questions/réponses par les usagers.

Les jeunes (en tout cas une grande majorité) sont capables de contrôler leur image numérique, de s'adapter et de lisser leur image. Ils sont dans la maîtrise.

Faire travailler eux ce qu'est la sphère privée. Un jeune ne définit pas l'intimité de la même façon qu'un adulte.

Contribuer à former des citoyens responsables

2015 TRAAM doc sur l'identité numérique

Employer la notion de présence numérique. Et publier pour façonner sa e-réputation. On ne pourra jamais être dans la maîtrise totale. L'école change avec le plan numérique.

Sur internet et les réseaux sociaux nous sommes des acteurs. Il ne faut rester sur ce qu'on voit mais faire comprendre aux élèves comment fonctionne la machine.  

Il faut redéfinir avec les jeunes ce qui relève de la sphère privée, de l’intimité. Clivage important entre l’adulte et le jeune.

https://www.youtube.com/watch?v=-vbvD3-Seks 

Préférer le terme de “présence numérique” à celui d’identité numérique.

L’identité numérique est impossible à maîtriser totalement.

Attention au “personal branding”

Un élève n’est pas une “marque”.

Remarque : il est désormais possible de choisir un émoji pour réagir à un article sur Facebook -> manière de savoir ce qui fait réagir l’élève … et de lui proposer des contenus adaptés.

Pour publier photo d’un élève en ligne : autorisation avec mention de captation / diffusion / publication, en précisant les supports, pour quelle durée et avec quels objectifs.

Conclusion -> avoir conscience que nous sommes dans un écosystème numérique.

Exercer sa présence / créer des espaces / rester conscient de sa visibilité.

Voir padlet pour ressources sur le sujet : https://padlet.com/karen_prevost/e7c3w0r8csxu 

Voir aussi L’obs n°2678 (mars 2016) : dossier sur l’identité numérique.

http://www.docpourdocs.fr/spip.php?rubrique349

Etwinning et la réforme du collège (EPI)

1- Intro et lien vers twinspace des intervenantes (plan de l’intervention + divers docs)

https://twinspace.etwinning-training.net/14/pages/page/6021

2-Rappel réforme du collège: PDF ICI

-Programmes et cycles vont changer.

-EPI=etwinning le fait depuis longtemps.

MAIS>>>Comment travailler avec etwinning dans le cadre d’un EPI?

-Importance travail collaboratif.

-5 domaines dans lesquels s’inscrivent EPI (p 5 du PDF)

Domaine 2-Rôle des ambassadeurs pour accompagner dans ce domaine

Domaines 3 et 5-Ouverture aux autres cultures

>Etwinning et différenciation pédagogique.

>Etwinning et Brevet: on pourra présenter un compte-rendu de projet etwinning dans le cadre d’un EPI ou parcours education artistique et culturelle, avenir et citoyen.

-Mini-ateliers: questions/ timing= réponses des groupes.

Pour cela, il faut que le terme EPI apparaisse dans le titre de votre projet etwinning = expliciter.

NEW! On a le droit de mener un projet eTwinning DANS son établissement! Etwinning : what else ? Ils pensent à tout !

Merci à nos intervenantes pour cet atelier interactif!

Sylvie Meslien de Martinique

Christelle Poulain-Chaigne-

Atelier tablettes

Applis Android et iPad pour produire des avatars parlants, BD, eBooks, etc.

BOOK CREATOR

PUPPET PALS

BOOKABI

PHOTOSPEAK

TELLAGAMI

ZOOBE

BLABBERIZE

D’autres applis sur MaMédiathèque Edumarket* (http://edumarket.crdp-creteil.fr/) ou le site de Canopé Nancy-Metz** (http://ett.crdp-lorraine.fr/ ) ou sur les sites de partage professionnels (viaéduc, Twitter…)

* La Plateforme de ressources numériques et d'applications mobiles “MaMédiathèque Edumarket” référence tout type de ressources numériques à usage pédagogique, avec un fort accent mis sur le gratuit.

Les sites, logiciels, livres numériques, applications tablettes, etc. sont recensés dans MaMédiathèque Edumarket en fonction des usages repérés dans l'académie par la commission chargée des ressources numériques (GREID, documentalistes de Canopé, formateurs).

Cette base documentaire alimente également le logiciel MaMédiathèque développé par les équipes du Pôle numérique (DANE/Canopé).

MaMédiathèque propose ainsi un accès structuré et personnalisé aux ressources :

De base : applications tablettes Android ou iOs  / logiciels / localisation / formats / thèmes (Sciences et techniques / Littératie médiatique et numérique / Langues / Humanités / Formation / Citoyenneté) / Niveaux.

Recherche avancée : compétences / élèves+profs et/ ou profs seuls / prix / systèmes

**La plateforme “Ecole et tablettes tactiles” du Canopé Nancy-Metz est une bibliothèque numérique collaborative d’applications sélectionnées pour leur plus-value pédagogique. Elle permet de :

- Valoriser, par leur publication en ligne, les expériences pédagogiques innovantes

- Valoriser, par leur publication en ligne, les fiches pédagogiques

- Diffuser des outils d’auto formation (vidéos, tutoriels,…)

Un moteur de recherche permet de retrouver des applications selon des critères divers (système d'exploitation, niveau, compétences, …) mais permet aussi de trouver des exemples d’exploitation pédagogiques de ces appli. La liste n’est pas exhaustives. Il est possible grâce à un formulaire en ligne de proposer des applications et des exemples d'utilisation. Le site s’enrichira grâce à cette collaboration.

Certaines applis Android ne sont pas disponibles sur le Store officiel : télécharger l’APK (sur http://www.aptoide.com/page/apps par exemple) et l’installer avec apk  installer (par exemple. Tuto http://www.androidpit.fr/comment-installer-apk-android ) après avoir autorisé l’installation de sources extérieures.

Points de vigilance :

• achats in app, tout n’est pas forcément gratuit !
• protection des données personnelles (existe-t-il un compte enseignant, une version éducation ?),
• la publicité intrusive,
• les changements de CGU,
• les formats d’export,
• la possibilité d’intégration dans le Twinspace des fichiers produits selon les formats d’export,
• les fonctionnalités d’une appli qui peuvent être différentes entre la version iOs et la version Androïd.

Il est souvent utile d’afficher le contenu d’un écran de tablette sur un vidéoprojecteur (mirroring). L’article http://web.crdp-poitiers.org/crdp/diffuser-le-contenu-dune-tablette-ou-dun-ordiphone-sur-un-ecran-collectif/ propose plusieurs solutions (celle utilisée lors de l’atelier est un dongle wifi-HDMI avec EZ CAst).

Plusieurs points de vue d’ enseignants ou tutoriels en ligne :

Tellagami : article sur itslearning

Tellagami en classe : centre de ressources pédagogiques

Tellagami : guide de prise en main rapide

Puppet Pals : tutoriel ou encore ici à télécharger en pdf

Book Creator : tutoriel

Sélection d’applications intéressantes en classe par Christophe Rhein

Atelier Partager sa pratique et accompagner d'autres eTwinneurs par eTwinning Live

Nos expériences eTwinning Live : formations en ligne, événements, … : https://padlet.com/frenchfly4/events2 

Voir l'onglet Formation continue sur eTwinning Live

Formation informelle et par ses pairs qui se formalise sur eTwinning Live. Ne pas oublier d’ajouter les formations sur i-profs !

On a le droit d'être dans le groupe Ambassadeurs européens

Le groupe Assistance eTwinning francophone sera effectif à la rentrée.

Les groupes remplacent les salles des profs.

Ressemblent beaucoup au Twinspace dans leur fonctionnement !

Tous les eTwinneurs peuvent créer un groupe (travail académique pour un établissement TRAAM par exemple). Les groupes sont ensuite validés par le bureau européen.

Onglet Evènements

Remarque : peu d’évènements en français ! -> créer de l’offre :)

Conduire un évènement :

• Peut être un point de départ pour un projet : trouver des partenaires, définir des objectifs, …
• Echanges pour des échanges académiques, nationaux, internationaux : thématique, pratiques pédagogiques, outils, points d’actu (ex. lors des attentats de Charlie Hebdo) …
• Organisation du réseau académique : lien CORAC, ambassadeurs, …
• Suivi des stagiaires
• Promotion / diffusion (ex. du projet archiclasse : http://eduscol.education.fr/cid84395/archicl@sse-impact-du-numerique-sur-l-architecture-des-ecoles-et-des-etablissements.html )

Exemple : créer un évènement pour remplir la demande de projet eTwinning avec tous les partenaires ! Plus facile, plus rapide, permet de tester la bonne entente des partenaires du projet, la faibilité, …

Outil qui permet : de partager des documents, son écran … Outils d’intervention (type main levée).

3 profils :

• Hote : celui qui a ouvert la session, gère la session.
• Présentateur : si quelqu’un doit présenter son projet par exemple.
• Invité : peut intervenir sur outils partagés.

Seule contrainte : télécharger / autoriser Adobe.

Ne pas oublier d’autoriser l’affichage Adobe dans le navigateur, sans quoi rien ne s’affiche et cela donne le sentiment que cela ne fonctionne pas.

Petites échelles (15 pers. max), une seule personne peut gérer l’évènement.

Pour grands groupes : les utilisateurs sont nombreux, sollicitent l’hôte … qui doit tout gérer : réponses techniques à ceux qui ne parviennent pas à afficher telle ou telle chose, poursuivre la présentation, … -> être deux :)

Enregistrement : fonctionne en principe … mais un peu compliqué encore ! Ne pas compter dessus encore, dans l’attente d’une clarification.

Si une visioconférence a beaucoup de participants il est préférable d'être 2 animateurs: un qui gère la formation et l'autre qui gère les problèmes techniques et les interventions dans le chat.

Remarque : lorsque les participants sont nombreux (au delà de 3 !), il vaut mieux désactiver les micros. Sans quoi des bruits parasites gênent fortement l’écoute.

Pour prendre la parole, les invitès lèvent la main.

Exemples d’action d’accompagnement, de formation ou de partage sur eTwinning Live :

https://padlet.com/frenchfly4/rdrfzxsza256

Exemple : aide de proximité en utilisant l’outil événement : pour les débutants pour lever verrous, blocages, … Viendrait en complément des formations.

Une fois par mois, une heure avec petit groupe.

Complémentaire avec les formations en ligne nationales.

Présenter eTwinning: A qui? Comment?

-Les mots qui nous viennent à l’esprit spontanément quand on pense à etwinning.

https://answergarden.ch/298439

http://www.etwinning.fr/fileadmin/documents/ressources/fiche_personnels_de_direction_sept2014.pdf

Travail de groupe sur des situations de formation:

Votre chef d’établissement vous a donné 15 minutes à une réunion pour présenter etwinning à vos collègues.

Rappel info de base: (PDF rapide avec mots clefs)

-au BO depuis 2005

-Vitrine pour un ETB= attire des élèves. Rayonnement des ETB.

-Gratuité d’ etwinning

-En tant qu’ enseignant nous nous devons de former des citoyens (ouverture culturelle/ ouverture sur l’Europe)

-Nous devons former les élèves au numérique (cf-gérer son identité numérique)

Les points forts d’etwinning

-Plateforme collaborative sécurisée (=ENT)

-Assistance et formation par eTwinning (ambassadeurs/etwinning live)

-Facile d’insérer un EPI

-Créer du sens pour les élèves dans une pédagogie de projet= motivation des élèves.

Montrer un projet concret très simple qui n’ effraie pas/ une activité

Et aussi...si on a le temps:

Partir des projets existants et montrer comment on pourrait très facilement lui donner une dimension supplémentaire avec eTwinning. Plus accès à toute la partie technique qui facilite la vie du projet.

Vous êtes sur un salon et vous avez 15 minutes sur une petite scène dans la grande salle pour présenter eTwinning à un public très varié - parents d'élèves, enseignants, inspecteurs, professionnels du numérique...

-Présentation générale très rapide. Placer des mots clefs qui conviennent à toutes les cibles (sécurisé, collaboratif, TICE, ouverture internationale)

-Ouvrir un twinspace pour montrer un projet concret

Ou

-Présentation rapide

-présentation projet sur vidéo ou PPT (aura-t-on accès au net?)

-Correspondance entre activités du projet et socle commun

-page corac, ambassadeurs: on n’est pas seul

-valorisation: labels

-terminer par etwinning.fr

-Donner un flyer pour que les gens repartent avec les infos

Présentation pour DAREIC / ERAI (Enseignant Référent Actions Européennes et Internationales)

-Comme les autres

-Montrer lien entre eTwinning  et Erasmus KA2

-présenter des projets eTwinning et KA2

Renommer les stages etwinning: ne pas effrayer!

>Rendre les EPI faciles

>Mener des projets en collaboration (avec des classes partout en Europe)

>Proposer atelier thématiques et inclure eTwinning dedans.

>présenter eTwinning et les partenariats scolaires entre établissements français